Dans l'un des derniers épisodes de Fait ça court! à Télé-Québec, il y avait ce court-métrage qui était d'ailleurs très bon et qui est une sorte de réflection ou de conte moderne sur la création et l'inspiration artistique.
C'est en tombant sur un fragment de L'argent de Christophe Tarkos («L'argent sauve tes enfants sauve ta femme sauve ta famille sauve tes amis sauve ton nom sauve ton honneur sauve ta peau sauve ta santé sauve ton être dans ta peau sauve ta création sauve ton village sauve tes parents sauve ta sœur sauve ton frère sauve ta liberté de mouvement sauve ton droit de fumer de boire de manger sauve tes pantalons sauve tes voitures sauve ta parole sauve tes sacrifices sauve ton corps de tous les sacrifices l'argent est le don sublime.») lors de mon dernier cours que je me suis mise à écrire moi-même quelques trucs, ou fragments si vous préférez. Possiblement que ce sera les premiers filons d'un futur récit, qui sait.
J'ajoute donc ici quelques uns d'entre eux :
«Cette attitude très capitaliste inavouée à la "wannabe plateau" est justement tellement fortement ancrée dedans, tellement à la fine pointe de l'avant-garde urbaine qu'elle va lui préférer son futur proche, ______ la mal-aimée, avant les autres.»
«Le reflet de ton corps dans le mien qui ne le reflète pas du tout, la bancalité de cette ressemblance qui t'obsède (étonnement), la perte que ça génère dans ton temps et ton énergie quand, finalement, le problème ne s'y trouve pas. Fouiller la chair, c'est de notre temps, à cause de l'évacuation de l'existence de l'âme, réaction au religieux, à cause de la rationalité. C'est la seule valeur sûre et tangible, et organique, et donc incertaine et pourrissable. Mais rien ne s'y trouve. L'obsession des femmes à propos du vieillissement du corps s'explique en partie par le fait que c'est un point aveugle si facilement mis de l'avant lorsqu'on ne peut ou ne veut s'interroger sur sa pourriture interne, sa pourriture personnelle dans le sens de défaut de personnalité et de défaut d'âme, qu'on ne peut ou ne veut s'introspecter, se dépecer, se disséquer, s'équarrir, et finir par trouver le bobo pour bien le gratter jusqu'à ce que la gale recommence à saigner. Le corps, c'est le visible, c'est l'évident, c'est l'immédiat, c'est le présent ou la présence, le concret. On ne fait appel qu’à très peu d’efforts pour se soucier de la décomposition de son corps, il est là, sous nos yeux, et puis c'est conforme à la norme publicitaire, télévisuelle, socialement acceptable, commerciale, le pot - la crème, devenir membre chez Yves Rocher, tout ça...»
«La rondeur de mon corps n’est pas la rondeur de ton corps. Nos rondeurs ne sont pas du même monde, n’évoquent pas les mêmes choses, n’appellent pas les mêmes réactions, nous opposent même dans nos désirs et notre conception du beau. Mon corps, mes rondeurs se situent plutôt dans la grivoiserie, dans un rapport à la terre, dans une bestialité même, une animalité charnelle, un quelque chose de maternelle peut-être. Ton corps a des rondeurs modernes, des formes modernes, il évoque le moderne, le futur, la science-fiction même. C’est la rondeur idéale, le beau universel et approuvé comme tel. Ton désir des autres s’y fond d’ailleurs : tu aimes le beau universel et approuvé comme tel... [...] le beau des affaires, rangé et ordonné, le beau matérialiste, dans la possession ou la possibilité de l'avoir, le beau de la symétrie. Mais par le fait même de te positionner dans cet entendu social, ce consensus, ton corps est générique dans sa perfection. Il manque de candeur, d’expressivité. C’est un corps d’exposition, derrière la vitre protectrice à tout salissement du dehors et de de l’extérieur, voire même de l’interne, de la souillure et du déchet. Tu es une beauté immaculée, une beauté "Spik n' Span", une beauté bibelot qu’on ne doit surtout pas caser, qu’on range lors des partys alcoolisés.»
«Exprimer la sexualité est une chose que tu peines à faire. C’est trop sale pour que ça puisse s’imprimer sur ta peau. Comme si la surface de ton corps est enduit d’une huile protectrice qui empêche le sperme de s’y étendre ou de s’y coller, qui empêche le sexe de s’y matérialiser, de s’y transmuer ou de s’y transposer.»
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mardi 4 décembre 2007
lundi 3 septembre 2007
Paradoxe #1
En fait, je ne sais pas jusqu'à quel point je vais vraiment faire une série de brefs écrits sur mes paradoxes, parce que c'est pas toujours si évident de mettre le doigt dessus, ni nécessairement si intéressant parce qu'ya de ces paradoxes tout à fait banals qui ne valent pas la peine d'y poser le doigt.
Mais bon, pour en venir au fait, j'observe que, dernièrement, j'ai de ses envies de luxure physique (comme c'est bien dit!), presque incontrôlable parfois (remarquez, non pas tant, mais mettons semi presque, ça serait plus ça oui). Par ailleurs, et c'est peut-être dû à mon contact avec ce couple d'ami que j'ai, ya ce genre de sentiment de solitude prenante (ce qui n'est pas encore si paradoxal toutefois), de nostalgie affective et, bien que j'ai beaucoup de difficulté à décrire tout cela comme il se devrait, une sorte de besoin viscéral d'une franche complicité.
Oui bon, à la limite, on s'entend, la luxure ne va pas nécessairement sans l'autre truc. Mais c'est que les deux besoins/envies/peu importe ne se vivent tellement pas de la même façon. Le premier est beaucoup plus intense sensoriellement d'abord et amène un type d'insouciance assumée et de frivolité provocante. Pour ce qui est de l'autre volet, c'est plutôt le contraire, bien que l'intensité est aussi présente. C'est un peu plus cérébral déjà. Il y reste une certaine frivolité, mais elle se situe plutôt dans la possible douceur de l'état d'esprit que ça peut générer.
Quoique, je dois avouer, dans l'ensemble, ça me rend amer autant l'un que l'autre. Les deux pôles restent dans une insatisfaction constante depuis au moins un bon mois pour l'un et un méchant méchant bout pour l'autre. Alors, j'écoute Damien Rice se plaindre à ma place.
Mais bon, pour en venir au fait, j'observe que, dernièrement, j'ai de ses envies de luxure physique (comme c'est bien dit!), presque incontrôlable parfois (remarquez, non pas tant, mais mettons semi presque, ça serait plus ça oui). Par ailleurs, et c'est peut-être dû à mon contact avec ce couple d'ami que j'ai, ya ce genre de sentiment de solitude prenante (ce qui n'est pas encore si paradoxal toutefois), de nostalgie affective et, bien que j'ai beaucoup de difficulté à décrire tout cela comme il se devrait, une sorte de besoin viscéral d'une franche complicité.
