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mercredi 23 janvier 2008

Quotidienneté

  • Avez-vous la nouvelle publicité de l'UdeM «L'avenir a besoin de vous»? Ya un petit garçon noir tenant une kalashnikov dessus. Le lien? Allez savoir! mais c'est vraiment pas une bonne publicité quand on n'y comprend rien. Encore un point de moins pour l'UdeM.
  • J'attendais dans la file pour les prêts à la BAnQ pour emprunter des livres bien évidemment. En arrière de moi, un gros monsieur à manteau vert, lunette et avec la pointe du nez-boule un peu en l'air. Bon alors, on attend. Une file d'attente, c'est fait pour ça, du moins depuis les dernières nouvelles, ça sert encore à ça. Et donc les petites madames qui sont derrière le comptoir sont toutes occupées. Oui en effet, il y a une des clientes qui semblent étirer son temps un peu plus que les autres en posant toutes sortes de questions un peu plus personnelles à l'employé qui la sert. Mais bon, à la limite, c'est une sur 3 (ou 4 je sais pu), donc rien de bien dramatique, et on semble reconnaître à son ton de voix qu'elle est probablement un peu trosomique, dans le vrai sens du terme, donc patience... Finalement, lorsque justement elle a bel et bien terminé d'être servi, c'est-à-dire que les questions sont complètement et exclusivement orientées sur la vie personnelle de l'employé, celle-ci dit à la jeune fille, avec une extrême politesste, que des gens attendent derrière elle. Oui bon c'est vrai, mais à la gauche de la dite jeune fille, ya aussi un anglo qui lambine en posant deux milles questions. Mais alors, le gros monsieur vert à côté de moi, depuis le tout début de l'attente, il se répend en ving milles (soit dix fois plus que les questions de l'anglo) soupirs, toux d'exaspération, yeux aux cieux (ou au ciel? c'est pas clair... mais avec «aux cieux», ça rime) et mettons-en. Bref, il est pressé le môsieur. Et il me fait plus chier que le fait que je dois attendre un peu plus longtemps pour emprunter mes livres. En plus que si vraiment il était si pressé, n'avait qu'à se libre-servir à côté (merde!). Et donc, à au enième signe d'impatience, je commence à m'impatienter à son égard également. La pauvre commis en face de moi à du interprèter mon impatience autrement puisque c'est le moment où elle a choisi de signifier à la jeune fille effectivement trisomique qu'il y a des gens derrières qui attendent. Le gros môsieur vert fini par se faire servir en vitesse à la caisse à côté de la mienne. Et moi, dans ma grande envie de lui foutre mon pied dans son nez, je rumine dans ma tête à l'idée de ne pas avoir réagit lorsqu'il s'impatientait tout en suant dans son manteau vert à mes côtés. Vous savez, c'est vrai que le service à la clientèle, principalement à Montréal, laisse parfois à désirer. Mais, et ce peu importe où au Québec, voire à travers le monde, les clients agressifs et désagréables, c'est bien pire. Si vraiment ya raison de se plaindre outre le fait d'être pressé, si vraiment ya réccurence de mauvais service ou mauvaise foi évidente de la part d'un employé, au pire, plains-toi pour de vrai, à un gérant, par écrit (service facilement accesible sur internet) ou au service des plaintes, mais fait pas chier les autres qui ont pas envie d'avoir à supporter ton air d'enfant de chienne. Au pire, quand tu es pressés, évite donc les files d'attente et repasse un autre jour, voilà!
  • Sinon, le délai de 15 min d'inactivité sur les ordis des labos à l'UQAM, ça fait chier. J'ai perdu mes notes de cours à cause de ça maudit maudit. Heureusement que j'ai une bonne mémoire et que j'ai pu les re-rédiger pas pire, mais bon, c'était quelque chose que j'aurais préféré ne pas avoir à faire.
  • Ce matin, je n'ai pas été dérangé par qui que ce soit dans mon sommeil. Étonnant n'est-ce pas? Eh bien, j'ai dormi jusqu'à 11h30 et ça a fait du bien beaucoup. Merci voisin crétin. Mais ça ne sera pas suffisant pour m'enlever l'idée fixe que tu as si bien imprimé dans ma tête depuis six long mois comme quoi, en juillet, c'est toi ou c'est moi, et ça ne sera pas moi...

