Avez-vous la nouvelle publicité de l'UdeM «L'avenir a besoin de vous»? Ya un petit garçon noir tenant une kalashnikov dessus. Le lien? Allez savoir! mais c'est vraiment pas une bonne publicité quand on n'y comprend rien. Encore un point de moins pour l'UdeM.
- J'attendais dans la file pour les prêts à la BAnQ pour emprunter des livres bien évidemment. En arrière de moi, un gros monsieur à manteau vert, lunette et avec la pointe du nez-boule un peu en l'air. Bon alors, on attend. Une file d'attente, c'est fait pour ça, du moins depuis les dernières nouvelles, ça sert encore à ça. Et donc les petites madames qui sont derrière le comptoir sont toutes occupées. Oui en effet, il y a une des clientes qui semblent étirer son temps un peu plus que les autres en posant toutes sortes de questions un peu plus personnelles à l'employé qui la sert. Mais bon, à la limite, c'est une sur 3 (ou 4 je sais pu), donc rien de bien dramatique, et on semble reconnaître à son ton de voix qu'elle est probablement un peu trosomique, dans le vrai sens du terme, donc patience... Finalement, lorsque justement elle a bel et bien terminé d'être servi, c'est-à-dire que les questions sont complètement et exclusivement orientées sur la vie personnelle de l'employé, celle-ci dit à la jeune fille, avec une extrême politesste, que des gens attendent derrière elle. Oui bon c'est vrai, mais à la gauche de la dite jeune fille, ya aussi un anglo qui lambine en posant deux milles questions. Mais alors, le gros monsieur vert à côté de moi, depuis le tout début de l'attente, il se répend en ving milles (soit dix fois plus que les questions de l'anglo) soupirs, toux d'exaspération, yeux aux cieux (ou au ciel? c'est pas clair... mais avec «aux cieux», ça rime) et mettons-en. Bref, il est pressé le môsieur. Et il me fait plus chier que le fait que je dois attendre un peu plus longtemps pour emprunter mes livres. En plus que si vraiment il était si pressé, n'avait qu'à se libre-servir à côté (merde!). Et donc, à au enième signe d'impatience, je commence à m'impatienter à son égard également. La pauvre commis en face de moi à du interprèter mon impatience autrement puisque c'est le moment où elle a choisi de signifier à la jeune fille effectivement trisomique qu'il y a des gens derrières qui attendent. Le gros môsieur vert fini par se faire servir en vitesse à la caisse à côté de la mienne. Et moi, dans ma grande envie de lui foutre mon pied dans son nez, je rumine dans ma tête à l'idée de ne pas avoir réagit lorsqu'il s'impatientait tout en suant dans son manteau vert à mes côtés. Vous savez, c'est vrai que le service à la clientèle, principalement à Montréal, laisse parfois à désirer. Mais, et ce peu importe où au Québec, voire à travers le monde, les clients agressifs et désagréables, c'est bien pire. Si vraiment ya raison de se plaindre outre le fait d'être pressé, si vraiment ya réccurence de mauvais service ou mauvaise foi évidente de la part d'un employé, au pire, plains-toi pour de vrai, à un gérant, par écrit (service facilement accesible sur internet) ou au service des plaintes, mais fait pas chier les autres qui ont pas envie d'avoir à supporter ton air d'enfant de chienne. Au pire, quand tu es pressés, évite donc les files d'attente et repasse un autre jour, voilà!
- Sinon, le délai de 15 min d'inactivité sur les ordis des labos à l'UQAM, ça fait chier. J'ai perdu mes notes de cours à cause de ça maudit maudit. Heureusement que j'ai une bonne mémoire et que j'ai pu les re-rédiger pas pire, mais bon, c'était quelque chose que j'aurais préféré ne pas avoir à faire.
- Ce matin, je n'ai pas été dérangé par qui que ce soit dans mon sommeil. Étonnant n'est-ce pas? Eh bien, j'ai dormi jusqu'à 11h30 et ça a fait du bien beaucoup. Merci voisin crétin. Mais ça ne sera pas suffisant pour m'enlever l'idée fixe que tu as si bien imprimé dans ma tête depuis six long mois comme quoi, en juillet, c'est toi ou c'est moi, et ça ne sera pas moi...
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mercredi 23 janvier 2008
Quotidienneté
mardi 22 janvier 2008
Quelques petits trucs sur le pouce
- Ma mère m'a ramener une boîte de choses qui m'appartiennent (principalement des livres) et, dans cette boîte, il y avait mon journal de bord pour mon projet d'intégration de fin de DEC. Que de beaux souvenirs, vraiment. Dieu que je m'ennuie de ce temps révolu. Même si on me dit que j'ai encore de nombreuses années devant moi, je crois sincèrement que mes deux années à Maisonneuve constituent l'âge d'or de ma vie. L'influence qu'ont encore les événements, les rencontres et l'éducation que j'ai eu là est probablement ce que je chéris le plus présentement, ce qui m'aide à tempéré mes désagréments actuels.
- J'aime bien How I Met Your Mother, que je viens presque tout juste de découvrir (je crois que c'était un peu après les fêtes). Ça vaut la peine de s'y attarder.
- Mon clavier semble avoir quelques petits problèmes que je devrais essayer de règler avant la mi-session pour ne pas avoir l'envie de l'envoyer se fracasser contre un de mes murs. Il doit être trop plein de miette de je ne sais quoi à l'intérieur : mes touches ne répondent pas toujours du premier coup et donc ça nécessite de ma part autant une attention accru qu'une utilisation abusive du Backspace pour venir corriger les «fautes» de frappe.