Oui bon, à la limite, on s'entend, la luxure ne va pas nécessairement sans l'autre truc. Mais c'est que les deux besoins/envies/peu importe ne se vivent tellement pas de la même façon. Le premier est beaucoup plus intense sensoriellement d'abord et amène un type d'insouciance assumée et de frivolité provocante. Pour ce qui est de l'autre volet, c'est plutôt le contraire, bien que l'intensité est aussi présente. C'est un peu plus cérébral déjà. Il y reste une certaine frivolité, mais elle se situe plutôt dans la possible douceur de l'état d'esprit que ça peut générer.
Quoique, je dois avouer, dans l'ensemble, ça me rend amer autant l'un que l'autre. Les deux pôles restent dans une insatisfaction constante depuis au moins un bon mois pour l'un et un méchant méchant bout pour l'autre. Alors, j'écoute Damien Rice se plaindre à ma place.
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dimanche 17 juin 2007
Zou!
Je passe en coup de vent avant d'aller rejoindre mon lit (et mes rêves lubriques) (ou alors la confection très peu palpable (ne pas laisser de preuve!) de début de poésie pré-nocturne plutôt boboche) pour attirer votre attention (si c'est encore possible) vers ma nouvelle chanson fétiche qui sort tout droit de la deuxième saison de So You Think You Can Dance. C'est très bon (Hide and Seek d'Imogen Heap, c'est écrit dans la bande à droite), autant la mélodie que les paroles.
Ça me fait beaucoup penser à cette personne qui, à chaque fois qu'elle m'honore d'un de ses passages, me fait me sentir tel un enfant qui est sur le point de finir de déballer le cadeau de Noël qu'il a vu traîner sous le sapin pendant si longtemps que l'attente en devenait peu à peu insoutenable.
C'est quand même spécial de ressentir encore ce genre d'émotion malgré le fait que je n'ai plus 5 ans et que, en prenant en considération que je fais une analogie entre la personne et un cadeau emballé, je l'ai pourtant déballé à plusieurs reprises déjà. Ça ne change rien en fait, puisque chaque fois à cette qualité unique qui me donner des yeux encore vierges et des sensations qui semblent tout à fait nouvelles.
Ça me fait beaucoup penser à cette personne qui, à chaque fois qu'elle m'honore d'un de ses passages, me fait me sentir tel un enfant qui est sur le point de finir de déballer le cadeau de Noël qu'il a vu traîner sous le sapin pendant si longtemps que l'attente en devenait peu à peu insoutenable.
C'est quand même spécial de ressentir encore ce genre d'émotion malgré le fait que je n'ai plus 5 ans et que, en prenant en considération que je fais une analogie entre la personne et un cadeau emballé, je l'ai pourtant déballé à plusieurs reprises déjà. Ça ne change rien en fait, puisque chaque fois à cette qualité unique qui me donner des yeux encore vierges et des sensations qui semblent tout à fait nouvelles.
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lundi 11 juin 2007
Ne laissons pas filer ma motivation
Je sais que je suis pas très active dernièrement. Mais bon, c'est que je le suis plus dans les autres aspects de ma vie. Et même, je lis plus grands blogs non plus. Je jette des coups d'oeils par-ci par-là pour voir si je ne manque rien. J'ai tout de même pu constater que les Vieux Garçons ont eu de la compagnie devant leur téléviseur cablo-distribué. C'est déjà ça. Comme je comprend d'ailleurs.
Bon, bref, «là n'est pas la question n'est pas là!» Je crois avoir enfin découvert mon point de vue affectif vis-à-vis mon dilemme masculin. En somme, rien de nouveau sous le soleil. Je peux pas envisager de me satisfaire de peu, j'ai pas cette capacité à jouer mon propre rôle dans le quotidien et de travestir mes pensées, mes sentiments ou même mes sensations. Ça me rend froide et invivable, autant dans mon rapport avec l'autre qu'avec moi-même, ce qui est un peu trop à supporter. Donc, ça sent la fin imminente. Parce que bon, j'suis pas plus conne qu'une autre, c'est l'été, ya rien qui presse et puis j'ai de la compagnie à des heures semi-indécentes si j'en ai envie, ce qui ne se refuse pas aussi facilement qu'on le croit. Pendant ce temps toutefois, je me questionne à savoir si un jour, je vais finir par me sortir de cette situation d'impasse caractéristique de mon sélectivisme affectivo-amoureux. Pour l'instant, c'est vraiment pas la fin du monde. Mais ça pourrait commencer à m'inquièter éventuellement. Il est même probable qu'avec la fatigue qui s'imice dans tous les pores de mon quotidien, à cause du travail principalement, j'en vienne à ne plus pouvoir supporter cela non plus d'ici la fin de l'été. Du moins, si la fin de cette été ressemble à la précédente, j'ai de quoi m'inquièter. Mais je crois pouvoir être assez avenante pour envisager de prendre le temps de respirer avant que ça se reproduise. Je respire d'ailleurs énormément depuis le début du mois de mai et m'en porte très bien merci.
Ainsi, je crois avoir un pas pire plan pour tous éventuels problèmes rencontrés et donc parée pour l'été, peu importe la tounure qu'il prendra.
Bon, bref, «là n'est pas la question n'est pas là!» Je crois avoir enfin découvert mon point de vue affectif vis-à-vis mon dilemme masculin. En somme, rien de nouveau sous le soleil. Je peux pas envisager de me satisfaire de peu, j'ai pas cette capacité à jouer mon propre rôle dans le quotidien et de travestir mes pensées, mes sentiments ou même mes sensations. Ça me rend froide et invivable, autant dans mon rapport avec l'autre qu'avec moi-même, ce qui est un peu trop à supporter. Donc, ça sent la fin imminente. Parce que bon, j'suis pas plus conne qu'une autre, c'est l'été, ya rien qui presse et puis j'ai de la compagnie à des heures semi-indécentes si j'en ai envie, ce qui ne se refuse pas aussi facilement qu'on le croit. Pendant ce temps toutefois, je me questionne à savoir si un jour, je vais finir par me sortir de cette situation d'impasse caractéristique de mon sélectivisme affectivo-amoureux. Pour l'instant, c'est vraiment pas la fin du monde. Mais ça pourrait commencer à m'inquièter éventuellement. Il est même probable qu'avec la fatigue qui s'imice dans tous les pores de mon quotidien, à cause du travail principalement, j'en vienne à ne plus pouvoir supporter cela non plus d'ici la fin de l'été. Du moins, si la fin de cette été ressemble à la précédente, j'ai de quoi m'inquièter. Mais je crois pouvoir être assez avenante pour envisager de prendre le temps de respirer avant que ça se reproduise. Je respire d'ailleurs énormément depuis le début du mois de mai et m'en porte très bien merci.
Ainsi, je crois avoir un pas pire plan pour tous éventuels problèmes rencontrés et donc parée pour l'été, peu importe la tounure qu'il prendra.
lundi 28 mai 2007
Deux poids, deux mesures
Ok, je CAPOTE.
J'expliquerai pas en long et large pourquoi (c'est pas mon habitude de toute façon). Mais en bref, c'est une histoire d'hommes. Et ça rarement été aussi «dilemmique» comme situation.
Je reviens d'une pièce de théâtre : «La Trilogie du Réservoir». Ya des gens qu'on peut juste pas se sortir de la peau. Yen a d'autres qui sont l'emblème même d'une avenir stable. La question est de savoir ce qui m'intéresse le plus. Et même là, j'arrive pas à dire.