mardi 22 janvier 2008

Février

Ah non, pas le mois de février qui approche à grands pas... Sérieusement, pourquoi ne pourrait-on pas le sauter celui-là. D'abord, il fait froid, ce qui est déjà une bonne raison en soi. Et puis il fait noir, c'est plate, on s'ennuie, les couples font chier le reste de la planète avec leur St-Valentin, bref, rien de bon en resort de ce mois-là. Oui bon, c'est la fête de certaines personnes dans mon entourage en effet, mais c'est pas suffisant pour me réconcilier avec cette maudite période excessivement drabe de l'année. Au moins, je crois que je vais avoir un petit coussin d'argent pour m'aider à traverser tout ça avec la satisfaction éphémère de pouvoir exercer mon pouvoir d'achat sur des trucs dont je n'ai pas absolument besoin.

Enfin bref, aujourd'hui il neige, je comptais justement sortir pour aller boutiquer un peu, mais voilà, je suis lâche et paresseuse donc je vais plutôt rester dans mon lit à bouquiner. Et puis, j'ai décidé que je recommençais, de nouveau, à m'entraîner à la maison. La question est de savoir pendant combien de temps cette bonne résolution va tenir. Faudrait bien que je m'inscrive dans un gy un jour... Quoique, avec mon flegme légendaire (ouais, pas tant en fait), ça risque pas de me mener en quelque part de très concluant vu que juste l'idée d'avoir à me déplacer à cet effet risque de sucer toute ma motivation. Mais bon, je vais y penser.

mardi 8 janvier 2008

La rentrée

Oui, lundi est belle et bien terminé. J'ai tout de même passer une belle journée, même si j'ai couru en grande partie au début parce que je savais pas quoi me mettre sur la peau, avec la température, l'effet psychologique de la rentrée, mon cours en soirée bla bla bla. Mais bon, dans l'ensemble, c'est bien, même trop, et donc mon dilemme de choix de cours est d'autant plus difficile à résoudre, mais je me fais confiance, il y aura une solution.

Le retour à la maison a sans doute été le plus le fun de la journée, parce que le retour à la maison d'une part, et de l'autre le retour de la ribambelle de Tout sur moi, et de mes deux animateurs de late night show préférés. C'est qu'on s'attache vite vous voyez. J'avoue que ma joie est un peu plus grande en ce qui concerne Tout sur moi et elle le sera encore plus lorsque la première saison sortira en DVD pour revoir ces nombreux moments succulants, tout ça. En plus du fait que je vais pouvoir en faire la publicité dans mon entourage qui ne connait pas la série, vu mes qualités de modeste vidéothèque.

Enfin bref, confirmation de la dite date aussi. J'ai appellé une amie à la rescousse de mes angoisses de dernières minutes pour ce qui est principalement de l'accoutrement, même si c'est rarement ce qui fait ou non d'une date quelque chose de réussi (du moment qu'on ne porte pas un sac à poubelle, littéralement... et encore). Donc, vraiment, 2008 semble bien se présenter pour l'instant.

Il ne manquerait plus que je n'aie même pas besoin de faire une demande d'aide financière au gouvernement, et là, vraiment, ça serait over the top (voire même que je commence à me faire un petit fond pour rembourser ma marge de crédit par exemple).