- Parlant de fracasser, mon voisin d'en bas, c'est gravement un cas d'imbécilité crasse et de non respect et de vacarme excessif et de «l'année prochaine, il n'est pas question qu'il soit encore là». Bref, après mon premier message sur la boîte vocale de mon proprio à cet effet, je persisterais jusqu'à ce que je puisse parler de vive voix à quelqu'un de concerner (financièrement) par cet épineux problème. Ou alors, pour faire plus formelle et solennel, j'écrirais une belle lettre toute propre et l'enverrait à son entreprise pour leur signifier l'important lot de marde dans laquelle il pataugera s'il ne prend pas garde.
mardi 8 janvier 2008
La rentrée
Oui, lundi est belle et bien terminé. J'ai tout de même passer une belle journée, même si j'ai couru en grande partie au début parce que je savais pas quoi me mettre sur la peau, avec la température, l'effet psychologique de la rentrée, mon cours en soirée bla bla bla. Mais bon, dans l'ensemble, c'est bien, même trop, et donc mon dilemme de choix de cours est d'autant plus difficile à résoudre, mais je me fais confiance, il y aura une solution.
Le retour à la maison a sans doute été le plus le fun de la journée, parce que le retour à la maison d'une part, et de l'autre le retour de la ribambelle de Tout sur moi, et de mes deux animateurs de late night show préférés. C'est qu'on s'attache vite vous voyez. J'avoue que ma joie est un peu plus grande en ce qui concerne Tout sur moi et elle le sera encore plus lorsque la première saison sortira en DVD pour revoir ces nombreux moments succulants, tout ça. En plus du fait que je vais pouvoir en faire la publicité dans mon entourage qui ne connait pas la série, vu mes qualités de modeste vidéothèque.
Enfin bref, confirmation de la dite date aussi. J'ai appellé une amie à la rescousse de mes angoisses de dernières minutes pour ce qui est principalement de l'accoutrement, même si c'est rarement ce qui fait ou non d'une date quelque chose de réussi (du moment qu'on ne porte pas un sac à poubelle, littéralement... et encore). Donc, vraiment, 2008 semble bien se présenter pour l'instant.
Il ne manquerait plus que je n'aie même pas besoin de faire une demande d'aide financière au gouvernement, et là, vraiment, ça serait over the top (voire même que je commence à me faire un petit fond pour rembourser ma marge de crédit par exemple).
Oh well, on verra bien. Il faudrait également que je songe à poser un acte quant à mon problème amicale qui traîne depuis la session dernière. Bleh... Quand il faut ce qu'il faut...
Le retour à la maison a sans doute été le plus le fun de la journée, parce que le retour à la maison d'une part, et de l'autre le retour de la ribambelle de Tout sur moi, et de mes deux animateurs de late night show préférés. C'est qu'on s'attache vite vous voyez. J'avoue que ma joie est un peu plus grande en ce qui concerne Tout sur moi et elle le sera encore plus lorsque la première saison sortira en DVD pour revoir ces nombreux moments succulants, tout ça. En plus du fait que je vais pouvoir en faire la publicité dans mon entourage qui ne connait pas la série, vu mes qualités de modeste vidéothèque.
Enfin bref, confirmation de la dite date aussi. J'ai appellé une amie à la rescousse de mes angoisses de dernières minutes pour ce qui est principalement de l'accoutrement, même si c'est rarement ce qui fait ou non d'une date quelque chose de réussi (du moment qu'on ne porte pas un sac à poubelle, littéralement... et encore). Donc, vraiment, 2008 semble bien se présenter pour l'instant.
Il ne manquerait plus que je n'aie même pas besoin de faire une demande d'aide financière au gouvernement, et là, vraiment, ça serait over the top (voire même que je commence à me faire un petit fond pour rembourser ma marge de crédit par exemple).
Oh well, on verra bien. Il faudrait également que je songe à poser un acte quant à mon problème amicale qui traîne depuis la session dernière. Bleh... Quand il faut ce qu'il faut...
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dimanche 6 janvier 2008
What a start
C'est la première fin de semaine de l'année, non? Réponse : Oui (je fais un shérif de Nottingham de moi-même) (je me comprend). Alors donc, en cette fin de semaine, j'ai pseudo réglé une histoire qui traînait (on s'entend que ça s'est pas tant réglé comme je le souhaitais, mais je fais la paix avec ça de mieux en mieux à présent, et puis ce que j'ai appris m'a presque complètement enlever la haine que j'avais contre la personne en question, et donc je prend tout ça avec un grain de sel à présent) ET j'ai possiblement une date bientôt, dans les jours à venir. Sans compter que bon, mes cours pour la session qui commence demain (oh my je suis tellement pas prête à recommencer) ont tous l'air follement intéressant, les profs également. Mes notes de la session dernière sont, à date, fort satisfaisante.
Bref, l'année commence en beauté, même si j'ai passé une journée plutôt moyenne pendant plusieurs heures consécutives. Oh well, je me permet d'être optimiste. Moi qui croyait que 2008 allait juste être aussi pourrie que les deux dernières années, eh bien je dis :«Rock On 2008!»
Bref, l'année commence en beauté, même si j'ai passé une journée plutôt moyenne pendant plusieurs heures consécutives. Oh well, je me permet d'être optimiste. Moi qui croyait que 2008 allait juste être aussi pourrie que les deux dernières années, eh bien je dis :«Rock On 2008!»
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jeudi 20 décembre 2007
La mise en page divine
Je prend quelque minute de mon précieux temps en cette fin de session pour annoncer mon intention de produire prochainement une ode à la double interligne. Vraiment. Parce que ça fait toute la différence et parce que je sais que, en quelque part, elle doit sûrement m'aimer d'un amour salvateur, tel Jésus ou un quelconque messie du genre.
Bref, en cette heure fatidique du 20 décembre, je te dis merci, ô toi, double interligne!