Pout ce soir simplement, pendant toute la nuit dernière et la journée qui suivit, je me suis questionnée à savoir ce que je devais faire vis-à-vis une éventualité semi possible de ramener quelqu'un avec moi.
J'en fais des rêves follement angoissant d'ailleurs...
J'suis pas mal en train de me dire simplement que, malgré les grandes règles que je m'étais édictée, peut-être que j'ai pas si envie de planifier à long terme dans un angle étroit et aigu ou je restreint mes possibilités. Malgré tout ce que j'ai pu dire, l'été me semble plutôt propice pour renouer avec la folie juvénile des lendemains qui n'existent qu'à moitié et qui n'ont qu'une importance minime. Du plaisir à court terme finalement. Même si, parfois, le court terme vient influencer le long terme (toujours, je sais).
Eh boy hein! Je compte probablement jouer la carte de laisser le temps filer doucement, et voir ainsi où ça me mène. Me bourrer d'activités de tout acabit pour m'empêcher d'y penser. Demain, si je réponds pas présente à la job, je fais le ménage du printemps dans l'appart et puis de la correction. Voilà, donc inévitablement, je peux pas m'ennuyer. J'ai mes films de la Boîte Noire à écouter aussi. Et puis bon, c'est cela. J'ai du vin pour m'abruptir à chaque soir et la télé pour compléter la zombification. J'vais probablement y arriver, j'ai confiance en mon inertie naturelle et mon insouciance naïve qui me tiens encore compagnie malgré les années.
J'expliquerai pas en long et large pourquoi (c'est pas mon habitude de toute façon). Mais en bref, c'est une histoire d'hommes. Et ça rarement été aussi «dilemmique» comme situation.
Je reviens d'une pièce de théâtre : «La Trilogie du Réservoir». Ya des gens qu'on peut juste pas se sortir de la peau. Yen a d'autres qui sont l'emblème même d'une avenir stable. La question est de savoir ce qui m'intéresse le plus. Et même là, j'arrive pas à dire.
Pout ce soir simplement, pendant toute la nuit dernière et la journée qui suivit, je me suis questionnée à savoir ce que je devais faire vis-à-vis une éventualité semi possible de ramener quelqu'un avec moi.
J'en fais des rêves follement angoissant d'ailleurs...
J'suis pas mal en train de me dire simplement que, malgré les grandes règles que je m'étais édictée, peut-être que j'ai pas si envie de planifier à long terme dans un angle étroit et aigu ou je restreint mes possibilités. Malgré tout ce que j'ai pu dire, l'été me semble plutôt propice pour renouer avec la folie juvénile des lendemains qui n'existent qu'à moitié et qui n'ont qu'une importance minime. Du plaisir à court terme finalement. Même si, parfois, le court terme vient influencer le long terme (toujours, je sais).
Eh boy hein! Je compte probablement jouer la carte de laisser le temps filer doucement, et voir ainsi où ça me mène. Me bourrer d'activités de tout acabit pour m'empêcher d'y penser. Demain, si je réponds pas présente à la job, je fais le ménage du printemps dans l'appart et puis de la correction. Voilà, donc inévitablement, je peux pas m'ennuyer. J'ai mes films de la Boîte Noire à écouter aussi. Et puis bon, c'est cela. J'ai du vin pour m'abruptir à chaque soir et la télé pour compléter la zombification. J'vais probablement y arriver, j'ai confiance en mon inertie naturelle et mon insouciance naïve qui me tiens encore compagnie malgré les années.
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vendredi 11 mai 2007
Parlons météo
Je ne sais pas si c'est juste moi mais je me questionne sérieusement sur un petit truc dernièrement avec les températures qu'on a eu pour ce début mai. Simple petit exemple, aujourd'hui 13h40 : 25°C temps ressentie 30°C. Je sais pas vous mais moi je ressens rien. Est-ce que ça serait possible qu'à force d'avoir à faire à des températures saturées, le corps s'adapte simplement mieux? Je me le demande. Remarquez, c'est peut-être également une question d'humidité relative... Mais il me semble qu'il calcule ça dans le temps ressentie. Trop de facteurs et de données différentes avec des noms qui se ressemblent, on finit par s'y perdre.
Une très belle nuit fraîche s'annonce par contre, un bon repos avec la fenêtre ouverte va faire beaucoup de bien.
Une très belle nuit fraîche s'annonce par contre, un bon repos avec la fenêtre ouverte va faire beaucoup de bien.
vendredi 13 avril 2007
Le Petit Prince
Je relisais ça, pour un cours, et puis ça m'a frappé. On en retient universellement la maxime suivante : «On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.» Je comprend, c'est bien beau et cute et tout ça. Et c'est vrai en quelque sorte aussi.
MAIS
On ne porte pas assez attention à ce qui vient après cette maxime dans le texte, et c'est une grande erreur à mon sens. C'est le renard qui continue à parler et ça va comme suit :
«C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.»
puis ceci :
«Les hommes ont oublié cette vérité[...] Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...»
C'est drôle parce que je tiens le même discours depuis quelques temps. Parce que je réfléchissais aux étranges discours que j'ai reçu de la part de quelques hommes depuis mmm à peu près 3~4 ans je dirais. Et la majorité d'entre eux n'ont pas encore compris ce principe pourtant si simple. Mais je crois que c'est une question de génération. On oublie de plus en plus, au fil des années, qu'un droit, c'est bien beau, sauf que ça vient généralement avec un devoir. Enfin, c'est pas l'analogie la plus précise, je l'avoue, mais l'essentiel de mon propos est tout de même là...
MAIS
On ne porte pas assez attention à ce qui vient après cette maxime dans le texte, et c'est une grande erreur à mon sens. C'est le renard qui continue à parler et ça va comme suit :
«C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.»
puis ceci :
«Les hommes ont oublié cette vérité[...] Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...»

Et c'est peut-être bien pour ça que je ne pourrais que très difficilement suivre les résolutions que je me suis donnée à moi-même dernièrement, du moins, pour un pan de celle-ci. Mais c'était la résolution la plus foireuse, qui consistait en fait à me donner le droit de transgresser mon propre système. Et donc, hop, il n'existe plus. Parce que, à mon sens, un des accomplissements personnelles qui devrait être en tête des priorités de tous et chacun est de tendre vers l'amélioration de soi. C'est limite moralisateur tout ça, je l'avoue, mais bon, je le fais jamais, et je le referai probablement pas.
vendredi 6 avril 2007
I'm so doomed
S'efforcer jusqu'à en perdre le souffle de suivre les traces d'un être qui, de toute évidence, est complètement perdu, c'est pas l'une des tâches que j'aime le plus faire au quotidien. Mais bon, j'avoue que mon penchant pour les artistes risque alors de me causer problème de façon récurrente.
Je sens juste que je vais m'épuiser pas mal plus vite qu'auparavant. Ya comme une éffluve de découragement dans l'air de plus en plus épaisse et suffocante. De toute façon, tout le monde le dit, ça ne sert à rien d'aider quelqu'un qui ne veut pas l'être.
