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jeudi 3 avril 2008

René

Vous savez, la série qui passe à Radio-Can qui a fait un léger scandale je ne sais plus quand parce qu'elle allait être présenté avant les élections et bla bla bla. Bon, celle-là. C'est à présent la deuxième partie de la série, soit à partir du moment où le PQ est au commande du gouvernement du Québec.

Déjà, l'hiver dernier (du moins il me semble que c'était à ce moment-là), j'avais vraiment accrocher à la série. Et puis, mine de rien, la vie de René Lévesque m'a toujours pas mal intéressé même si je n'ai jamais vraiment approfondi mes connaissances, hormis les quelques fois où je tombais sur un documentaire à son sujet à Télé-Québec.

C'est vraiment spécial la sensation que la série me donne. Par moment, je suis vraiment ému, comme traverser par un sentiment de fierté nationale ou alors de nostalgie nationale, ou un mélange des deux. Et puis en même temps, peut-être à cause de la façon dont c'est présenté, le rapport à la fiction que j'ai, tout ça, j'ai un genre de désillusion ou de perte de foi en l'homme d'aujourd'hui, surtout en l'homme politique. Parce que bon, let's face it, qui pourrait prétendre égaler Réné Lévesque aujourd'hui? Certains diront qu'il n'y a plus de cause digne de soulever l'engouement comme c'était le cas auparavant, mais je trouve que c'est trop facile comme excuse. Je dirais plutôt qu'on n'arrive plus aussi facilement à se tenir loin de la corruption ou simplement à s'en tenir rigueur vu que c'est si normal à présent. Ou même qu'à tenter de satisfaire tout le monde, on n'a plus d'idéaux fixes... Mais je ne sais pas, je ne sors ça sur le moment, je n'y ai pas encore vraiment vraiment réfléchi.

Ma famille a toujours été péquiste. Aujourd'hui, malgré mon attachement pour ce que représentait le partie, je m'interroge. Je ne ferais pas une VLB de moi-même (dieu m'en garde, je ne pourrais alors plus me supporter au quotidien), ou même une Robert Lepage (qui a mon sens avait parler trop vite), mais j'ai l'impression que chaque membre du partie devrait procéder à un examen de conscience avant même de tenter de se sauver la face devant les médias et le public comme le fait sans cesse Pauline Marois. J'aimerais vraiment pouvoir croire aveuglément en elle, mais je sais pas, ya comme un os, j'y arrive pas. Reste qu'il y a une petit partie de moi qui espère toujours voir s'effectuer un retour aux sources des motifs qui ont naguère créé et unifié le PQ.

D'ici à ce que ça se produise, lors de la prochaine élection, j'ai l'intention de scruter les programmes comme il se doit.

Et puis, si j'ai un conseil, un seul, à donner au PQ (je me prend pas pour de la marde ahah), ça serait de visionner la série et d'en prendre exemple, voilà.

mercredi 5 mars 2008

Radio-Can tire la plug de Tout sur moi

Tout sur moi et Les étoiles filantes ne reviendront pas. Remarquez, j'écoutais pas vraiment Les étoiles filantes, elle fut victime de la sélection naturelle de ma grille horaire personnelle. Mais bon, il me semble, à mon souvenir et aux dires de gens que je connais et que j'estime (et donc, desquels l'opinion m'importe habituellement). Mais donc, la deuxième saison de chacune sera diffusée, puis voilà, ce sera tout. Et donc, pour protester, j'ai écrit au service à l'auditoire de Radio-Can. Je suis en train de me demander si je partage donc ici cette dite lettre ou non. En fait, pour l'instant, je préfère pas je crois, mais en gros, je trouve que de plus en plus, les chaînes de télé québécoise, ça fait dur. Et comme j'ai des valeurs culturelles très très très fortement ancrées et tout ça, je suis en train de considérer la possibilité de bouder Radio-Can pour une période indéterminée. Je crois pouvoir me passer des émissions que la chaîne diffuse, et limite, ça ne sera que salutaire pour moi, vu que je consomme déjà bien trop de télévision. Enfin, on verra, mais moment donné, yen a marre d'être dans le public toujours défavorisé au final parce que je m'intéresse à des trucs qui n'attirent pas la grosse majorité, soit seulement un demi-million. Et puis j'ai encore sur le cœur la fin d'Un monde à part, la façon dont le chevalier de la chaîne (Guy A. Lepage) a traité Nelly Arcan à son dernier passage à TLMEP, le non retour d'un tas de truc fascinant. Bref, je suis trop déçue je crois pour pardonner encore longtemps, et peut-être même que ma limite vient d'être dépasser.

Hey come on, surtout que tout récemment, Tout sur moi rayonnait à l'étranger via TV5 monde, et avait même fait l'objet d'une éloge d'une journaliste française. Venez pas me dire que c'est autre chose qu'une question de maudites côtes d'écoutes de marde, parce que là franchement, c'est sûrement pas une question de qualité. Et puis pourquoi enlève-t-on le biberon à un poupon tout naissant qui semble prometteur sous plusieurs aspects faute d'un succès instantané? Et pourquoi pas couper dans le gras avec Virginie, Les Boys, L'auberge du chien noir ou même L'heure de gloire? Bref, à mes yeux, c'est de l'injustice pure et dure.

dimanche 24 février 2008

Oscar 2008

J'écoute les Oscar ce soir et depuis déjà quelques prix (il n'en reste plus que deux je crois), je me pose quelques questions. La cérémonie a 80 ans cette année, et puis ça paraît. Je sais pas vous mais ya comme un truc qui cloche dans l'ordre de la remise de chaque prix.