Bref, en cette heure fatidique du 20 décembre, je te dis merci, ô toi, double interligne!
dimanche 16 décembre 2007
Tas de choses disparates #1
Petage de coche monumental après la job hier soir. Les gros blues, mais immense, titanesque même. Mon remplacement à la cuisine m'épuise vraiment beaucoup physiquement et, du même coup, moralement. Alors bon, déjà je rentre à la maison, mal partout, je devrais me botter le cul pour me mouvoir, faire quelque chose de ma peau, mais juste ça m'apparaît quasi-impossible. Je soupe tout de même devant Grey's Anatomy, et donc évidemment, même si je feelais juste assez correctement pour être un peu à terre sans plus, ça m'a jeter à terre. Et donc c'est le déluge et le drame, les deux à la fois, rien de moins. Et j'en viens à penser à cette histoire qui me fait toujours aussi chier à présent que lorsqu'elle a eu lieu. Et même, ça prend des ampleurs démesurées comparé à tout le reste. J'étais sur le point de faillir et d'envoyer un mot, mais je me suis resaisie. Je sais pas encore si c'est une bonne chose, mais j'ai pas envie de l'écrire mon mot aujourd'hui alors bon, j'vais simplement me taire encore jusqu'à la prochaine tempête intérieure. La seule chose que je retire de mon épuisement d'hier et de ses conséquences, c'est que je dois régler des trucs avec ma boss parce que ça pas d'allure. Et puis qu'il me manque beaucoup mine de rien. Ses petites manies, son rire, sa voix... tout ça me redonnait immanquablement le sourire.
Sur une note plus gaie, voici la vidéo de candidature de ma mère pour le Banquier :
Oui en effet, c'est un peu contre mes valeurs télévisuelles, mais je le fais pour ma mère voilà! Si vous voulez être très gentil, allez le regarder sur le site suivant, vous inscrire (ne serait-ce que pour mieux vous désinscrire par la suite), votez et laissez un commentaire.
Dans un autre ordre d'idée, je découvre le CD d'Alfa Rococo aujourd'hui, et je le conseille fortement. C'est très très bon. Je ne pourrais pas plus élaborer ma pensée dans le moment parce que ça serait de la procrastination et mon cerveau est plutôt sur le mode analyse de texte alors c'est pas facile de faire marche arrière instantanément et ensuite de revenir sur le dit mode pour continuer mon travail, j'aime mieux pas briser mon cerveau avec un processus aussi risqué quand ça commence à bien aller mes affaires.
Parlant d'analyse et donc de fin de session, j'suis en train de me demander si je peinture mes murs pendant mes deux semaines de congé (c'est relatif puisque je travaille 8 jours assurés sur 14, peut-être même 10 qui sait) des fêtes. Déjà qu'une de ses journées sera consacré à être à Ste-Agathe pour réveilloner avec ma famille maternelle que je n'ai pas vu réunie depuis mauditement longtemps. Encore faudrait-il que je me trouve une crèche possible pas trop loin (tiens tiens, ça sert à ça un divan-lit chez un ancien coloc dans le fond) pour ne pas briser toutes mes cellules avec les vapeurs chimiques. Ou alors je m'achète un masque, ça peut peut-être être plus simple. En tout cas, c'est un pensez-y bien...
Et donc sur ce toureli, tourela, toureli-rela, tourelou.
Sur une note plus gaie, voici la vidéo de candidature de ma mère pour le Banquier :
Oui en effet, c'est un peu contre mes valeurs télévisuelles, mais je le fais pour ma mère voilà! Si vous voulez être très gentil, allez le regarder sur le site suivant, vous inscrire (ne serait-ce que pour mieux vous désinscrire par la suite), votez et laissez un commentaire.
Dans un autre ordre d'idée, je découvre le CD d'Alfa Rococo aujourd'hui, et je le conseille fortement. C'est très très bon. Je ne pourrais pas plus élaborer ma pensée dans le moment parce que ça serait de la procrastination et mon cerveau est plutôt sur le mode analyse de texte alors c'est pas facile de faire marche arrière instantanément et ensuite de revenir sur le dit mode pour continuer mon travail, j'aime mieux pas briser mon cerveau avec un processus aussi risqué quand ça commence à bien aller mes affaires.
Parlant d'analyse et donc de fin de session, j'suis en train de me demander si je peinture mes murs pendant mes deux semaines de congé (c'est relatif puisque je travaille 8 jours assurés sur 14, peut-être même 10 qui sait) des fêtes. Déjà qu'une de ses journées sera consacré à être à Ste-Agathe pour réveilloner avec ma famille maternelle que je n'ai pas vu réunie depuis mauditement longtemps. Encore faudrait-il que je me trouve une crèche possible pas trop loin (tiens tiens, ça sert à ça un divan-lit chez un ancien coloc dans le fond) pour ne pas briser toutes mes cellules avec les vapeurs chimiques. Ou alors je m'achète un masque, ça peut peut-être être plus simple. En tout cas, c'est un pensez-y bien...
Et donc sur ce toureli, tourela, toureli-rela, tourelou.
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vendredi 14 décembre 2007
Le stress, le sucre, la junk et mes rêves
C'est la fin de session, je mange très mal, beaucoup de sucré, beaucoup de salé, beaucoup de gras, histoire que la joie de mon estomac compense sur mon incapacité (plutôt mon impossibilité) à m'amuser. Mais alors, en résulte les rêves les plus incongrus (quoique toujours pas mal freiner par un coup de téléphone qui est toujours pas mal donner par ma mère... ya des choses qui changent pas).
Dimanche soir, c'était sur mon examen de grammaire (que j'ai bien réussi, j'en suis fort aise) qui finalement n'en était pas tellement un, trop interractif, on devait se déplacer dans des lieux étranges pour recevoir les directives où lire les questions et y répondre, questions qui portaient bien trop souvent sur les mathématiques, matière que j'ai tranquillement oublier au fil du temps. Bref, le gros bordel.
Lundi soir, je remettais une feu de chou incroyable à mon prof de littérature et société, un genre de 15 pages mal imprimé, avec des graphiques et des images incohérentes, des fautes d'orthographe pas possibles, un style qui frôle le slang, c'était le gros bordel aussi, mais par bonté de coeur, il m'avait collé qu'un B+.
Ensuite je crois avoir eu un peu de répit, mais bon, j'pourrais pas mettre ma main au feu là dessus.