Remarquez, peut-être bien que ma vision est extrêmement troublé par mes deux pieds fermement amarrés à la terre des vaches ou que j'ai pas le bon état d'esprit pour comprendre les sous-sous niveaux de complexification qui pourrait y avoir. Mais c'est que j'ai pas toujours un cerveau de femme si développer pour comprendre toutes les subtilités, les «mind-games» ou je ne sais trop. Et peut-être bien qu'yen a simplement pas. Et alors que je devrais me tasser avant d'y laisser des plumes. C'est dans mes résolutions les plus pressantes, à moins d'arguments plus que convaincant. Et comme je ne fais pas confiance au sort, j'n'ai pas l'impression qu'ils surgiront à temps pour me faire changer d'avis.
Oui, c'est dommage.
Je sens juste que je vais m'épuiser pas mal plus vite qu'auparavant. Ya comme une éffluve de découragement dans l'air de plus en plus épaisse et suffocante. De toute façon, tout le monde le dit, ça ne sert à rien d'aider quelqu'un qui ne veut pas l'être.
Remarquez, peut-être bien que ma vision est extrêmement troublé par mes deux pieds fermement amarrés à la terre des vaches ou que j'ai pas le bon état d'esprit pour comprendre les sous-sous niveaux de complexification qui pourrait y avoir. Mais c'est que j'ai pas toujours un cerveau de femme si développer pour comprendre toutes les subtilités, les «mind-games» ou je ne sais trop. Et peut-être bien qu'yen a simplement pas. Et alors que je devrais me tasser avant d'y laisser des plumes. C'est dans mes résolutions les plus pressantes, à moins d'arguments plus que convaincant. Et comme je ne fais pas confiance au sort, j'n'ai pas l'impression qu'ils surgiront à temps pour me faire changer d'avis.
Oui, c'est dommage.
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mardi 3 avril 2007
Résumer ma pensée en 4 propositions simples
Ici
Je rajouterais seulement au commentaire qui suit la citation que ça s'étend même à travers toute la province...
Je rajouterais seulement au commentaire qui suit la citation que ça s'étend même à travers toute la province...
jeudi 29 mars 2007
«Histoire d'une étudiante en fin de session»
et en sous-titre : ou comment faire autrement lorsqu'on étudie à l'UdeM
Voilà. C'est que je suis sortie aujourd'hui, par une température de printemps des plus appréciable en fin mars. Pour me rendre à l'UQAM afin de vérifier des trucs pour mes équivalences de cours pour pouvoir me sortir de mon enfer outremontois (beaucoup de «pour» dans cette phrase). Je suis même allée me chercher un petit café au Second Cup à côté, parce que j'arrive toujours vraiment trop à l'avance (d'ailleurs, c'est quoi l'idée de laisser si peu d'espace pour mettre le lait/la crème??).
Alors voilà, peut-être maximum 2 ou 3 cours à reprendre, c'est à voir. D'accord d'accord. J'aurais des d'autres nouvelles sous peu lorsque ça sera tout organisé. En fin mai, je fais mon choix de cours.
Alors bon, ce ne fut pas très long, donc je vais vers le cégep de ma soeurette parce que de toute façon, la 125 passe par là. Mais bon, c'est la grêve (ben oui ga don ça!). Alors parle parle jase jase au cellulaire avec ma future coloc (parce que je lui jasais déjà en chemin) de notre futur appart duquel je vais signer le bail demain aprèm. Joie! Et puis bon, coffee boost nécessairement, je prend l'autobus, je retourne chez moi et me sens fin prête pour commencer en force mes travaux de fin de session.
Mais le hic, c'est qu'avant d'arriver, ya mon cerveau qui continue à rouler sur un tas d'autres trucs à faire et projets à avoir un beau jour, peut-être dans 15 minutes si je peux bla bla bla bla bla (conversation entre les différentes motivations de mon esprit vous voyez).
Puis bon, hop, je rentre dans mon appart. Alors : Musique Maestro! Je patente des trucs un peu par ci par là, je cherche des fonds d'écran sur ce site. Et encore, faut je me retienne pour pas aller cliquer sur les liens pis voir si yaurait pas un autre truc du même genre pour continuer mes recherches.
Mais là oh, un instant, j'avais un épisode de Bleach en attente (ou en souffrance, mais ça serait peut-être un peu trop hen). Alors bon, je finis de le regarder. Mais tout à l'heure, j'avais remarqué que ça faisait un bon petit bout de temps que j'avais pas lu ce qui se passait sur mes blogs préférés. Alors je me dit qu'au pire, je vais lire ceux que je préfère vraiment, histoire de pas devoir troooop rattraper de retard un peu plus tard au cours de je sais pas quand dans le futur. Alors lecture.
Mais, oh malheur, mon coloc actuel vient d'arriver entre l'épisode et la lecture. Alors paf! bien que j'aurais pu encore avoir un résidu de motivation pour mon travail dont la date limite est la plus imminente, c'est impossible qu'il en reste vu sa présence parasitaire, c'est commentaire des plus impertinents et innintéressants que je dois quand même entendre faute d'une morphologie anatomique plus évoluée qui permettrait de se fermer les conduits auditifs. Avec de la chance, peut-être bien qu'il repartira faire je sais pas quoi ailleurs. Mais faudrait pas trop espèrer.
Et puis ça risque d'être pile-poil au moment où Grey's Anatomy va être en onde sur ABC. Et on sait bien que quand c'est Grey's Anatomy, ya pas moyen de faire autre chose que je se river devant son téléviseur et de ne plus bouger pendant cette heure bénite des dieux. De plus, c'est le genre d'émission qui me revire les trippes à chaque fois, alors le moral risque de ne pas voler folllement haut. Comment faire mon travail avec un tel état d'esprit? C'est pas vraiment possible.
Alors bon quoi? Je me résigne? Faudrait tout de même pas. C'est pas bon pour ma santé académique. Et pourtant, j'attend cette petit voix-off dans le coin de mon ventre (celui des papillons, c'est la que la culpabilité se trouve aussi, je me demande d'ailleurs comment ils font pour cohabiter ensemble quand rien ne se passe, ça doit pas être du
gâteau hen!) qui me dit «Lisons nos textes de Théories et Méthodes Critiques histoire de prendre de l'avance sur l'étude à faire dans quelques jours! Partons à l'aventure! Taiho! (dieu que ça m'a pris trop plein de temps juste pour trouver comment on écrit ça taiho...)» etc etc. Alors, c'est que je suis semi-cinglée. C'est l'euphorie du café...
Je ne connais pas bien l'issue de tout cela. Il FAUT que je fasse mes travaux. Mais ma volonté est trop peu inflexible. C'est vraiment pas évident de se battre avec soi-même et le reste de mes obligations les plus pressante. Avec tout ça, mes impôts sont toujours très loin d'être faits.
Bleh...
Voilà. C'est que je suis sortie aujourd'hui, par une température de printemps des plus appréciable en fin mars. Pour me rendre à l'UQAM afin de vérifier des trucs pour mes équivalences de cours pour pouvoir me sortir de mon enfer outremontois (beaucoup de «pour» dans cette phrase). Je suis même allée me chercher un petit café au Second Cup à côté, parce que j'arrive toujours vraiment trop à l'avance (d'ailleurs, c'est quoi l'idée de laisser si peu d'espace pour mettre le lait/la crème??).