Je niaiserai pas avec des airs d'offusquée sur les gagnants des prix qui ont moins de temps pour remercier l'Académie, leur famille et leur chien Fifi qui a toujours cru en eux, même si certains speech (bien qu'au fil des années, plus ça change plus c'est pareil) sont quand même euuuh... poignant en quelque sorte (mais ça reste «persévèrerez, les rêves sont réalisables, etc etc.) C'est entendu de tous qu'on peut pas vraiment y faire quelque chose, surtout qu'on est un peu responsable en général.

Je niaiserai pas non plus avec l'espèce de besoin viscéral très institutionnel propre à chaque académie de favoriser les produits nationaux, même si c'est pas vraiment le meilleur, parce que de toute façon, les perdants ont toujours tort (ou quelque chose comme ça) et puis le vote c'est le vote et puis on peut pas satisfaire tout le monde et un tas de trucs comme ça (même si, on s'entend, les prix pour les trucs animés, c'était un peu n'importe quoi). Quoique c'était un bon coup l'histoire de Marion Cotillard, mais je crois que la sacrosainte Académie avait surtout pas trop envie d'avoir les Français sur son dos (cela dit, je ne porte aucun jugement sur la valeur de la performance de la dite actrice).

Vous savez, en tant que femme, je ne peux qu'être un peu frustré qu'on ne change pas de temps en temps l'ordre d'attribution des prix donnés aux acteurs. C'est systématiquement toujours les femmes d'abord. Autant je comprend le geste "galant", mais dans ce cas-ci plus particulièrement, la galanterie cache le machisme. Comme si la performance des acteurs est tellement plus importante, époustouflante, renversante. Comme si le travail d'un homme a encore tellement plus de valeur que celui d'une femme. Mais bon vous savez, l'Académie, les États-Unis, les institutions de pas loin d'une centaine d'année, gna gna gna... Je ne me fais pas trop d'illusion, mais je préfère au moins tenter de sonner certaine cloche. Personnellement, même si j'avais un parti pris pour Depp parce que j'ai trop aimé Sweeney Todd, j'étais beaucoup plus emballée à l'idée d'apprendre quelle actrice allait recevoir son petit trophée. C'était peut-être une question de suspense remarquez, mais quand même, ça devrait être revu cet aspect là. Et c'est pas seulement l'ordre, c'est la disposition. Le prix pour la meilleure performance d'une actrice dans un rôle principal est décerné plus ou moins au milieu de la cérémonie tandis que, pour les acteurs, c'est tout juste avant le meilleur réalisateur et le meilleur film. Oui, je comprend la co-relation, mais est-ce que le fait que le rôle principal soit tenu par un homme a toujours nécessairement de l'incidence sur la qualité d'un film? Et que dire des films comme Gigi, All About Eve, Million Dollar Baby, My Fair Lady, The Sound of Music? Bref, ça, je ne peux que vraiment le déplorer.

Sinon, quelques trucs étranges. Je crois que c'était le prix pour un court documentaire ou quelque chose dans le genre, lorsque les deux réalisatrices sont venus faire leur remerciement, la première dit quelque chose à propos du sujet de leur film, soit la bataille incessante pour les conjoints du même sexe contre la discrimination faite à leur égard. Et, avec une pointe de rhétorique un peu mal habile, la réalisatrice dit quelque chose comme «discrimination que je ne connais pas moi-même étant mariée». C'est beau comme on peut défendre quelque chose et s'en dissocié autant. Oui bon, plusieurs me diront «c'était pas l'idée», «elle ne voulait que clarifier», «elle ne voulait pas offenser la communauté discriminée en prétendant vivre la même chose lorsqu'elle n'est clairement pas dans la même position». Je suis d'accord, en partie oui, mais je suis aussi en droit de me demander pourquoi elle a soudain tant senti le besoin de clarifier devant l'Amérique qu'elle avait une sexualité normale, comme on allait bien finir par s'en rendre compte vu qu'on remercie toujours les époux et les enfants à la fin d'un remerciement de la sorte. Et puis, au pire, et alors?...

Sinon, John Stewart a livré la marchandise à mon humble avis. Quoique, tant qu'à y être, pourquoi pas Stephen Colbert? Mais bon, ça c'est un fait établi aussi, personne ne créer la cérémonie des Oscar pour Elisabeth Dubois (malheureusement, parce que ça serait tout un show).

Oh et puis un dernier truc pour me gâter. Vous savez, Owen Wilson a présenté un prix. Vous savez aussi probablement qu'il a essayé de se suicider en août dernier. Dans ma tête, comme c'est en direct (enfin, il me semble), à chaque moment jusqu'à la fin de se présentation, je m'attendais à ce qu'il fasse un truc complètement imprévisible, un gros petage de coche en règle. Ça aurait été amusant quand même. Je dis pas un truc obligatoirement morbide, mais bon, un truc. Comme une ode à l'amour de Kate Hudson ou je ne sais quoi. Me semble c'est son genre. Enfin, dans ma tête, les Oscar, c'est un événement plein de rebondissement. Ça serait bien de faire un film sur une cérémonie très officielle comme ça qui tourne, mais alors là, vraiment mal. J'vais y penser en tout cas.