Et donc, hier soir, c'est un mix entre la job, l'éventuelle audition au Banquier avec ma mère et les Vieux Garçons. D'abord, c'était le gros bordel au Banquier, les autres gens se font rappeler à la deuxième audition, ils étaient pourtant vraiment pourris et tout et en plus, ils viennent insulter les raisons de ma mère de participer alors je me fache vraiment noir et tout, enfin bref. Puis yavait cette étrange histoire où les Vieux Garçons étaient en querelle l'un d'avec l'autre et Attrayan se confiait à ma mère (??? va savoir pourquoi) tandis que moi, en travaillant sur mon bloc à l'hôpital, je croise Qu'àcelanEtienne, qui a trouvé logis dans une chambre de patient, en train de jouer au serpent et échelle avec un fille quelconque. Le reste c'est du travail plate de moppage de plancher avec les fameux swiffer de l'hôpital et quelques problèmes réguliers de fin de semaine de travail bref. Mais bon, je crois savoir pourquoi les Vieux Garçons étaient dans mes rêves. J'ai écouté Fait ça court! hier soir et puis yavait plusieurs plans d'Attrayan en train de travailler, de rigoler et tout alors voilà : un beau petit reste diurne.
J'attend presque ce soir avec impatience pour échouer un enième travail, puis me retrouver à Los Angeles dans une contreverse célèbre couverte par Courteney Cox et son paparazzi débile.
Dimanche soir, c'était sur mon examen de grammaire (que j'ai bien réussi, j'en suis fort aise) qui finalement n'en était pas tellement un, trop interractif, on devait se déplacer dans des lieux étranges pour recevoir les directives où lire les questions et y répondre, questions qui portaient bien trop souvent sur les mathématiques, matière que j'ai tranquillement oublier au fil du temps. Bref, le gros bordel.
Lundi soir, je remettais une feu de chou incroyable à mon prof de littérature et société, un genre de 15 pages mal imprimé, avec des graphiques et des images incohérentes, des fautes d'orthographe pas possibles, un style qui frôle le slang, c'était le gros bordel aussi, mais par bonté de coeur, il m'avait collé qu'un B+.
Ensuite je crois avoir eu un peu de répit, mais bon, j'pourrais pas mettre ma main au feu là dessus.
Et donc, hier soir, c'est un mix entre la job, l'éventuelle audition au Banquier avec ma mère et les Vieux Garçons. D'abord, c'était le gros bordel au Banquier, les autres gens se font rappeler à la deuxième audition, ils étaient pourtant vraiment pourris et tout et en plus, ils viennent insulter les raisons de ma mère de participer alors je me fache vraiment noir et tout, enfin bref. Puis yavait cette étrange histoire où les Vieux Garçons étaient en querelle l'un d'avec l'autre et Attrayan se confiait à ma mère (??? va savoir pourquoi) tandis que moi, en travaillant sur mon bloc à l'hôpital, je croise Qu'àcelanEtienne, qui a trouvé logis dans une chambre de patient, en train de jouer au serpent et échelle avec un fille quelconque. Le reste c'est du travail plate de moppage de plancher avec les fameux swiffer de l'hôpital et quelques problèmes réguliers de fin de semaine de travail bref. Mais bon, je crois savoir pourquoi les Vieux Garçons étaient dans mes rêves. J'ai écouté Fait ça court! hier soir et puis yavait plusieurs plans d'Attrayan en train de travailler, de rigoler et tout alors voilà : un beau petit reste diurne.
J'attend presque ce soir avec impatience pour échouer un enième travail, puis me retrouver à Los Angeles dans une contreverse célèbre couverte par Courteney Cox et son paparazzi débile.
mardi 4 décembre 2007
L'inspiration
Dans l'un des derniers épisodes de Fait ça court! à Télé-Québec, il y avait ce court-métrage qui était d'ailleurs très bon et qui est une sorte de réflection ou de conte moderne sur la création et l'inspiration artistique.
C'est en tombant sur un fragment de L'argent de Christophe Tarkos («L'argent sauve tes enfants sauve ta femme sauve ta famille sauve tes amis sauve ton nom sauve ton honneur sauve ta peau sauve ta santé sauve ton être dans ta peau sauve ta création sauve ton village sauve tes parents sauve ta sœur sauve ton frère sauve ta liberté de mouvement sauve ton droit de fumer de boire de manger sauve tes pantalons sauve tes voitures sauve ta parole sauve tes sacrifices sauve ton corps de tous les sacrifices l'argent est le don sublime.») lors de mon dernier cours que je me suis mise à écrire moi-même quelques trucs, ou fragments si vous préférez. Possiblement que ce sera les premiers filons d'un futur récit, qui sait.
J'ajoute donc ici quelques uns d'entre eux :
«Cette attitude très capitaliste inavouée à la "wannabe plateau" est justement tellement fortement ancrée dedans, tellement à la fine pointe de l'avant-garde urbaine qu'elle va lui préférer son futur proche, ______ la mal-aimée, avant les autres.»
«Le reflet de ton corps dans le mien qui ne le reflète pas du tout, la bancalité de cette ressemblance qui t'obsède (étonnement), la perte que ça génère dans ton temps et ton énergie quand, finalement, le problème ne s'y trouve pas. Fouiller la chair, c'est de notre temps, à cause de l'évacuation de l'existence de l'âme, réaction au religieux, à cause de la rationalité. C'est la seule valeur sûre et tangible, et organique, et donc incertaine et pourrissable. Mais rien ne s'y trouve. L'obsession des femmes à propos du vieillissement du corps s'explique en partie par le fait que c'est un point aveugle si facilement mis de l'avant lorsqu'on ne peut ou ne veut s'interroger sur sa pourriture interne, sa pourriture personnelle dans le sens de défaut de personnalité et de défaut d'âme, qu'on ne peut ou ne veut s'introspecter, se dépecer, se disséquer, s'équarrir, et finir par trouver le bobo pour bien le gratter jusqu'à ce que la gale recommence à saigner. Le corps, c'est le visible, c'est l'évident, c'est l'immédiat, c'est le présent ou la présence, le concret. On ne fait appel qu’à très peu d’efforts pour se soucier de la décomposition de son corps, il est là, sous nos yeux, et puis c'est conforme à la norme publicitaire, télévisuelle, socialement acceptable, commerciale, le pot - la crème, devenir membre chez Yves Rocher, tout ça...»