Alors voilà, peut-être maximum 2 ou 3 cours à reprendre, c'est à voir. D'accord d'accord. J'aurais des d'autres nouvelles sous peu lorsque ça sera tout organisé. En fin mai, je fais mon choix de cours.
Alors bon, ce ne fut pas très long, donc je vais vers le cégep de ma soeurette parce que de toute façon, la 125 passe par là. Mais bon, c'est la grêve (ben oui ga don ça!). Alors parle parle jase jase au cellulaire avec ma future coloc (parce que je lui jasais déjà en chemin) de notre futur appart duquel je vais signer le bail demain aprèm. Joie! Et puis bon, coffee boost nécessairement, je prend l'autobus, je retourne chez moi et me sens fin prête pour commencer en force mes travaux de fin de session.
Mais le hic, c'est qu'avant d'arriver, ya mon cerveau qui continue à rouler sur un tas d'autres trucs à faire et projets à avoir un beau jour, peut-être dans 15 minutes si je peux bla bla bla bla bla (conversation entre les différentes motivations de mon esprit vous voyez).
Puis bon, hop, je rentre dans mon appart. Alors : Musique Maestro! Je patente des trucs un peu par ci par là, je cherche des fonds d'écran sur ce site. Et encore, faut je me retienne pour pas aller cliquer sur les liens pis voir si yaurait pas un autre truc du même genre pour continuer mes recherches.
Mais là oh, un instant, j'avais un épisode de Bleach en attente (ou en souffrance, mais ça serait peut-être un peu trop hen). Alors bon, je finis de le regarder. Mais tout à l'heure, j'avais remarqué que ça faisait un bon petit bout de temps que j'avais pas lu ce qui se passait sur mes blogs préférés. Alors je me dit qu'au pire, je vais lire ceux que je préfère vraiment, histoire de pas devoir troooop rattraper de retard un peu plus tard au cours de je sais pas quand dans le futur. Alors lecture.
Mais, oh malheur, mon coloc actuel vient d'arriver entre l'épisode et la lecture. Alors paf! bien que j'aurais pu encore avoir un résidu de motivation pour mon travail dont la date limite est la plus imminente, c'est impossible qu'il en reste vu sa présence parasitaire, c'est commentaire des plus impertinents et innintéressants que je dois quand même entendre faute d'une morphologie anatomique plus évoluée qui permettrait de se fermer les conduits auditifs. Avec de la chance, peut-être bien qu'il repartira faire je sais pas quoi ailleurs. Mais faudrait pas trop espèrer.
Et puis ça risque d'être pile-poil au moment où Grey's Anatomy va être en onde sur ABC. Et on sait bien que quand c'est Grey's Anatomy, ya pas moyen de faire autre chose que je se river devant son téléviseur et de ne plus bouger pendant cette heure bénite des dieux. De plus, c'est le genre d'émission qui me revire les trippes à chaque fois, alors le moral risque de ne pas voler folllement haut. Comment faire mon travail avec un tel état d'esprit? C'est pas vraiment possible.
Alors bon quoi? Je me résigne? Faudrait tout de même pas. C'est pas bon pour ma santé académique. Et pourtant, j'attend cette petit voix-off dans le coin de mon ventre (celui des papillons, c'est la que la culpabilité se trouve aussi, je me demande d'ailleurs comment ils font pour cohabiter ensemble quand rien ne se passe, ça doit pas être du
Je ne connais pas bien l'issue de tout cela. Il FAUT que je fasse mes travaux. Mais ma volonté est trop peu inflexible. C'est vraiment pas évident de se battre avec soi-même et le reste de mes obligations les plus pressante. Avec tout ça, mes impôts sont toujours très loin d'être faits.
Bleh...
mardi 20 mars 2007
Un gars, une fille
Pris dans Crimes et chatouillements d'Hélène Monette
« La chanson de Serge Lama a été écrite par une fille. Lama l'a endisquée par erreur parce que l'erreur est humaine.
Un gars qui a mal à la tête doit subir dans les plus brefs délais une série de tests de dépistage au moyen d'encéphalogrammes complets. Une fille qui a mal au coeur devrait se poser des questions sur son taux élevé de psychosomatisme chronique. Un gars qui boit, boit. Une fille qui boit, s'enfarge. Un gars malade est souffrant. Une fille malade est une fille.
Le premier jour, Dieu créa l'homme. Le deuxième jour, la fille. Le troisième jour, Dieu créa l'hôpital. Le quatrième jour, l'ambulance. Le cinquième jour, le gars conduisait l'ambulance.
Un gars qui dort récupère. Un ange passe à travers des nuées de confettis jolis. Une fille ne dort pas. Une fille a les yeux rouges et le reste du temps elle se maquille.
Une fille triste est psychopathe ou tout au moins alcoolique et paranoïaque. Un gars a du chagrin, il en a gros sur le coeur. Le ruisseau de ses larmes conduit à la mer de ses naufrages. C'est de toute beauté tellement c'est maritime, mais c'est bien triste.
Un gars consolé vaut mieux qu'un gars qui pleure. Une fille qui pleure va voir ailleurs.
Derrière chaque femme, il y a une clinique, un Jean Coutu rempli d'antibiotiques, un médecin d'âge mûr qui ne sourit plus beaucoup, une vie parsemée de champignons, d'ostéoporose, de dépressions, d'otites, coliques et oreillons. Devant chaque femme, il y a un monde rempli de mauvaises nouvelles, de maladies nouvelles et d'hommes nouveaux.
Le sixième jour, l'ambulance brûlait les feux rouges.
Un gars parle, une fille fabule. Un gars s'exprime, une fille rush. Un gars discute, une fille se tait.
Un gars prend la porte. Un fille prend froid. Un gars expose les circonstances particulières d'événements fâcheux. Une fille chiâle.
Une fille qui chiâle ne devrait pas faire ça. Ce n'est pas joli. Un gars qui se plaint est un brave type au fond, COME ON.
Une fille est un gars et un gars est une fille, ça dépend des fois.
Une fille compte ses jours, un gars compte sur une fille. Un gars a des aventures, une fille trompe son chum. Le petit ami pique une colère, la fille appelle sa mère, mange du chocolat et exagère.
Un gars qui trouve une fille tordue est un homme éclairé qui use de discernement dans les choses de la vie, un apôtre de l'amour infini qui bat des mains quand on l'aime. Qui bat. Qui bat?
Un gars pense en utilisant son cerveau droit et son cerveau gauche à pleine capacité toute la journée. Une fille divague, invente, s'imagine des choses la plupart du temps. Une fille donne trop d'explications mais n'est pas bonne dans les éclaircisements. Une fille trébuche dans le noir. Une fille est folle à lier lorsqu'elle parle démesurément de ce qu'elle veut vraiment.
Un gars ne se gêne pas pour se montrer intelligent, il sait quoi dire et quand. Une fille est décontenancée. Point.