Oh et puis, je sais que c'est pas très gentil et tout, mais sérieusement, Tilda Swinton, c'est pas beau tout de suite. Déjà son teint pâle et son visage squeletico-souriesque, mais en plus ses efforts pour personnifier l'androgynie au XXIe siècle... C'est probablement les cheveux et la maigreur qui font ça. Mais vraiment, je sais pas, elle n'entre pas dans mes canons de beauté.

mardi 19 février 2008

Casino 2

J'avais écouté la première saison avec plus ou moins d'intérêt, mais bon, comme j'avais écouté les 3 ou 4 premiers épisodes, aussi bien l'écouter au complet. Ce soir, j'avais une amie chez moi et dans la foulée, on s'est mise à écouter le premier épisode (oui, parce que le mardi anyway, ya trop rien à la télé). Euh, voulez-vous bien me dire c'est qui la personne qui a écrit le scénario? Non mais un texte avec autant d'inégalité, ça se peut quasiment pas. Mais bon bref, vous ne me reverrez pas devant Radio-Canada le mardi soir. Je voudrais en faire une parodie que je serais même pas capable d'égaler le texte original, c'est tout dire...

vendredi 8 février 2008

The Moment of Truth

Nouveau quiz sur Fox à propos de la vérité (toute la vérité!). Dans le ICI de la semaine passé, yavait une chroniqueuse (je sais plus laquelle) qui parlait justement du culte de la vérité, comme quoi on va finir par la vendre en boîte dans les dépanneurs et tout. Et j'avoue que après avoir vu le premier épisode...
Vous savez, avec la grève des scripteurs, faut touver des façons de continuer à attirer un certain audimat, continuer à vendre de la pub histoire de pas trop perdre d'argent. J'avoue que déjà, par curiosité, tu as envie d'écouter un épisode. Puis comme il se termine sur un des participants qui n'a pas fini de répondre aux questions, t'as envie de voir l'autre qui suit aussi. Mais bon, on s'entend, ça paraît qu'ya pas grand scripteur derrière tout ça. C'est excessivement "catchy" pour peu de chose. Beaucoup de temps mort, pour rien en général. Et puis, en tant que Québécoise, j'ai beaucoup de difficulté à me retrouver concernée par les "oh", les "ah" et les "boo" du public. Les Américains sont tellement prudes, ils aiment tant jouer sur la bonne conscience des gens, c'est ridicule. Enfin... Reste que le potentiel de divertissement est là en partie. Si un couple se pête la face solide, ya des chances que ça m'amuse. C'est du potinnage oui, mais voilà, on aime ça. Venez pas me dire le contraire, avec les télé-réalités de toute acabit, les magazines à potin à la pelle, le site de Perez Hilton (qui l'a même rendu célèbre...) come on!

vendredi 1 février 2008

Vendredi soir

La première saison de Dirt s'est terminée la semaine dernière sur Bravo!. En attendant la deuxième, je n'ai plus rien à me mettre sous la dent le vendredi, et donc comme vous pouvez le croire, c'est presque le drame. Sinon, probablement en partie à cause de la grève des scripteurs, je n'ai droit qu'à des reprises de Moonlight. Mais bon, en partant, on fait pas un vendredi soir avec que cette émission qui n'est que bien, sans plus. Et donc, je ne sais plus quoi faire de mon corps. Sortir dehors? Quel blasphème!

jeudi 31 janvier 2008

Varia #3

  • «Astérix aux Jeux Olympiques» serait mauvais selon la critique. Oui bon, fallait s'y attendre hen! Moi je le voyais venir à 100 mille à l'heure. Déjà, c'est pas le même type qui fait Astérix alors moi bof, ça me tente un peu moins. Jamel n'y est pas non plus. La trame contraignante des jeux olympiques vient nécessairement alourdir le tout, déjà que c'est pas le meilleur album non plus. On se souviendra que le premier volet était nul de chez nul, alors bon. Et puis vous avez vu les previews? Pas le petit truc avec les armées qui font des formes là, mais la version longue, avec extrait. Si vraiment c'est celle-là qu'il passait dans les salles au cinéma, personne n'accourerait pour le voir.
  • Je redécouvre les joies de l'éclairage à la chandelle. Oui, en effet, avec la froidure, ça fait presque l'effet d'un succédané de foyer. Enfn, si on approche les mains oui. Mais bon, c'est aussi l'ambiance tamisée. Et puis, je sais pas, ça me relaxe énormément. Remarquez, moi le feu, j'ai toujours eu un faible. J'dois avoir des envies pyromanes refoulées en quelque part dans mon inconscient...
  • Si quelqu'un à un bon livre de littérature étrangère à mon conseiller, ayant pour sujet le thème du double, ou un thème qui rejoint de près ou de loin le couple, l'identité sexuelle ou le féminin/l'homosexualité comme composante de l'abject, ça serait vraiment apprécié. Je fais des recherches, mais dans l'abondance de choix, parfois c'est presque comme si il n'y en a pas du tout.
  • J'ai pris différentes résolutions tardives dernièrement dont un renforcement de ma grève, qui vient englober encore plus de truc, tenter de couper un peu sur ma consommation télévisuel afin de mieux me concentrer sur mes lectures, et puis vraiment essayer de briser un patern qui me suit depuis un bon moment déjà et qui me fait toujours vivre un esti de calvaire.
  • Depuis le temps des fêtes, je redécouvre Musimax et c'est un bon poste à écouter à temps perdu, exception faite des émissions Top 5 quelque chose, parce que c'est souvent la crème de la marde en musique. #1 est agréable pour la redécouverte d'anciens hits qu'on avait oublié. La panoplie d'émissions sur les stars est fort amusante.