«La rondeur de mon corps n’est pas la rondeur de ton corps. Nos rondeurs ne sont pas du même monde, n’évoquent pas les mêmes choses, n’appellent pas les mêmes réactions, nous opposent même dans nos désirs et notre conception du beau. Mon corps, mes rondeurs se situent plutôt dans la grivoiserie, dans un rapport à la terre, dans une bestialité même, une animalité charnelle, un quelque chose de maternelle peut-être. Ton corps a des rondeurs modernes, des formes modernes, il évoque le moderne, le futur, la science-fiction même. C’est la rondeur idéale, le beau universel et approuvé comme tel. Ton désir des autres s’y fond d’ailleurs : tu aimes le beau universel et approuvé comme tel... [...] le beau des affaires, rangé et ordonné, le beau matérialiste, dans la possession ou la possibilité de l'avoir, le beau de la symétrie. Mais par le fait même de te positionner dans cet entendu social, ce consensus, ton corps est générique dans sa perfection. Il manque de candeur, d’expressivité. C’est un corps d’exposition, derrière la vitre protectrice à tout salissement du dehors et de de l’extérieur, voire même de l’interne, de la souillure et du déchet. Tu es une beauté immaculée, une beauté "Spik n' Span", une beauté bibelot qu’on ne doit surtout pas caser, qu’on range lors des partys alcoolisés.»
«Exprimer la sexualité est une chose que tu peines à faire. C’est trop sale pour que ça puisse s’imprimer sur ta peau. Comme si la surface de ton corps est enduit d’une huile protectrice qui empêche le sperme de s’y étendre ou de s’y coller, qui empêche le sexe de s’y matérialiser, de s’y transmuer ou de s’y transposer.»
C'est en tombant sur un fragment de L'argent de Christophe Tarkos («L'argent sauve tes enfants sauve ta femme sauve ta famille sauve tes amis sauve ton nom sauve ton honneur sauve ta peau sauve ta santé sauve ton être dans ta peau sauve ta création sauve ton village sauve tes parents sauve ta sœur sauve ton frère sauve ta liberté de mouvement sauve ton droit de fumer de boire de manger sauve tes pantalons sauve tes voitures sauve ta parole sauve tes sacrifices sauve ton corps de tous les sacrifices l'argent est le don sublime.») lors de mon dernier cours que je me suis mise à écrire moi-même quelques trucs, ou fragments si vous préférez. Possiblement que ce sera les premiers filons d'un futur récit, qui sait.
J'ajoute donc ici quelques uns d'entre eux :
«Cette attitude très capitaliste inavouée à la "wannabe plateau" est justement tellement fortement ancrée dedans, tellement à la fine pointe de l'avant-garde urbaine qu'elle va lui préférer son futur proche, ______ la mal-aimée, avant les autres.»
«Le reflet de ton corps dans le mien qui ne le reflète pas du tout, la bancalité de cette ressemblance qui t'obsède (étonnement), la perte que ça génère dans ton temps et ton énergie quand, finalement, le problème ne s'y trouve pas. Fouiller la chair, c'est de notre temps, à cause de l'évacuation de l'existence de l'âme, réaction au religieux, à cause de la rationalité. C'est la seule valeur sûre et tangible, et organique, et donc incertaine et pourrissable. Mais rien ne s'y trouve. L'obsession des femmes à propos du vieillissement du corps s'explique en partie par le fait que c'est un point aveugle si facilement mis de l'avant lorsqu'on ne peut ou ne veut s'interroger sur sa pourriture interne, sa pourriture personnelle dans le sens de défaut de personnalité et de défaut d'âme, qu'on ne peut ou ne veut s'introspecter, se dépecer, se disséquer, s'équarrir, et finir par trouver le bobo pour bien le gratter jusqu'à ce que la gale recommence à saigner. Le corps, c'est le visible, c'est l'évident, c'est l'immédiat, c'est le présent ou la présence, le concret. On ne fait appel qu’à très peu d’efforts pour se soucier de la décomposition de son corps, il est là, sous nos yeux, et puis c'est conforme à la norme publicitaire, télévisuelle, socialement acceptable, commerciale, le pot - la crème, devenir membre chez Yves Rocher, tout ça...»
«La rondeur de mon corps n’est pas la rondeur de ton corps. Nos rondeurs ne sont pas du même monde, n’évoquent pas les mêmes choses, n’appellent pas les mêmes réactions, nous opposent même dans nos désirs et notre conception du beau. Mon corps, mes rondeurs se situent plutôt dans la grivoiserie, dans un rapport à la terre, dans une bestialité même, une animalité charnelle, un quelque chose de maternelle peut-être. Ton corps a des rondeurs modernes, des formes modernes, il évoque le moderne, le futur, la science-fiction même. C’est la rondeur idéale, le beau universel et approuvé comme tel. Ton désir des autres s’y fond d’ailleurs : tu aimes le beau universel et approuvé comme tel... [...] le beau des affaires, rangé et ordonné, le beau matérialiste, dans la possession ou la possibilité de l'avoir, le beau de la symétrie. Mais par le fait même de te positionner dans cet entendu social, ce consensus, ton corps est générique dans sa perfection. Il manque de candeur, d’expressivité. C’est un corps d’exposition, derrière la vitre protectrice à tout salissement du dehors et de de l’extérieur, voire même de l’interne, de la souillure et du déchet. Tu es une beauté immaculée, une beauté "Spik n' Span", une beauté bibelot qu’on ne doit surtout pas caser, qu’on range lors des partys alcoolisés.»