Derrière chaque grand homme, il y a une petite femme, boulotte ou anorexique, qui ne réussit pas dans la vie. Dedans chaque homme, il y a au fond, bien au fond, très profond, une femme, qui n'est ni la sienne ni l'obsédante fille aux collants noirs baisée un soir. Dedans chaque homme, il y a une femme qui n'est pas là quand on l'appelle, parce qu'il y a peu d'appelées et pas d'élues.
Un gars qui n'aime pas qu'on parle des gars est un gars. Un gars qui parle des filles est un vrai gars. Une fille qui est en forme fonctionne. Une fille qui fonctionne, c'est l'fun. Une fille le fun parle beaucoup aux gars. Un gars s'en aperçoit et n'aime pas que la fille soit partout à la fois, car Dieu s'est fait homme et Marie-Madeleine a été créée pour pleurer et laver les pieds.
Un gars compliqué est un gars qui n'a pas encore compris qu'il n'a pas à s'en faire. Une fille compliquée est une fille normalement constituée. Une fille normale est une fille plate, par définition. Mais une fille normalement constituée peut toujours s'essayer. Rien de l'y empêche...
Un gars aime une fille, une fille aime un gars, ça dépend des mois.
Dedans chaque femme, il y a des visions, des racontars, des fabulations. Des histoires. Un long cortège d'ambulances, des sorcières en cendre et de l'amour. De l'amour, pourtant. De l'amour brûlant. »
***
Ouais, et à tout cela, peut-être que je rajouterais ceci : « Un gars philosophe et réfléchit sur le sort du monde. Il se pose des questions existencielles et importantes. Une fille fantasme sur un gars et pense à ses problèmes de couple. »
vendredi 16 mars 2007
Si je passe un tournevis dans ma narine...
... et que je fais 2 ou 3 rond, est-ce que mon cerveau va finir par se réparer? Non dans le fond, c'est pas ça. C'est la motivation pour mes obligations. Elle a pas mal disparu. Et je sais pas trop où elle est partie. Sauf peut-être une hypothèse... mais encore. Bah, remarquez, pour l'école je me dis qu'à un travail par jour, je serais sensée être capable de m'en sortir. L'idée c'est de le faire, ce qui est une autre histoire. Pour la job... euhmf. Je sais pas trop, va peut-être juste falloir me donner un bon coup de pied dans le cul. Me dire que si je travaille les 4 jours sur 2 semaines que je suis sensée faire, je me paye un truc bien par paie. Pour le reste, soit les trucs civils, les devoirs de citoyenne, tout ça : faut que je le fasse, c'est pour mon bien et celui de ma carte de crédit aussi.
Je sais pas trop ce qui se passe ce soir. Ça doit être l'épisode de Grey's Anatomy, puis celui de l'autre truc nouveau qui jouait juste après hier mais que j'écoutais tout à l'heure en plus de la toune de Mentake que j'arrive pas à faire sortir de mon esprit (on se demande bien pourquoi d'ailleurs) qui font que je me trouve oh combien démotivé de pas mal trop de chose tout à coup. Ou alors, c'est mes propres réflections sur ce qui se passe (et encore, passer, je ne crois pas que ce soit le meilleur terme) en parallèle. C'est ma façon de sentir que j'ai des insuffisances probablement. C'est dommage grandir finalement. On devient particulièrement trop impliquer par rapport à nos propres réussites, et ce même à des niveaux insoupçonnés.
Et puis peut-être que tout ça, c'est simplement parce que je sais même pas moi-même ce dont j'ai envie finalement. Ce qui est plutôt déconcertant parce que d'habitude oui. Et puis c'est agaçant, parce qu'alors je sais pas vraiment comment réagir, ni même comment agir non plus. C'est pas la fin du monde, mais j'ai juste vraiment l'impression que c'est pas une situation où je suis à mon meilleur, ce qui va inévitablement jouer en ma défaveur un beau jour.
Enfin bref... il est quoi 23h45, et je dois tenter de me coucher pour essayer de guérir mon pauvre petit corps très meurtri et endolori. Parce que le sport et les acrobaties, c'est bien, même très, mais c'est pas l'avis de mes muscles par contre.
Je sais pas trop ce qui se passe ce soir. Ça doit être l'épisode de Grey's Anatomy, puis celui de l'autre truc nouveau qui jouait juste après hier mais que j'écoutais tout à l'heure en plus de la toune de Mentake que j'arrive pas à faire sortir de mon esprit (on se demande bien pourquoi d'ailleurs) qui font que je me trouve oh combien démotivé de pas mal trop de chose tout à coup. Ou alors, c'est mes propres réflections sur ce qui se passe (et encore, passer, je ne crois pas que ce soit le meilleur terme) en parallèle. C'est ma façon de sentir que j'ai des insuffisances probablement. C'est dommage grandir finalement. On devient particulièrement trop impliquer par rapport à nos propres réussites, et ce même à des niveaux insoupçonnés.
Et puis peut-être que tout ça, c'est simplement parce que je sais même pas moi-même ce dont j'ai envie finalement. Ce qui est plutôt déconcertant parce que d'habitude oui. Et puis c'est agaçant, parce qu'alors je sais pas vraiment comment réagir, ni même comment agir non plus. C'est pas la fin du monde, mais j'ai juste vraiment l'impression que c'est pas une situation où je suis à mon meilleur, ce qui va inévitablement jouer en ma défaveur un beau jour.
Enfin bref... il est quoi 23h45, et je dois tenter de me coucher pour essayer de guérir mon pauvre petit corps très meurtri et endolori. Parce que le sport et les acrobaties, c'est bien, même très, mais c'est pas l'avis de mes muscles par contre.
Libellés :
Coup de gueule,
moi-moi-moi-moi-moi,
théorie
mardi 6 mars 2007
Bon alors, le rectum...
AVERTISSEMENT : Ce post est très long, désolé.
Voilà, il était temps. Parce que j'avais promis, et puis c'est important d'en informer le plus possible, malgré mes doigts qui ne font que commencer à dégeler et mon indez droit qui est anormalement irrité à cause de ma fin de semaine à l'entretien (je frotte peut-être trop fort en employé modèle que je suis).
Alors, j'ai eu ce cours mardi dernier, donc il y a une semaine, sur quelques théories élaborées dans «Le rectum est-il une tombe?» de Leo Bersani, juste après avoir vu ça le soir précédent. Ça m'a expliquer bien des choses sur ma réaction vis-à-vis le film.
Bien qu'il n'est pas question que de ça et que je sais que Bersani chiale pas mal après la communauté gay pour différentes raisons qui, à la limite, mériterait réflection dans l'optique des études sur la différence sexuelle, je veux plutôt parler ici du rapport qui existe entre les discours tenus sur les gays et le féminin. Pour faire un bref topo, il faut d'abord comprendre qu'à travers l'histoire, la femme a trop souvent été perçue comme un corps sans âme, un être malade qui peut contaminés ses proches, une hystérique et parfois même un monstre. Ça serait bien long d'énumérer les récurrences de tout ça, mais bon, pensons seulement à Aristote ou Freud qui ont grandement marqués la pensée occidentale. On critique donc, de façon plus ou moins détourné, le féminin et la «contamination» qui le caractérise.