Oh well, on verra bien. Il faudrait également que je songe à poser un acte quant à mon problème amicale qui traîne depuis la session dernière. Bleh... Quand il faut ce qu'il faut...

dimanche 6 janvier 2008

What a start

C'est la première fin de semaine de l'année, non? Réponse : Oui (je fais un shérif de Nottingham de moi-même) (je me comprend). Alors donc, en cette fin de semaine, j'ai pseudo réglé une histoire qui traînait (on s'entend que ça s'est pas tant réglé comme je le souhaitais, mais je fais la paix avec ça de mieux en mieux à présent, et puis ce que j'ai appris m'a presque complètement enlever la haine que j'avais contre la personne en question, et donc je prend tout ça avec un grain de sel à présent) ET j'ai possiblement une date bientôt, dans les jours à venir. Sans compter que bon, mes cours pour la session qui commence demain (oh my je suis tellement pas prête à recommencer) ont tous l'air follement intéressant, les profs également. Mes notes de la session dernière sont, à date, fort satisfaisante.

Bref, l'année commence en beauté, même si j'ai passé une journée plutôt moyenne pendant plusieurs heures consécutives. Oh well, je me permet d'être optimiste. Moi qui croyait que 2008 allait juste être aussi pourrie que les deux dernières années, eh bien je dis :«Rock On 2008!»

jeudi 22 novembre 2007

Hourra!

Je sais pas vous, mais moi, la première neige, puis le premier lit de neige qui reste assez longtemps pour que je le vois, ahhhh... Je sais pas, ça fait du bien. Autant la neige peut paraître l'annonce d'une saison de froid, de marde à pelleter, de slush qui mouille les bottes, puis les bas, puis les pieds, autant pour moi, c'est comme un nouveau départ, ou je sais pas. Une pluie d'espoir ou un truc comme ça. Enfin bref, moi ça me fait du bien voilà! Et présentement, c'est exactement de ça dont j'ai besoin. Alors yé la neige, une belle main d'applaudissement pour elle!

P.S.: Et puis, c'est le retour d'October Road sur ABC!
P.P.S.: Et puis, le Bachelor de cette année est toujours célibataire! USA here I come ahah.

vendredi 9 novembre 2007

Journaux, CAA et autres solicitations de marde

Maintenant que l'UQAM est en grève (du moins, ma faculté oui), je suis plus souvent à la maison. Et je songe sérieusement à me procurer un répondeur. Parce que franchement, avoir le loisir de ne pas répondre aux appels du Journal de Montréal, d'un quelconque service inutile qui veut parler à mon ancien coloc, du CAA (je n'ai même pas d'auto!) ou d'un mauvais numéro, ça me manque vraiment. Et puis, évidemment, ils appellent toujours au moment même où j'suis occupée avec la télé ou les deux mains dans le lavabo en train de faire la vaiselle. Je commence à devenir de plus en plus méchante d'ailleurs. Le bon vieux screening process, ahhhh un jour un jour.

Sinon, la construction en face de chez nous, en plus de faire chier le peuple avec leur camion qui hurle en reculant ou un truc d'isolation qui fait le pire vacarme ever, vient sonner à ma porte à 7h30 du mat à cause qu'ya un char qui est stationné dans "leur" stationnement (la rue, qui n'appartient à personne...). D'une part, font chier. Mais en plus, le char en question appartient à l'amant ou au chum de ma voisine, qui me tappe déjà semi sur les nerfs parce qu'yamène toujours ses deux gros chiens qui ont nécessairement besoin d'aller pisser tous les matins à 6h, quand moi je dors, et que leur queue frappe systématiquement dans ma porte sans arrêt.

Beaucoup de plaisir bref. La grève finit quand déjà?

vendredi 2 novembre 2007

Lendemain de fête tranquille

C'est en revenant (ou au moment même, je me souviens plus bien) de manger des ailes de poulet au St-Hubert (qui sont follement bonnes d'ailleurs) hier soir que je me suis rendue compte à quel point ça me manque un homme. Ma grève tient bon, je suis dans la passe la moins facile en fait, c'est probablement à cause de ça (et de l'alcool) que mes principes étaient un peu plus mou qu'à l'habitude. Ajoutez à cela le rush de mi-session, c'est clair que ça n'aide en rien.