mardi 22 janvier 2008

Quelques petits trucs sur le pouce

  • Ma mère m'a ramener une boîte de choses qui m'appartiennent (principalement des livres) et, dans cette boîte, il y avait mon journal de bord pour mon projet d'intégration de fin de DEC. Que de beaux souvenirs, vraiment. Dieu que je m'ennuie de ce temps révolu. Même si on me dit que j'ai encore de nombreuses années devant moi, je crois sincèrement que mes deux années à Maisonneuve constituent l'âge d'or de ma vie. L'influence qu'ont encore les événements, les rencontres et l'éducation que j'ai eu là est probablement ce que je chéris le plus présentement, ce qui m'aide à tempéré mes désagréments actuels.
  • J'aime bien How I Met Your Mother, que je viens presque tout juste de découvrir (je crois que c'était un peu après les fêtes). Ça vaut la peine de s'y attarder.
  • Mon clavier semble avoir quelques petits problèmes que je devrais essayer de règler avant la mi-session pour ne pas avoir l'envie de l'envoyer se fracasser contre un de mes murs. Il doit être trop plein de miette de je ne sais quoi à l'intérieur : mes touches ne répondent pas toujours du premier coup et donc ça nécessite de ma part autant une attention accru qu'une utilisation abusive du Backspace pour venir corriger les «fautes» de frappe.
  • Parlant de fracasser, mon voisin d'en bas, c'est gravement un cas d'imbécilité crasse et de non respect et de vacarme excessif et de «l'année prochaine, il n'est pas question qu'il soit encore là». Bref, après mon premier message sur la boîte vocale de mon proprio à cet effet, je persisterais jusqu'à ce que je puisse parler de vive voix à quelqu'un de concerner (financièrement) par cet épineux problème. Ou alors, pour faire plus formelle et solennel, j'écrirais une belle lettre toute propre et l'enverrait à son entreprise pour leur signifier l'important lot de marde dans laquelle il pataugera s'il ne prend pas garde.

mardi 8 janvier 2008

La rentrée

Oui, lundi est belle et bien terminé. J'ai tout de même passer une belle journée, même si j'ai couru en grande partie au début parce que je savais pas quoi me mettre sur la peau, avec la température, l'effet psychologique de la rentrée, mon cours en soirée bla bla bla. Mais bon, dans l'ensemble, c'est bien, même trop, et donc mon dilemme de choix de cours est d'autant plus difficile à résoudre, mais je me fais confiance, il y aura une solution.

Le retour à la maison a sans doute été le plus le fun de la journée, parce que le retour à la maison d'une part, et de l'autre le retour de la ribambelle de Tout sur moi, et de mes deux animateurs de late night show préférés. C'est qu'on s'attache vite vous voyez. J'avoue que ma joie est un peu plus grande en ce qui concerne Tout sur moi et elle le sera encore plus lorsque la première saison sortira en DVD pour revoir ces nombreux moments succulants, tout ça. En plus du fait que je vais pouvoir en faire la publicité dans mon entourage qui ne connait pas la série, vu mes qualités de modeste vidéothèque.

Enfin bref, confirmation de la dite date aussi. J'ai appellé une amie à la rescousse de mes angoisses de dernières minutes pour ce qui est principalement de l'accoutrement, même si c'est rarement ce qui fait ou non d'une date quelque chose de réussi (du moment qu'on ne porte pas un sac à poubelle, littéralement... et encore). Donc, vraiment, 2008 semble bien se présenter pour l'instant.

Il ne manquerait plus que je n'aie même pas besoin de faire une demande d'aide financière au gouvernement, et là, vraiment, ça serait over the top (voire même que je commence à me faire un petit fond pour rembourser ma marge de crédit par exemple).