Cela dit, les discours tenus sur les gays sidéens dans les années 80 était le même que celui sur les prostituées au 19e siècle. Le vagin était alors symbole de peste ou de mort. Par la suite, l'objet du concept symbolique s'est seulement déplacé vers la communauté gay à cause du sida, donc vers le rectum. Alors, l'homosexualité a «attrapé» les caractéristiques par lequel on désignait le féminin dans le passé (remarquez, ça se fait encore, inconsciament ou non, parce que les mentalités n'évoluent pas aussi vite qu'on pourrait le croire.)
Bersani met de l'avant que la société a toujours eu une volonté d'éradiquer l'homosexualité, un désir de meurtre envers eux. Le sida a seulement libérer, voire même légitimé ce désir. Et puis, dans société, il faut inclure la communauté gay elle-même, qui a en elle aussi cette volonté parce qu'elle fait partie du sociale. Alors, tout cela a fini par actualisé la perception commune de l'homosexualité comme une maladie ou une orientation suicidaire.
En somme, celui que l'on déteste, c'est le pénétré. Et on le déteste parce qu'il prend volontairement une position de femme. Selon Bersani, ce que l'on méprise dans la sexualité, c'est le rôle passif. Et n'allez pas penser que la fellation ou alors la position d'Andromaque y changent quoi que ce soit. Passif dans le sens pénétré.
Voilà où on doit en venir avec tout ça : c'est que la soumission fait partie d'une réflection à faire sur la sexualité. Il faut finir par reconnaître que le refus chronique de la perte de pouvoir (parce qu'il est belle et bien question de pouvoir, c'est connu) est conditionné par l'imaginaire sociale très très phallocentré et donc, finir aussi par reconnaître la valeurs de l'abandon du pouvoir. Cela permet alors de déduire que le masochisme est un aspect important dans la sexualité, et même qu'il doit être visité pour réussir à comprendre (ce que j'ai toujours dit!) La haine des gays seraient donc une misogynie déplacée. Et c'est pourquoi le rectum serait effectivement une tombe. Une tombe pour le moi, une tombe du culte du monde de la maîtrise du pouvoir.
Bref, la sexualité est systématiquement perçu comme une prise de pouvoir, mais il faudrait tenter de réaliser que la perte de pouvoir est aussi au centre du sexuel. Les femmes doivent passer outre leur réflexe de se percevoir comme des victimes après coup (je ne tente toutefois pas de légitimer le viol ici) et comprendre qu'il y a une valeur dans la position à laquelle elles sont contraintes biologiquement.
Et puis, au pire, c'est pas pour rien qu'on a fini par inventé le strap-on!
Ahahah...
Voilà, il était temps. Parce que j'avais promis, et puis c'est important d'en informer le plus possible, malgré mes doigts qui ne font que commencer à dégeler et mon indez droit qui est anormalement irrité à cause de ma fin de semaine à l'entretien (je frotte peut-être trop fort en employé modèle que je suis).
Alors, j'ai eu ce cours mardi dernier, donc il y a une semaine, sur quelques théories élaborées dans «Le rectum est-il une tombe?» de Leo Bersani, juste après avoir vu ça le soir précédent. Ça m'a expliquer bien des choses sur ma réaction vis-à-vis le film.
Bien qu'il n'est pas question que de ça et que je sais que Bersani chiale pas mal après la communauté gay pour différentes raisons qui, à la limite, mériterait réflection dans l'optique des études sur la différence sexuelle, je veux plutôt parler ici du rapport qui existe entre les discours tenus sur les gays et le féminin. Pour faire un bref topo, il faut d'abord comprendre qu'à travers l'histoire, la femme a trop souvent été perçue comme un corps sans âme, un être malade qui peut contaminés ses proches, une hystérique et parfois même un monstre. Ça serait bien long d'énumérer les récurrences de tout ça, mais bon, pensons seulement à Aristote ou Freud qui ont grandement marqués la pensée occidentale. On critique donc, de façon plus ou moins détourné, le féminin et la «contamination» qui le caractérise.
Cela dit, les discours tenus sur les gays sidéens dans les années 80 était le même que celui sur les prostituées au 19e siècle. Le vagin était alors symbole de peste ou de mort. Par la suite, l'objet du concept symbolique s'est seulement déplacé vers la communauté gay à cause du sida, donc vers le rectum. Alors, l'homosexualité a «attrapé» les caractéristiques par lequel on désignait le féminin dans le passé (remarquez, ça se fait encore, inconsciament ou non, parce que les mentalités n'évoluent pas aussi vite qu'on pourrait le croire.)
Bersani met de l'avant que la société a toujours eu une volonté d'éradiquer l'homosexualité, un désir de meurtre envers eux. Le sida a seulement libérer, voire même légitimé ce désir. Et puis, dans société, il faut inclure la communauté gay elle-même, qui a en elle aussi cette volonté parce qu'elle fait partie du sociale. Alors, tout cela a fini par actualisé la perception commune de l'homosexualité comme une maladie ou une orientation suicidaire.
En somme, celui que l'on déteste, c'est le pénétré. Et on le déteste parce qu'il prend volontairement une position de femme. Selon Bersani, ce que l'on méprise dans la sexualité, c'est le rôle passif. Et n'allez pas penser que la fellation ou alors la position d'Andromaque y changent quoi que ce soit. Passif dans le sens pénétré.
Voilà où on doit en venir avec tout ça : c'est que la soumission fait partie d'une réflection à faire sur la sexualité. Il faut finir par reconnaître que le refus chronique de la perte de pouvoir (parce qu'il est belle et bien question de pouvoir, c'est connu) est conditionné par l'imaginaire sociale très très phallocentré et donc, finir aussi par reconnaître la valeurs de l'abandon du pouvoir. Cela permet alors de déduire que le masochisme est un aspect important dans la sexualité, et même qu'il doit être visité pour réussir à comprendre (ce que j'ai toujours dit!) La haine des gays seraient donc une misogynie déplacée. Et c'est pourquoi le rectum serait effectivement une tombe. Une tombe pour le moi, une tombe du culte du monde de la maîtrise du pouvoir.
Bref, la sexualité est systématiquement perçu comme une prise de pouvoir, mais il faudrait tenter de réaliser que la perte de pouvoir est aussi au centre du sexuel. Les femmes doivent passer outre leur réflexe de se percevoir comme des victimes après coup (je ne tente toutefois pas de légitimer le viol ici) et comprendre qu'il y a une valeur dans la position à laquelle elles sont contraintes biologiquement.
Et puis, au pire, c'est pas pour rien qu'on a fini par inventé le strap-on!
Ahahah...
vendredi 5 janvier 2007
Les méandres de mes sous-titres
« Mathieu dit :
c quoi cet histoire de coeur en érection....