Mais bon, en gros, je passerais ben une heure entière à frencher...
L'autre truc aussi c'est que la fille avec qui je passe le plus de temps au quotidien est aussi dans un état de manque incroyable vu que son chum est partie en mission pour un tit bout. Alors, évidemment, on fait juste penser à ça chacune de notre bord, ya pas tellement moyen de s'organiser pour s'occuper le cerveau autrement. Damn!

lundi 8 octobre 2007

Nouvelle résolution

Oui, c'est le début du mois d'octobre, je sais. Mais je crois que c'est pour le meilleur que je décide de danser plus souvent comme une folle dans mon appart sur le son d'une quelconque chanson, le volume dans le tapis. Remarquez, c'est pas mon voisin d'en bas qu'ya des raisons de chialer.

mardi 21 août 2007

Mon voisin d'en bas

Vous savez, quand on se promène à Montréal le soir, genre dans les 9h ou 10h, et qu'ya ces gens en train de déménagé en plein milieu du mois, on se dit souvent : « Tiens, ils ont 3 ou 4 loyers en retard et ils déguerpissent avant que ça se complique... » On oublie souvent, et même si le jugement n'est probablement pas toujours exact, d'avoir une petite pensée pour les voisins de l'appartement où ces gens vont aller emménager un peu plus tard dans les maritimes. Faudrait pourtant! Parce que à 2h du mat, quand tout le bloc tremble parce que les meubles se cognent dans la porte d'entrée, qu'ils sont posés avec une délicatesse rappelant un cul de big mama dans le transport en commun ou que le nouveau locataire ou sous-locataire décide qu'il est temps de clouer ce truc qu'il faut absoluement clouer maintenant et pas demain, la première chose qu'un voisin a envie de faire, c'est de descendre avec un panier de fruit et un sourire de maniaque.

mercredi 25 juillet 2007

Chais pas vous...

... mais moi, depuis le début de l'été, j'ai toujours l'impression de croiser ce monsieur.
La dernières fois c'était ya un bon petit bout à la sortie du métro Place-des-Arts en attendant la 125 qui n'est passé qu'une fois sur deux, soit la deuxième fois.
Aujourd'hui, c'est en passant devant le café je sais pu quoi (celui devant le club vidéo le 7e) avec mon sac d'épicerie remplie de marde (au sens figuré, parce qu'yen vende pas vraiment hein...)

Alors, évidement, usant de ma déduction logique des plus louches, je crois que j'ai définitivement un stalker à moi

Les derniers développements

Avec les infos que j'ai eu en fin de journée, mettons que je ne m'attend à pas grands autres développements en fait. J'ai l'impression qu'il faudrait que je travaille encore comme une folle pour si peu de chose, et, tant qu'à ça, j'arrive pas tellement à voir où j'en retirerais des bénéfices. Pas que j'suis amère, plutôt épuisée.

Enfin, à mon sens, je ne demande pas la lune, et même à peine un grain de poussière de lune. La répétition du genre de situation un peu plate comme celle-ci commence à me peser grave. À force de laisser respirer les autres, on dirait que je me fais systématiquement étouffer.

Des fois je me demande si je devrais pas retrouver la foi et dévouer ma vie à Dieu (c'est vraiment grave...)

dimanche 22 juillet 2007

Pendaison de crémaillère

C'était tranquille mais agréable. Et puis, c'est pas non plus comme si j'ai organisé ce party avec beaucoup de soin. Mon but premier était tout autre alors...
D'ailleurs, à ce propos, si ya bien un désavantage au fait d'être célibataire, c'est d'avoir une nuit en très bonne compagnie puis de regarder son lit vide le soir suivant. Je tourne pas mal en rond sur moi-même en ce moment et c'est chiant.

mardi 26 juin 2007

Dernier mille sur la rue de Rouville

Ça ne s'améliore pas, mais alors pas du tout. C'est agressant, désagréable, irritant, ça pique presque, ça se répend. Je ne parle pas ici d'un quelconque ITS (oui parce que c'est bien infection et non plus maladie), mais plutôt de la colocation. Pas n'importe laquelle évidemment car il existe (bien que très rarement) des histoires de colocation sous le signe du bonheur commun, dans un partage continuel d'amour fraternel et dans un respect sain et serein. Mais bon, ce n'est (oh malheur) tellement pas mon cas.