Oh well, on verra bien. Il faudrait également que je songe à poser un acte quant à mon problème amicale qui traîne depuis la session dernière. Bleh... Quand il faut ce qu'il faut...

dimanche 16 décembre 2007

Tas de choses disparates #1

Petage de coche monumental après la job hier soir. Les gros blues, mais immense, titanesque même. Mon remplacement à la cuisine m'épuise vraiment beaucoup physiquement et, du même coup, moralement. Alors bon, déjà je rentre à la maison, mal partout, je devrais me botter le cul pour me mouvoir, faire quelque chose de ma peau, mais juste ça m'apparaît quasi-impossible. Je soupe tout de même devant Grey's Anatomy, et donc évidemment, même si je feelais juste assez correctement pour être un peu à terre sans plus, ça m'a jeter à terre. Et donc c'est le déluge et le drame, les deux à la fois, rien de moins. Et j'en viens à penser à cette histoire qui me fait toujours aussi chier à présent que lorsqu'elle a eu lieu. Et même, ça prend des ampleurs démesurées comparé à tout le reste. J'étais sur le point de faillir et d'envoyer un mot, mais je me suis resaisie. Je sais pas encore si c'est une bonne chose, mais j'ai pas envie de l'écrire mon mot aujourd'hui alors bon, j'vais simplement me taire encore jusqu'à la prochaine tempête intérieure. La seule chose que je retire de mon épuisement d'hier et de ses conséquences, c'est que je dois régler des trucs avec ma boss parce que ça pas d'allure. Et puis qu'il me manque beaucoup mine de rien. Ses petites manies, son rire, sa voix... tout ça me redonnait immanquablement le sourire.

Sur une note plus gaie, voici la vidéo de candidature de ma mère pour le Banquier :

Oui en effet, c'est un peu contre mes valeurs télévisuelles, mais je le fais pour ma mère voilà! Si vous voulez être très gentil, allez le regarder sur le site suivant, vous inscrire (ne serait-ce que pour mieux vous désinscrire par la suite), votez et laissez un commentaire.

Dans un autre ordre d'idée, je découvre le CD d'Alfa Rococo aujourd'hui, et je le conseille fortement. C'est très très bon. Je ne pourrais pas plus élaborer ma pensée dans le moment parce que ça serait de la procrastination et mon cerveau est plutôt sur le mode analyse de texte alors c'est pas facile de faire marche arrière instantanément et ensuite de revenir sur le dit mode pour continuer mon travail, j'aime mieux pas briser mon cerveau avec un processus aussi risqué quand ça commence à bien aller mes affaires.

Parlant d'analyse et donc de fin de session, j'suis en train de me demander si je peinture mes murs pendant mes deux semaines de congé (c'est relatif puisque je travaille 8 jours assurés sur 14, peut-être même 10 qui sait) des fêtes. Déjà qu'une de ses journées sera consacré à être à Ste-Agathe pour réveilloner avec ma famille maternelle que je n'ai pas vu réunie depuis mauditement longtemps. Encore faudrait-il que je me trouve une crèche possible pas trop loin (tiens tiens, ça sert à ça un divan-lit chez un ancien coloc dans le fond) pour ne pas briser toutes mes cellules avec les vapeurs chimiques. Ou alors je m'achète un masque, ça peut peut-être être plus simple. En tout cas, c'est un pensez-y bien...

Et donc sur ce toureli, tourela, toureli-rela, tourelou.

dimanche 9 décembre 2007

"Dirt"

C'est une nouvelle série avec Courteney Cox qui vient d'arriver depuis peu sur Bravo!. Mais bon, c'est un vieux truc qui est passé sur FX Network en hiver 2007.
C'est très bon, bien filmé et même je dirais que ça m'étonne pour un show diffusé sur une chaîne appartenant à Fox...
Présentement, Bravo! est rendu à l'épisode 6. Mais le show est très facilement trouvable sur dailymotion ou ailleurs.
Je vous le conseille. C'est très noir comme univers, très cynique et désabusé. Ça parle de l'impact qu'ont les journaux à potins et les médias par rapport aux célébrités américaines. C'est plus que ça, mais c'est le sujet central en gros. Un des personnafes (un paparazzi) est atteint d'une malade mentale, ce qui occasionne différentes situations très étranges, mais géniales visuellement parlant.
Et je dois dire que Courteney Cox simule mauditement bien l'orgasme. À vie, je crois que cette scène de sexe se classe dans mon top 5.
Bref, mettez la main là-dessus, ça vaut la peine.
(Autre petit plus : Pee-Wee joue un rôle dans la série!)

mardi 4 décembre 2007

L'inspiration

Dans l'un des derniers épisodes de Fait ça court! à Télé-Québec, il y avait ce court-métrage qui était d'ailleurs très bon et qui est une sorte de réflection ou de conte moderne sur la création et l'inspiration artistique.

C'est en tombant sur un fragment de L'argent de Christophe Tarkos («L'argent sauve tes enfants sauve ta femme sauve ta famille sauve tes amis sauve ton nom sauve ton honneur sauve ta peau sauve ta santé sauve ton être dans ta peau sauve ta création sauve ton village sauve tes parents sauve ta sœur sauve ton frère sauve ta liberté de mouvement sauve ton droit de fumer de boire de manger sauve tes pantalons sauve tes voitures sauve ta parole sauve tes sacrifices sauve ton corps de tous les sacrifices l'argent est le don sublime.») lors de mon dernier cours que je me suis mise à écrire moi-même quelques trucs, ou fragments si vous préférez. Possiblement que ce sera les premiers filons d'un futur récit, qui sait.


J'ajoute donc ici quelques uns d'entre eux :

«Cette attitude très capitaliste inavouée à la "wannabe plateau" est justement tellement fortement ancrée dedans, tellement à la fine pointe de l'avant-garde urbaine qu'elle va lui préférer son futur proche, ______ la mal-aimée, avant les autres.»