«Exprimer la sexualité est une chose que tu peines à faire. C’est trop sale pour que ça puisse s’imprimer sur ta peau. Comme si la surface de ton corps est enduit d’une huile protectrice qui empêche le sperme de s’y étendre ou de s’y coller, qui empêche le sexe de s’y matérialiser, de s’y transmuer ou de s’y transposer.»
lundi 5 novembre 2007
En filigrane, suite et fin
Voilà, l'expression est dans l'ensemble des travaux que j'ai remis pour ma mi-session. Il va falloir que je me trouve un nouveau truc pour la fin de session... Je pensais soit à ersatz ou alors succédané qui, somme tout, peuvent vouloir dire à peu près la même chose. Sinon je sais pas, je suis ouverte aux suggestions.
jeudi 1 novembre 2007
En filigrane
C'est un terme que j'affectionne ça l'air. J'ai quatre travaux à remettre en cette mi-session. J'en suis au troisième et, à date, ils contiennent tous cette expression au moins une fois (juste une fois en fait, faut pas abuser des bonnes choses).
dimanche 28 octobre 2007
Choses que je vais faire après la mi-session
- le ménage
- l'organisation de mon nouveau classeur (donc le triage de mes notes des dernières années)
- l'organisation de mon placard de rangement
- les lectures en souffrance que j'ai laissé tomber depuis quelques semaines déjà
- aller voir comment se porte mes sims
- peut-être un casse-tête pour ne pas perdre nos bonnes vieilles habitudes
- aller voir cette pièce là
- peut-être bien une partie de Civilization parce que ça me trotte dans la tête depuis quelques temps déjà
vendredi 26 octobre 2007
Improductivité
Note à moi-même : la prochaine fois, commencer par sortir de mon pyjama.
Oui parce que vraiment, j'ai pas été d'une grande productivité aujourd'hui et même si je le voudrais bien, je ne peux pas blâmer Hydro Québec pour plus d'une heure de mon temps alors bon. Déjà que j'écris ici et non pas dans Word pour finir mon travail sur la théorie de l'énonciation. Mais je maîtrise mon sujet à l'os, c'est au moins ça.
J'avoue aussi que le fait de m'être fait livrer dernièrement le coffret de Il était une fois... l'homme n'aide pas trop trop à l'envie de rester planter devant mon ordi à niaiser sur mon traitement de texte peu amusant pour patenter des phrases de calibre universitaire (maudit calibre universitaire... ou alors c'est la pression que je m'impose à moi-même, mais d'une façon ou d'une autre, le résultat reste le même : c'est long).
Remarquez, je crois que j'ai une idée possiblement semi-géniale. Alors voilà, je pose un DVD dans mon (un jour, il faudrait donner un nom que nous pourrons tous mémoriser afin de qualifier «l'emboîture» où l'on dépose les DVD, CD ou CD-Rom... parce que vraiment, j'ai beau chercher, je trouve pas... en anglais, il dise "tray", mais la traduction Google me sort «Bac» ce qui ne fonctionne pas tellement), je minimise le lecteur en coin, je vais jouer dans les options pour qu'il reste en premier plan et je compose mon travail en second plan. Quand même! Évidemment, le succès de cette entreprise est très incertain vu que déjà, la musique m'insupporte lorsque je tente d'être intelligente sur papier... Qui vivra verra!
Oui parce que vraiment, j'ai pas été d'une grande productivité aujourd'hui et même si je le voudrais bien, je ne peux pas blâmer Hydro Québec pour plus d'une heure de mon temps alors bon. Déjà que j'écris ici et non pas dans Word pour finir mon travail sur la théorie de l'énonciation. Mais je maîtrise mon sujet à l'os, c'est au moins ça.
J'avoue aussi que le fait de m'être fait livrer dernièrement le coffret de Il était une fois... l'homme n'aide pas trop trop à l'envie de rester planter devant mon ordi à niaiser sur mon traitement de texte peu amusant pour patenter des phrases de calibre universitaire (maudit calibre universitaire... ou alors c'est la pression que je m'impose à moi-même, mais d'une façon ou d'une autre, le résultat reste le même : c'est long).
Remarquez, je crois que j'ai une idée possiblement semi-géniale. Alors voilà, je pose un DVD dans mon (un jour, il faudrait donner un nom que nous pourrons tous mémoriser afin de qualifier «l'emboîture» où l'on dépose les DVD, CD ou CD-Rom... parce que vraiment, j'ai beau chercher, je trouve pas... en anglais, il dise "tray", mais la traduction Google me sort «Bac» ce qui ne fonctionne pas tellement), je minimise le lecteur en coin, je vais jouer dans les options pour qu'il reste en premier plan et je compose mon travail en second plan. Quand même! Évidemment, le succès de cette entreprise est très incertain vu que déjà, la musique m'insupporte lorsque je tente d'être intelligente sur papier... Qui vivra verra!
jeudi 19 avril 2007
Fin de session oblige
Faudrait que je sois scotché sur Word à la journée longue, ou le nez dans mes notes, ou en train de réfléchir comment je viens discourir de la trahison dans l'optique de la construction de l'identité sexuelle...
mais
Pas que mon sujet est plate, je l'aime bien. Puis l'oeuvre sur laquelle je me base aussi. Puis j'ai des trucs à dire et tout. Sauf qu'ya un truc. Ou un tas de truc. Et là, ce soir, c'est tout en même temps qui me tombe sur la poire parce que je me laisse le temps de souffler un peu en me disant que je peux toujours commencer ce soir et finir demain et être prise à gorge demain soir puis pendant la fin de semaine pour faire le reste des choses qu'il faut que je fasse. Pourtant j'ai tenu deux grosses semaines sans m'en faire jamais ou presque, j'avais pas le temps de toute façon.