Me reste plus que 2 petites semaines de rien à endurer l'individualisme du semi enfant roi avec lequel je reste et ça me semble le plus terrible des montagneux obstacles à surmonter. Déjà, hier soir, moi et ma fatigue de la fin de semaine de 3 jours à me traîner à l'hôpital pour entretenir mon bloc (et donc laver une dizaine de chambre de patient), on (moi et ma fatigue, ça fait deux) se couche vers les 18h30~18h45 pour ne plus se réveiller s'il le faut (parce que du coup, ça m'évite d'avoir à faire 2 appels qui me donnaient pas envie de les faire). Le sommeil va de bon train si ce n'est du retour du dit coloc. Pourquoi respecter la personne avec qui on habite quand on peut simplement ne pas le faire? Je me le demande bien. Alors donc, comme les portes de chambre restent ouvertes pour l'été à cause de la chaleur accablante qu'il y fait sinon (exception faite des moments duo-esque où il est mieux d'endurer une température plus élevée pour ne pas indisposer les yeux chastes et purs d'autruis), la règle non dite non écrite serait de faire attention à l'allumage de lumière lorsque l'autre dort. Mais il semblerait que cette règle s'applique qu'à moi parce que ma lumière doit être plus forte ou je sais pas. Alors, le dit coloc fait attention moyennement jusqu'à ce qu'il se rende dans sa chambre, ouvre sa lumière, me réveille du même coup, et quitte le 2e étage pour aller ouvrir la tv afin d'écouter les Simpsons. Son interrupteur doit peser 200 kilos ou je sais pas pour que ce soit un effort si intense de le relever afin d'éteindre (oui parce que il marche à l'envers). Eh ben! vous direz vous avec toute la compassion du monde à mon égard. Merci merci.

Je sais pertinement que ça semble être un événement purement anodin. Dans mon cas, je crois que ça l'ait aussi, malgré l'effet toujours très désagréable de se faire réveiller quand ce n'est pas nécessaire. Le fait est plutôt que j'en ai soupé des événements répétitivement anodins tel celui-ci et que chacun d'entre eux devient un de trop. En attendant de quitter les lieux, je me repasse en boucle une séquence d'un court métrage de mon cru dont le titre s'approche vaguement de ceci :«Punching Elise ou le colocataire en morceaux».

lundi 28 mai 2007

Deux poids, deux mesures

Ok, je CAPOTE.
J'expliquerai pas en long et large pourquoi (c'est pas mon habitude de toute façon). Mais en bref, c'est une histoire d'hommes. Et ça rarement été aussi «dilemmique» comme situation.
Je reviens d'une pièce de théâtre : «La Trilogie du Réservoir». Ya des gens qu'on peut juste pas se sortir de la peau. Yen a d'autres qui sont l'emblème même d'une avenir stable. La question est de savoir ce qui m'intéresse le plus. Et même là, j'arrive pas à dire.
Pout ce soir simplement, pendant toute la nuit dernière et la journée qui suivit, je me suis questionnée à savoir ce que je devais faire vis-à-vis une éventualité semi possible de ramener quelqu'un avec moi.
J'en fais des rêves follement angoissant d'ailleurs...

J'suis pas mal en train de me dire simplement que, malgré les grandes règles que je m'étais édictée, peut-être que j'ai pas si envie de planifier à long terme dans un angle étroit et aigu ou je restreint mes possibilités. Malgré tout ce que j'ai pu dire, l'été me semble plutôt propice pour renouer avec la folie juvénile des lendemains qui n'existent qu'à moitié et qui n'ont qu'une importance minime. Du plaisir à court terme finalement. Même si, parfois, le court terme vient influencer le long terme (toujours, je sais).