«Le reflet de ton corps dans le mien qui ne le reflète pas du tout, la bancalité de cette ressemblance qui t'obsède (étonnement), la perte que ça génère dans ton temps et ton énergie quand, finalement, le problème ne s'y trouve pas. Fouiller la chair, c'est de notre temps, à cause de l'évacuation de l'existence de l'âme, réaction au religieux, à cause de la rationalité. C'est la seule valeur sûre et tangible, et organique, et donc incertaine et pourrissable. Mais rien ne s'y trouve. L'obsession des femmes à propos du vieillissement du corps s'explique en partie par le fait que c'est un point aveugle si facilement mis de l'avant lorsqu'on ne peut ou ne veut s'interroger sur sa pourriture interne, sa pourriture personnelle dans le sens de défaut de personnalité et de défaut d'âme, qu'on ne peut ou ne veut s'introspecter, se dépecer, se disséquer, s'équarrir, et finir par trouver le bobo pour bien le gratter jusqu'à ce que la gale recommence à saigner. Le corps, c'est le visible, c'est l'évident, c'est l'immédiat, c'est le présent ou la présence, le concret. On ne fait appel qu’à très peu d’efforts pour se soucier de la décomposition de son corps, il est là, sous nos yeux, et puis c'est conforme à la norme publicitaire, télévisuelle, socialement acceptable, commerciale, le pot - la crème, devenir membre chez Yves Rocher, tout ça...»

«La rondeur de mon corps n’est pas la rondeur de ton corps. Nos rondeurs ne sont pas du même monde, n’évoquent pas les mêmes choses, n’appellent pas les mêmes réactions, nous opposent même dans nos désirs et notre conception du beau. Mon corps, mes rondeurs se situent plutôt dans la grivoiserie, dans un rapport à la terre, dans une bestialité même, une animalité charnelle, un quelque chose de maternelle peut-être. Ton corps a des rondeurs modernes, des formes modernes, il évoque le moderne, le futur, la science-fiction même. C’est la rondeur idéale, le beau universel et approuvé comme tel. Ton désir des autres s’y fond d’ailleurs : tu aimes le beau universel et approuvé comme tel... [...] le beau des affaires, rangé et ordonné, le beau matérialiste, dans la possession ou la possibilité de l'avoir, le beau de la symétrie. Mais par le fait même de te positionner dans cet entendu social, ce consensus, ton corps est générique dans sa perfection. Il manque de candeur, d’expressivité. C’est un corps d’exposition, derrière la vitre protectrice à tout salissement du dehors et de de l’extérieur, voire même de l’interne, de la souillure et du déchet. Tu es une beauté immaculée, une beauté "Spik n' Span", une beauté bibelot qu’on ne doit surtout pas caser, qu’on range lors des partys alcoolisés.»

«Exprimer la sexualité est une chose que tu peines à faire. C’est trop sale pour que ça puisse s’imprimer sur ta peau. Comme si la surface de ton corps est enduit d’une huile protectrice qui empêche le sperme de s’y étendre ou de s’y coller, qui empêche le sexe de s’y matérialiser, de s’y transmuer ou de s’y transposer.»

mercredi 28 novembre 2007

«Donnez de l'image à bouffer pré-mâchée et pré-digérée»

Particulier comme le bonheur des personnages de mes fictions favorites me pue au nez ce soir. Voire que vraiment, ya des amitiés aussi franches, des amours aussi sincères et désintéressés, des drames aussi définis qui, de toute façon, se règlent autour d'une patisserie ou d'un tout autre symbole chaleureux.
Enfin, j'essaie de me dire que non, parce qu'autrement mon teint verdâtre ferait palîr d'envie les plus grandes jalouses de ce monde.

jeudi 15 novembre 2007

Quiz #je-sais-pu-combien,-mettons-9


Which Bleach Vice-Captain are You?


Hinamori Momo
Take this quiz!


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samedi 3 novembre 2007

Nouveauté de la mi-saison d'automne

La télé américaine, bien qu'elle est le défaut de ne pas être très fiable hebdomadairement (on se rappelle des montés de lait de tous et chacun à propos des nouveaux épisodes de Lost entrecoupé par des reprises...), elle a de bien qu'elle présente des nouvelles séries en plein milieu de la saison. Un petit brise de renouveau sur nos téléviseur poussièreux déjà, ça fait jamais de tort. Surtout qu'à mon sens, souvent, ces séries sont là pour remonter un peu la cote de celles qui s'épuisent tranquillement. Enfin bref, encore ici, je ne prétend pas avoir tout regarder, j'ai aussi d'autres types d'obligations (étonnant, mais vrai). Ya aussi des trucs que j'ai pas été capable d'endurer plus de 15 minutes.

Par ailleurs, je me rend compte que je n'ai pas mentionné auparavant les trucs que j'ai simplement abandonnés. Et puis, ya aussi les trucs que faute d'avoir envie de fermer le téléviseur, j'écoute à présent avec enthousiasme consommé.