Et j'ai cette drôle de sensation, celle de la fin de l'été 2005. Dans ma foutu ligne d'autobus quand j'avais la sensation que ma tête allait exploser tellement tout était moche, et qu'alors j'allais retrouver l'image du sourire le plus puissant sur terre pour me donner un peu de courage, pour rendre les choses moins terribles. C'est de ça que j'aurais besoin en ce moment (à mon humble avis bien sûr, on peut parfois se tromper là dessus).
Enfin bref, j'mange trop de sucre peut-être aussi. Maudite fin de session. C'est probablement la pire depuis... jamais.
mais
Pas que mon sujet est plate, je l'aime bien. Puis l'oeuvre sur laquelle je me base aussi. Puis j'ai des trucs à dire et tout. Sauf qu'ya un truc. Ou un tas de truc. Et là, ce soir, c'est tout en même temps qui me tombe sur la poire parce que je me laisse le temps de souffler un peu en me disant que je peux toujours commencer ce soir et finir demain et être prise à gorge demain soir puis pendant la fin de semaine pour faire le reste des choses qu'il faut que je fasse. Pourtant j'ai tenu deux grosses semaines sans m'en faire jamais ou presque, j'avais pas le temps de toute façon.
Et j'ai cette drôle de sensation, celle de la fin de l'été 2005. Dans ma foutu ligne d'autobus quand j'avais la sensation que ma tête allait exploser tellement tout était moche, et qu'alors j'allais retrouver l'image du sourire le plus puissant sur terre pour me donner un peu de courage, pour rendre les choses moins terribles. C'est de ça que j'aurais besoin en ce moment (à mon humble avis bien sûr, on peut parfois se tromper là dessus).
Enfin bref, j'mange trop de sucre peut-être aussi. Maudite fin de session. C'est probablement la pire depuis... jamais.
jeudi 12 avril 2007
À la fin de session les meilleurs projets
Comme je le fais toujours quand j'ai du temps à perdre (et comme j'ai besoin d'avoir mes moments d'inerties en fin de session), je naviguais briêvement sur le net hier, à la recherche d'un site aussi bien que celui sur les citations de SATC (pour les incultes, c'est le sigle pour Sex and the City) mais pour la série Friends. Il n'y en a pas. Ya juste des trucs moyens qui font un listing en continu sur une seule page, plus ou moins bien divisée, plus ou moins bien classée. Et pas très complet. Je dis pas que le site sur SATC est très complet, mais au moins un peu quand même. Alors, éventuellement, je m'y metterais (comme j'ai les 10 saisons à ma disposition en tout temps). Projet pour l'été, mais que j'ai envie de commencer maintenant, en plus d'un tas d'autres trucs. Mais bon, fin de session oblige, obliger de n'en rien faire...
J'ai mis une jupe hier. Le monde n'était pas près, mais bon, who cares. J'ai quand même assez aimé ma journée et puis avec des bas de nylon, y fait jamais vraiment froid. Je croyais avoir le pouvoir de faire se rapprocher le beau temps, mais la météo est contre moi aujourd'hui. Il paraît donc que je n'ai aucun pouvoir sur elle. Dommage.
Sinon à CTV (8h) et ABC(9h) ce soir, ya ce truc spécial sur Grey's, ça s'appelle Every Moment Counts et j'ai bien hâte de voir parce que bon, ça risque d'être chouette, les meilleurs moments, la musique, tout ça. Les larmes vont être au rendez-vous dans Hochelaga ce soir. Et puis ya cette nouveauté de printemps : Notes from the Underbelly. Mais là juste à ABC parce que CTV/le Canada croit que les séries de crime sordide, c'est plus mieux. Je sais pas où ils sont allés pêcher ça, mais bon, c'est leur affaire. Rien pour encourager le Canada à mes yeux.
Le Fric show dans quelques minutes aussi d'ailleurs, le retour de Ici Louis-José Houde... ahhhh le printemps hen! Mais bon, je dois avouer que j'ai quelques réserves tout de même, en ce qui concerne Legendre Idéal et Le Fric show aussi. C'est bien, c'est correct, mais pas tant que ça. Mais bon, que voulez-vous, Legendre Idéal a Jean-Thomas Jobin, Le Fric show Marc Labrèche... Toutefois, ce printemps, je me donne le droit de me tanner plus vite pour ce qui est de Marc Labrèche, parce que bon, il a déjà un printemps derrière la cravate tout de même!
J'ai mis une jupe hier. Le monde n'était pas près, mais bon, who cares. J'ai quand même assez aimé ma journée et puis avec des bas de nylon, y fait jamais vraiment froid. Je croyais avoir le pouvoir de faire se rapprocher le beau temps, mais la météo est contre moi aujourd'hui. Il paraît donc que je n'ai aucun pouvoir sur elle. Dommage.
Sinon à CTV (8h) et ABC(9h) ce soir, ya ce truc spécial sur Grey's, ça s'appelle Every Moment Counts et j'ai bien hâte de voir parce que bon, ça risque d'être chouette, les meilleurs moments, la musique, tout ça. Les larmes vont être au rendez-vous dans Hochelaga ce soir. Et puis ya cette nouveauté de printemps : Notes from the Underbelly. Mais là juste à ABC parce que CTV/le Canada croit que les séries de crime sordide, c'est plus mieux. Je sais pas où ils sont allés pêcher ça, mais bon, c'est leur affaire. Rien pour encourager le Canada à mes yeux.
Le Fric show dans quelques minutes aussi d'ailleurs, le retour de Ici Louis-José Houde... ahhhh le printemps hen! Mais bon, je dois avouer que j'ai quelques réserves tout de même, en ce qui concerne Legendre Idéal et Le Fric show aussi. C'est bien, c'est correct, mais pas tant que ça. Mais bon, que voulez-vous, Legendre Idéal a Jean-Thomas Jobin, Le Fric show Marc Labrèche... Toutefois, ce printemps, je me donne le droit de me tanner plus vite pour ce qui est de Marc Labrèche, parce que bon, il a déjà un printemps derrière la cravate tout de même!
mardi 10 avril 2007
Le bobo
J'ai mis le doigt, juste à l'instant, sur le grand problème que j'ai avec l'Université de Montréal. L'institution, malgré les notes que j'arrive à obtenir, me fait me sentir comme s'il n'y avait aucune intelligence en moi.