Eh boy hein! Je compte probablement jouer la carte de laisser le temps filer doucement, et voir ainsi où ça me mène. Me bourrer d'activités de tout acabit pour m'empêcher d'y penser. Demain, si je réponds pas présente à la job, je fais le ménage du printemps dans l'appart et puis de la correction. Voilà, donc inévitablement, je peux pas m'ennuyer. J'ai mes films de la Boîte Noire à écouter aussi. Et puis bon, c'est cela. J'ai du vin pour m'abruptir à chaque soir et la télé pour compléter la zombification. J'vais probablement y arriver, j'ai confiance en mon inertie naturelle et mon insouciance naïve qui me tiens encore compagnie malgré les années.

mercredi 9 mai 2007

La forme

Ouais, vu que les belles journées sont de retour et qu'hier j'ai bu trop de café, je me suis promis d'aller courir le plus souvent possible (~une fois par jour) sur la piste cyclable en arrière de chez moi. Je pars de Dézéry et je me rend jusqu'au commencement de la rue Ste-Catherine à partir de Notre-Dame, soit un peu plus loin que Viau puis je reviens.
Hier, ça m'a pris grosso modo 50 minutes, en faisant halte à La Belle Province sur Bourbonnière pour remplir ma bouteille d'eau. Aujourd'hui, ça a pris 40 minutes, même un peu moins. Déjà pas pire amélioration... Y faut bien remarquez, je me suis finalement acheté un bikini, ce que je ne m'étais pas procurer depuis 2 bonnes années, et je veux pouvoir parader fièrement dedans. Et puis, mon cardio n'est pas ma plus grande force, alors comme j'ai le temps, j'en profite. Surtout que la piste cyclable est pas mal chouette. Manque juste un coéquipier pour pouvoir prendre ma douche avec après le parcours...




Mais quoi, j'ai le droit de rêver aussi lubriquement que je le souhaite.

vendredi 4 mai 2007

Petit animal

J'aime bien la nouvelle toune d'Ariane Moffatt même si son refrain est dur à chanter lorsqu'on manque d'attention. Il est peut-être un peu trop optimiste, mais bon, ça fait du bien justement. Ça va comme suit :
«Je ne pourrai plus me passer de toi
Le jour où tu viendras t'endormir dans mes bras
Et tu ne pourras plus te passer de moi
La nuit où j'irai faire un tour dans tes draps»

Ouais c'est ça. Je voulais passer un commentaire, mais je voudrais pas qu'on croit que c'est lié tout ça. C'est plus l'ambiance de la musique et de la sonorité de la chanson qui me fait penser un peu à ma soirée qui vient de se terminer ya pas 30 minutes. Simplement, c'était fort agréable... un même un peu cochon.



(oh que je suis forte quand même pour donner l'écho à mon titre avec un truc qui à pas de lien à la toute fin, je m'épate ahah)

jeudi 12 avril 2007

À la fin de session les meilleurs projets

Comme je le fais toujours quand j'ai du temps à perdre (et comme j'ai besoin d'avoir mes moments d'inerties en fin de session), je naviguais briêvement sur le net hier, à la recherche d'un site aussi bien que celui sur les citations de SATC (pour les incultes, c'est le sigle pour Sex and the City) mais pour la série Friends. Il n'y en a pas. Ya juste des trucs moyens qui font un listing en continu sur une seule page, plus ou moins bien divisée, plus ou moins bien classée. Et pas très complet. Je dis pas que le site sur SATC est très complet, mais au moins un peu quand même. Alors, éventuellement, je m'y metterais (comme j'ai les 10 saisons à ma disposition en tout temps). Projet pour l'été, mais que j'ai envie de commencer maintenant, en plus d'un tas d'autres trucs. Mais bon, fin de session oblige, obliger de n'en rien faire...