Alors donc, voilà :

ABC
D'abord, Samantha Who?. ABC proclame sa série #1 comedy of the season, mais bon, peut-on vraiment se fier à ce qu'on proclame tout haut sur son propre réseau, j'en doute. Cependant, j'avoue que j'ai plus facilement les moyens d'y croire que pour Ugly Betty (bien qu'un jour, je compte m'y lancer) ou encore pour Private Practive qui serait le gros hit de l'automne bien que le premier épisode de la série, qui avait été introduit dans la 3e saison de Grey's n'était sérieusement pas à la hauteur de grand chose. Déjà, choisir Christina Applegate comme premier rôle, c'est savoir compter des points. Mais la série dans l'ensemble est très très bien. C'est drôle et touchant, on embarque facilement. Après 3 épisodes (il me semble), la trame est bien installé, le spectateur a déjà des attentes à propos des éventuelles développement des événements, tout ça. Les personnages ont tous leur petite excentricité et c'est le retour à l'écran, en tant que sidekick encore, de Melissa McCarthy, soit Sookie dans Gilmore Girls. Un autre bon coup de la part d'ABC.

Néanmoins, j'ai pas tellement accroché sur Cavemen qui reprenait les personnages d'hommes des cavernes des annonces de Geeko. Ça tourne en rond et l'univers de la série est bancal. Du moins, selon mon premier 10~15 minutes de visionnement.
Pour ce qui est de Big Shot, je ne sais pas trop quoi en dire. Je crois qu'il a été victime de la sélection naturelle qui s'opère à chaque saison dans mon cas, soit que mon intérêt est pas assez stimulé, soit que c'est ma façon de me faire croire que les grandes chaînes ne contrôlent pas mon temps et donc une partie de ma vie. Mais je n'ai rien à redire sur la série, le cast me semble bien choisi (au moins deux très beaux bonhommes). La trame me fait penser à Vice Caché bien que, honte à moi, je n'ai pas écouté plus de 45 minutes à peine cette série québécoise.
Je n'ai même pas daigné m'intéresser à Carpoolers, parce que Jerry O Connell me tappe trop sur les nerfs, c'est vicéral.

Juste juste après Samantha Who?, c'est The Bachelor. Je sais, je sais, c'est très cliché et c'est pas du grand art, mais bon, cette année vraiment, j'suis dedans à l'os. Mais depuis seulement 3 épisodes alors peut-être que mon jugement sur les "bachelorettes" est biaisé. Sauf que, du même coup, j'ai pas eu à me tapper les quelques premiers épisodes qui sont souvent plutôt plates, voire inutiles. Et puis je trouve vraiment que le bachelor de cette année vaut le détour, ya de la gueule et puis il est particulièrement bien articulé pour un texans (ouhhhh.... bah, mine de rien, c'est ce qu'on se dit tous vu la magnificence des discours de Georges Bush et l'image mythique du redneck). Bref, c'est les quelques derniers épisodes et je suis toute excitée de voir comment ça va se terminer. Ma favorite semble avoir des bonnes chances en plus.

CTV
Dernièrement, faute de faire autre chose à ce moment là, je suis retombée dans Ghost Whisperer (avec Jennifer Love Hewitt) qui, mine de rien, a fait du chemin depuis ces débuts. Évidemment, je crois que la popularité de la série est en partie causé par le décolleté de la starlette, mais ça, c'est un peu toujours le cas lorsqu'on parle de tv américaine (d'ailleurs, un jour peut-être, j'écrirais un essai s'intitulant ainsi : De l'importance d'être sur les hautes dans les séries américaines, mais ça, c'est une autre histoire). Dans l'ensemble, la série s'est renouveler quelque peu, en ajoutant de nouveaux personnages fatiguants entre autre, mais aussi en essayant de contourner plus souvent la redondance du canevas simpliste qui s'installait au cours de la première saison (soit un nouveau fantôme à chaque épisode qui a besoin de passer un message à un proche avant de pouvoir passer dans l'au-delà).

C'est en écoutant cela, puis Moonlight hier soir que je suis tombée sur un nouvelle série, Dirt (avec le i renversé, mais bon...), qui passe sur Bravo!. C'est le retour de Courteney Cox au petit écran. D'ailleurs, j'en profite pour dire que son plasticien doit être vraiment bon parce qu'elle a l'air aussi jeune qu'à ses débuts dans Friends. J'ai donc écouté le pilot, et je sais pas encore trop à quoi m'attendre. Je pourrais dire que ça a un certain potentiel, surtout que le vendredi soir, c'est assez plate ailleurs et que je ne peux pas vraiment faire quoi que ce soit d'autre vu le travail à l'hôpital qui m'attend le lendemain matin. Je dirais tout de même que certains éléments me rendent un peu inconfortable, mais j'ai l'impression que c'est le but alors bon, on verra bien. Le premier épisode rejoue ce soir à 23h.

Donc en gros c'est ça.