Lizbeth dit :
ahaha
Lizbeth dit :
c'est dans un recueil d'un de mes anciens proches du cégep
Lizbeth dit :
et j'aime bien la métaphore
Mathieu dit :
oh
Lizbeth dit :
et puis ca fait réagir le monde
Mathieu dit :
en effet
Lizbeth dit :
et puis j'aime bien utiliser des termes sur lesquels, en théorie, anatomiquement parlant, je n'ai aucun droit
Mathieu dit :
jmen allait dire que tu te masturbais le coeur.... mais je me suis abstenu lol
Lizbeth dit :
ahaha
Lizbeth dit :
ca pourrait être possible, faudrait j'y réfléchisse sérieusement
Mathieu dit :
...comment on fait sa
Mathieu dit :
sa doit etre bizarre en sale
Mathieu dit :
en tout cas lol
Lizbeth dit :
c'est dans l'abstrait à mon avis
Lizbeth dit :
mais j'suis sure qu'ya pas mal de monde qui le pratique
Mathieu dit :
haha
Mathieu dit :
mais sa doit etre dangereux
Lizbeth dit :
ahah, oui probablement
Lizbeth dit :
un orgasme au coeur, ca doit s'apparenter à une légère crise cardiaque, à utiliser avec modération alors
Mathieu dit :
bin juste lérection doit surment faire très mal. En fait, sa doit faire mal si sa transperce le corps. Genre un coup de poignard
Lizbeth dit :
un peu comme le loup dans je sais plus quel cartoon... il l'avait repris dans The Mask
Lizbeth dit :
si t pas un cartoon en effet, ca doit pas faire du bien
Mathieu dit :
les personnes obèse nont pas ce probleme
Mathieu dit :
plus le ventre est gros et mieux cest
Mathieu dit :
sa se rend pas
Lizbeth dit :
ben, ca peut quand même entrer en conflit avec la cage thoracique
Lizbeth dit :
ou les poumons?
Mathieu dit :
a ouais c vrai
Lizbeth dit :
je sais pas, j'suis pas ben bonne en anatomie interne
Mathieu dit :
on a un beau sujet de conversation quand même
Lizbeth dit :
sur ce, je dois aller me rinser la tête!
Lizbeth dit :
oui, ça s'en va p-e sur mon blog ahah
Mathieu dit :
tu vas faire un copier coller
Mathieu dit :
de cette merveilleuse conversation
Lizbeth dit :
qq'chose comme ca, c'est très hip dernièrement
Mathieu dit :
bon bin bon rinsage »
Un jour prochain, je me pencherais sérieusement sur la question. Ya une théorie à élaborer là-dessus, j'en suis sûr!
c quoi cet histoire de coeur en érection....
Lizbeth dit :
ahaha
Lizbeth dit :
c'est dans un recueil d'un de mes anciens proches du cégep
Lizbeth dit :
et j'aime bien la métaphore
Mathieu dit :
oh
Lizbeth dit :
et puis ca fait réagir le monde
Mathieu dit :
en effet
Lizbeth dit :
et puis j'aime bien utiliser des termes sur lesquels, en théorie, anatomiquement parlant, je n'ai aucun droit
Mathieu dit :
jmen allait dire que tu te masturbais le coeur.... mais je me suis abstenu lol
Lizbeth dit :
ahaha
Lizbeth dit :
ca pourrait être possible, faudrait j'y réfléchisse sérieusement
Mathieu dit :
...comment on fait sa
Mathieu dit :
sa doit etre bizarre en sale
Mathieu dit :
en tout cas lol
Lizbeth dit :
c'est dans l'abstrait à mon avis
Lizbeth dit :
mais j'suis sure qu'ya pas mal de monde qui le pratique
Mathieu dit :
haha
Mathieu dit :
mais sa doit etre dangereux
Lizbeth dit :
ahah, oui probablement
Lizbeth dit :
un orgasme au coeur, ca doit s'apparenter à une légère crise cardiaque, à utiliser avec modération alors
Mathieu dit :
bin juste lérection doit surment faire très mal. En fait, sa doit faire mal si sa transperce le corps. Genre un coup de poignard
Lizbeth dit :
un peu comme le loup dans je sais plus quel cartoon... il l'avait repris dans The Mask
Lizbeth dit :
si t pas un cartoon en effet, ca doit pas faire du bien
Mathieu dit :
les personnes obèse nont pas ce probleme
Mathieu dit :
plus le ventre est gros et mieux cest
Mathieu dit :
sa se rend pas
Lizbeth dit :
ben, ca peut quand même entrer en conflit avec la cage thoracique
Lizbeth dit :
ou les poumons?
Mathieu dit :
a ouais c vrai
Lizbeth dit :
je sais pas, j'suis pas ben bonne en anatomie interne
Mathieu dit :
on a un beau sujet de conversation quand même
Lizbeth dit :
sur ce, je dois aller me rinser la tête!
Lizbeth dit :
oui, ça s'en va p-e sur mon blog ahah
Mathieu dit :
tu vas faire un copier coller
Mathieu dit :
de cette merveilleuse conversation
Lizbeth dit :
qq'chose comme ca, c'est très hip dernièrement
Mathieu dit :
bon bin bon rinsage »
Un jour prochain, je me pencherais sérieusement sur la question. Ya une théorie à élaborer là-dessus, j'en suis sûr!
jeudi 14 décembre 2006
Vu sur 10putes.com
Permalien ici
«Si on est l'amoureux, on veut juste prendre tout ce qu'on va nous laisser. On est prêt à se péter la gueule pour passer un peu plus de temps avec l'autre. On va dire ce qu'il faut pour pas que l'autre se sente mal. En profiter au maximum pendant que ça passe. On checkera les dommages plus tard. Faut bien vivre un peu.»
Heureuse de constater que les hommes, bien qu'ils ne semblent pas toujours tout piger, pigent finalement plutôt bien le concept. Reste à savoir, à présent, si tous les hommes pigent. Alors là, ça m'étonnerait. Mais bon.
Oui, c'est vrai que le concept à des aspects pathétiques. Mais je dirais que ça dépend de l'échelle. L'échelle ma foi fort arbitraire de l'ardeur de cet amour. Qui se «mesure» aussi par tableaux, x étant l'ardeur, y la durée. Oui parce que bon, faut quand même tenter de s'y retrouver moment donné... Je sais, je sais, qui dit sentiment/émotion dit privée/personnel et donc on peut pas calculer gna gna gna, oui JE SAIS! Mais moi je calcule par rapport à moi-même, alors voilà, j'ai le droit!
«Si on est l'amoureux, on veut juste prendre tout ce qu'on va nous laisser. On est prêt à se péter la gueule pour passer un peu plus de temps avec l'autre. On va dire ce qu'il faut pour pas que l'autre se sente mal. En profiter au maximum pendant que ça passe. On checkera les dommages plus tard. Faut bien vivre un peu.»
Heureuse de constater que les hommes, bien qu'ils ne semblent pas toujours tout piger, pigent finalement plutôt bien le concept. Reste à savoir, à présent, si tous les hommes pigent. Alors là, ça m'étonnerait. Mais bon.
Oui, c'est vrai que le concept à des aspects pathétiques. Mais je dirais que ça dépend de l'échelle. L'échelle ma foi fort arbitraire de l'ardeur de cet amour. Qui se «mesure» aussi par tableaux, x étant l'ardeur, y la durée. Oui parce que bon, faut quand même tenter de s'y retrouver moment donné... Je sais, je sais, qui dit sentiment/émotion dit privée/personnel et donc on peut pas calculer gna gna gna, oui JE SAIS! Mais moi je calcule par rapport à moi-même, alors voilà, j'ai le droit!
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