J'ai mis une jupe hier. Le monde n'était pas près, mais bon, who cares. J'ai quand même assez aimé ma journée et puis avec des bas de nylon, y fait jamais vraiment froid. Je croyais avoir le pouvoir de faire se rapprocher le beau temps, mais la météo est contre moi aujourd'hui. Il paraît donc que je n'ai aucun pouvoir sur elle. Dommage.

Sinon à CTV (8h) et ABC(9h) ce soir, ya ce truc spécial sur Grey's, ça s'appelle Every Moment Counts et j'ai bien hâte de voir parce que bon, ça risque d'être chouette, les meilleurs moments, la musique, tout ça. Les larmes vont être au rendez-vous dans Hochelaga ce soir. Et puis ya cette nouveauté de printemps : Notes from the Underbelly. Mais là juste à ABC parce que CTV/le Canada croit que les séries de crime sordide, c'est plus mieux. Je sais pas où ils sont allés pêcher ça, mais bon, c'est leur affaire. Rien pour encourager le Canada à mes yeux.

Le Fric show dans quelques minutes aussi d'ailleurs, le retour de Ici Louis-José Houde... ahhhh le printemps hen! Mais bon, je dois avouer que j'ai quelques réserves tout de même, en ce qui concerne Legendre Idéal et Le Fric show aussi. C'est bien, c'est correct, mais pas tant que ça. Mais bon, que voulez-vous, Legendre Idéal a Jean-Thomas Jobin, Le Fric show Marc Labrèche... Toutefois, ce printemps, je me donne le droit de me tanner plus vite pour ce qui est de Marc Labrèche, parce que bon, il a déjà un printemps derrière la cravate tout de même!

mardi 3 avril 2007

Un petit verre de vin

Comme quoi je suis dangereuse avec du vin dans le système. Non seulement j'écris alors des drunk email qui pourrait peut-être bien un jour me mettre dans l'embarras (mais pour l'instant, les réactions sont toujours plutôt positives), mais en plus, j'échappe tout et je me pète le nez avec le tire-bouchon. Ouais, c'est parce qu'un bouchon, parfois, ça se retire plus facilement que la force du bras l'avait prévu...
Aïe

samedi 31 mars 2007

How childish...

Invoquer la faute d'un autre pour atténuer la sienne quand les deux événements ne sont pas liés par un rapport cause/conséquence (malgré tout, ça reste très enfantin quand on est pas capable de prendre sa part de responsabilité sur ses actes et oublis).

Je donne un exemple :
-Tu as brisé un verre hier.
-Ouais mais untel aussi ya deux jours.

Je donne le fait réel :
-Tu as oublié de barrer la porte hier soir.
-T'as soeur aussi l'autre nuit.

Ayoye. J'ose même pas répondre à un truc aussi cave. Dans le fond, tu te compares en terme de présence d'esprit à quelqu'un qui est en visite.... ça en dit long sur ton implication au quotidien.

VIVEMENT LE MOIS DE JUILLET!!!

jeudi 29 mars 2007

«Histoire d'une étudiante en fin de session»