P.S.: En écrivant tout ceci, je suis tombée sur une expression qui vraiment mérite le détour et que j'ai l'intention d'utiliser plus souvent dans mon quotidien. Je la partage donc ici. Selon Le Trésor de la langue française informatisé, Donner la cotte verte à (une fille) signifie la renverser sur l'herbe pour folâtrer avec elle. Vraiment, moi, ça m'épate d'apprendre ce genre de truc, comme ça, tout à fait fortuitement.

vendredi 2 novembre 2007

Mathieu Vanasse

C'est en cherchant de la musique qui ne me dérangerait pas trop pour faire mes travaux que je suis retombée sur des extraits de musique venant de la série François en série, crée (la musique) par Mathieu Vanasse. Déjà, j'aime beaucoup la musique du générique du début, mais lorsqu'on s'attarde un peu à celle qui joue parfois pendant l'émission, c'est du grand art vraiment (c'est lui aussi pour le court métrage qui a inspiré la série, soit Déformation Personnelle). Par ailleurs, sur la troisième compilation CD Café Méliès, il y a un morceau de l'artiste, soit L'Intrigue, qui est, ma foi, complètement génial à mon sens. Pour ceux qui ont écouté la série sur La vie rêvée de Mario Jean, Pure Laine ou Nos étés (que je ne peux regarder personnellement parce que Québécor oblige), c'est lui aussi la musique. Bref, en ce qui me concerne, si j'entend parler du CD à venir, c'est clair que je suis la première à me l'acheter.

Réflexion post-post

En fait, plus j'y pense, plus je me dis que de toute façon, je n'aurais jamais le temps de m'occuper d'un homme. Ou alors faudrait que je lache l'université. Parce que bon, pensons-y bien, il est clair que ça occuperait une partie de mon temps, partie que je réserve probablement déjà beaucoup à la tv. Admettons qu'il faudrait que je coupe sur ce temps-là, et bien je ne le ferais pas. Alors, nécessairement, je n'aurais plus le temps de faire mes lectures. Et comme le besoin de les faire se fait rarement sentir avant la dernière minute (moment où il est déjà trop tard pour les complèter de toute façon), et bien je deviendrais une élève médiocre à l'os, ce qui ne me satisferait visiblement pas (même si j'essaie de me faire croire le contraire, je suis bien trop compétitive pour me contenter de peu face à moi-même).

Donc voilà, j'ai résolu mon probème de "frenchage" et tout le reste rationnellement et avec logique. Il n'y a plus de problème! (ou presque, on s'entend, c'est bien beau la logique, mais ça ne fait que très rarement taire les instincts pulsionnelles... Pauvre de moi!)

mercredi 31 octobre 2007

À propos de Loft Sotry

Déjà que cette année, c'est pas le gros char comparé au gros pic de l'année passé, vraiment, ce qui tue le plus, c'est le gala. Ça toujours été le point faible, mais déjà, me semble que l'année dernière, c'était un peu moins poche. Mais, là, désolé, je suis PU capable de Louise Deschâtelais. Le tas de panéliste inutiles qui ont été engagés cette année... c'est un peu désolant. Marie Plourde aussi m'énerve des fois, mais c'est rarement comparable à chose-orange Girouard et son chien et fatiguante Deschâtelais. Parfois, la quantité, ce n'est pas la qualité. Par ailleurs, au niveau de l'inutilité en tant que telle, je dirais qu'Annie Dusfrene n'a pas d'affaire là...
Enfin bref, c'est pas trop malade.

vendredi 26 octobre 2007

Improductivité

Note à moi-même : la prochaine fois, commencer par sortir de mon pyjama.
Oui parce que vraiment, j'ai pas été d'une grande productivité aujourd'hui et même si je le voudrais bien, je ne peux pas blâmer Hydro Québec pour plus d'une heure de mon temps alors bon. Déjà que j'écris ici et non pas dans Word pour finir mon travail sur la théorie de l'énonciation. Mais je maîtrise mon sujet à l'os, c'est au moins ça.

J'avoue aussi que le fait de m'être fait livrer dernièrement le coffret de Il était une fois... l'homme n'aide pas trop trop à l'envie de rester planter devant mon ordi à niaiser sur mon traitement de texte peu amusant pour patenter des phrases de calibre universitaire (maudit calibre universitaire... ou alors c'est la pression que je m'impose à moi-même, mais d'une façon ou d'une autre, le résultat reste le même : c'est long).

Remarquez, je crois que j'ai une idée possiblement semi-géniale. Alors voilà, je pose un DVD dans mon (un jour, il faudrait donner un nom que nous pourrons tous mémoriser afin de qualifier «l'emboîture» où l'on dépose les DVD, CD ou CD-Rom... parce que vraiment, j'ai beau chercher, je trouve pas... en anglais, il dise "tray", mais la traduction Google me sort «Bac» ce qui ne fonctionne pas tellement), je minimise le lecteur en coin, je vais jouer dans les options pour qu'il reste en premier plan et je compose mon travail en second plan. Quand même! Évidemment, le succès de cette entreprise est très incertain vu que déjà, la musique m'insupporte lorsque je tente d'être intelligente sur papier... Qui vivra verra!

jeudi 25 octobre 2007

Ma crotte sur le coeur télévisuelle

En fouillant des mes favoris, je croise le liens vers le chronique de Nelly Arcan et alors je me dis : «Mais oui, elle a sûrement dû écrire sur le fameux incident TLMEP!». Certes. Et ça prouve tout à fait ce que je me m'évertue à dire depuis la diffusion. Et c'est aussi pourquoi je boycotte l'émission volontairement et consciemment depuis.