et en sous-titre : ou comment faire autrement lorsqu'on étudie à l'UdeM

Voilà. C'est que je suis sortie aujourd'hui, par une température de printemps des plus appréciable en fin mars. Pour me rendre à l'UQAM afin de vérifier des trucs pour mes équivalences de cours pour pouvoir me sortir de mon enfer outremontois (beaucoup de «pour» dans cette phrase). Je suis même allée me chercher un petit café au Second Cup à côté, parce que j'arrive toujours vraiment trop à l'avance (d'ailleurs, c'est quoi l'idée de laisser si peu d'espace pour mettre le lait/la crème??).
Alors voilà, peut-être maximum 2 ou 3 cours à reprendre, c'est à voir. D'accord d'accord. J'aurais des d'autres nouvelles sous peu lorsque ça sera tout organisé. En fin mai, je fais mon choix de cours.
Alors bon, ce ne fut pas très long, donc je vais vers le cégep de ma soeurette parce que de toute façon, la 125 passe par là. Mais bon, c'est la grêve (ben oui ga don ça!). Alors parle parle jase jase au cellulaire avec ma future coloc (parce que je lui jasais déjà en chemin) de notre futur appart duquel je vais signer le bail demain aprèm. Joie! Et puis bon, coffee boost nécessairement, je prend l'autobus, je retourne chez moi et me sens fin prête pour commencer en force mes travaux de fin de session.
Mais le hic, c'est qu'avant d'arriver, ya mon cerveau qui continue à rouler sur un tas d'autres trucs à faire et projets à avoir un beau jour, peut-être dans 15 minutes si je peux bla bla bla bla bla (conversation entre les différentes motivations de mon esprit vous voyez).
Puis bon, hop, je rentre dans mon appart. Alors : Musique Maestro! Je patente des trucs un peu par ci par là, je cherche des fonds d'écran sur ce site. Et encore, faut je me retienne pour pas aller cliquer sur les liens pis voir si yaurait pas un autre truc du même genre pour continuer mes recherches.
Mais là oh, un instant, j'avais un épisode de Bleach en attente (ou en souffrance, mais ça serait peut-être un peu trop hen). Alors bon, je finis de le regarder. Mais tout à l'heure, j'avais remarqué que ça faisait un bon petit bout de temps que j'avais pas lu ce qui se passait sur mes blogs préférés. Alors je me dit qu'au pire, je vais lire ceux que je préfère vraiment, histoire de pas devoir troooop rattraper de retard un peu plus tard au cours de je sais pas quand dans le futur. Alors lecture.
Mais, oh malheur, mon coloc actuel vient d'arriver entre l'épisode et la lecture. Alors paf! bien que j'aurais pu encore avoir un résidu de motivation pour mon travail dont la date limite est la plus imminente, c'est impossible qu'il en reste vu sa présence parasitaire, c'est commentaire des plus impertinents et innintéressants que je dois quand même entendre faute d'une morphologie anatomique plus évoluée qui permettrait de se fermer les conduits auditifs. Avec de la chance, peut-être bien qu'il repartira faire je sais pas quoi ailleurs. Mais faudrait pas trop espèrer.
Et puis ça risque d'être pile-poil au moment où Grey's Anatomy va être en onde sur ABC. Et on sait bien que quand c'est Grey's Anatomy, ya pas moyen de faire autre chose que je se river devant son téléviseur et de ne plus bouger pendant cette heure bénite des dieux. De plus, c'est le genre d'émission qui me revire les trippes à chaque fois, alors le moral risque de ne pas voler folllement haut. Comment faire mon travail avec un tel état d'esprit? C'est pas vraiment possible.

Alors bon quoi? Je me résigne? Faudrait tout de même pas. C'est pas bon pour ma santé académique. Et pourtant, j'attend cette petit voix-off dans le coin de mon ventre (celui des papillons, c'est la que la culpabilité se trouve aussi, je me demande d'ailleurs comment ils font pour cohabiter ensemble quand rien ne se passe, ça doit pas être du gâteau hen!) qui me dit «Lisons nos textes de Théories et Méthodes Critiques histoire de prendre de l'avance sur l'étude à faire dans quelques jours! Partons à l'aventure! Taiho! (dieu que ça m'a pris trop plein de temps juste pour trouver comment on écrit ça taiho...)» etc etc. Alors, c'est que je suis semi-cinglée. C'est l'euphorie du café...

Je ne connais pas bien l'issue de tout cela. Il FAUT que je fasse mes travaux. Mais ma volonté est trop peu inflexible. C'est vraiment pas évident de se battre avec soi-même et le reste de mes obligations les plus pressante. Avec tout ça, mes impôts sont toujours très loin d'être faits.

Bleh...