Alors, on convient tous que c'est fort désagréable comme sensation, non?
Alors, on convient tous que c'est fort désagréable comme sensation, non?
jeudi 29 mars 2007
«Histoire d'une étudiante en fin de session»
et en sous-titre : ou comment faire autrement lorsqu'on étudie à l'UdeM
Voilà. C'est que je suis sortie aujourd'hui, par une température de printemps des plus appréciable en fin mars. Pour me rendre à l'UQAM afin de vérifier des trucs pour mes équivalences de cours pour pouvoir me sortir de mon enfer outremontois (beaucoup de «pour» dans cette phrase). Je suis même allée me chercher un petit café au Second Cup à côté, parce que j'arrive toujours vraiment trop à l'avance (d'ailleurs, c'est quoi l'idée de laisser si peu d'espace pour mettre le lait/la crème??).
Alors voilà, peut-être maximum 2 ou 3 cours à reprendre, c'est à voir. D'accord d'accord. J'aurais des d'autres nouvelles sous peu lorsque ça sera tout organisé. En fin mai, je fais mon choix de cours.
Alors bon, ce ne fut pas très long, donc je vais vers le cégep de ma soeurette parce que de toute façon, la 125 passe par là. Mais bon, c'est la grêve (ben oui ga don ça!). Alors parle parle jase jase au cellulaire avec ma future coloc (parce que je lui jasais déjà en chemin) de notre futur appart duquel je vais signer le bail demain aprèm. Joie! Et puis bon, coffee boost nécessairement, je prend l'autobus, je retourne chez moi et me sens fin prête pour commencer en force mes travaux de fin de session.
Mais le hic, c'est qu'avant d'arriver, ya mon cerveau qui continue à rouler sur un tas d'autres trucs à faire et projets à avoir un beau jour, peut-être dans 15 minutes si je peux bla bla bla bla bla (conversation entre les différentes motivations de mon esprit vous voyez).
Puis bon, hop, je rentre dans mon appart. Alors : Musique Maestro! Je patente des trucs un peu par ci par là, je cherche des fonds d'écran sur ce site. Et encore, faut je me retienne pour pas aller cliquer sur les liens pis voir si yaurait pas un autre truc du même genre pour continuer mes recherches.
Mais là oh, un instant, j'avais un épisode de Bleach en attente (ou en souffrance, mais ça serait peut-être un peu trop hen). Alors bon, je finis de le regarder. Mais tout à l'heure, j'avais remarqué que ça faisait un bon petit bout de temps que j'avais pas lu ce qui se passait sur mes blogs préférés. Alors je me dit qu'au pire, je vais lire ceux que je préfère vraiment, histoire de pas devoir troooop rattraper de retard un peu plus tard au cours de je sais pas quand dans le futur. Alors lecture.
Mais, oh malheur, mon coloc actuel vient d'arriver entre l'épisode et la lecture. Alors paf! bien que j'aurais pu encore avoir un résidu de motivation pour mon travail dont la date limite est la plus imminente, c'est impossible qu'il en reste vu sa présence parasitaire, c'est commentaire des plus impertinents et innintéressants que je dois quand même entendre faute d'une morphologie anatomique plus évoluée qui permettrait de se fermer les conduits auditifs. Avec de la chance, peut-être bien qu'il repartira faire je sais pas quoi ailleurs. Mais faudrait pas trop espèrer.
Et puis ça risque d'être pile-poil au moment où Grey's Anatomy va être en onde sur ABC. Et on sait bien que quand c'est Grey's Anatomy, ya pas moyen de faire autre chose que je se river devant son téléviseur et de ne plus bouger pendant cette heure bénite des dieux. De plus, c'est le genre d'émission qui me revire les trippes à chaque fois, alors le moral risque de ne pas voler folllement haut. Comment faire mon travail avec un tel état d'esprit? C'est pas vraiment possible.
Alors bon quoi? Je me résigne? Faudrait tout de même pas. C'est pas bon pour ma santé académique. Et pourtant, j'attend cette petit voix-off dans le coin de mon ventre (celui des papillons, c'est la que la culpabilité se trouve aussi, je me demande d'ailleurs comment ils font pour cohabiter ensemble quand rien ne se passe, ça doit pas être du
gâteau hen!) qui me dit «Lisons nos textes de Théories et Méthodes Critiques histoire de prendre de l'avance sur l'étude à faire dans quelques jours! Partons à l'aventure! Taiho! (dieu que ça m'a pris trop plein de temps juste pour trouver comment on écrit ça taiho...)» etc etc. Alors, c'est que je suis semi-cinglée. C'est l'euphorie du café...
Je ne connais pas bien l'issue de tout cela. Il FAUT que je fasse mes travaux. Mais ma volonté est trop peu inflexible. C'est vraiment pas évident de se battre avec soi-même et le reste de mes obligations les plus pressante. Avec tout ça, mes impôts sont toujours très loin d'être faits.
Bleh...
Voilà. C'est que je suis sortie aujourd'hui, par une température de printemps des plus appréciable en fin mars. Pour me rendre à l'UQAM afin de vérifier des trucs pour mes équivalences de cours pour pouvoir me sortir de mon enfer outremontois (beaucoup de «pour» dans cette phrase). Je suis même allée me chercher un petit café au Second Cup à côté, parce que j'arrive toujours vraiment trop à l'avance (d'ailleurs, c'est quoi l'idée de laisser si peu d'espace pour mettre le lait/la crème??).
Alors voilà, peut-être maximum 2 ou 3 cours à reprendre, c'est à voir. D'accord d'accord. J'aurais des d'autres nouvelles sous peu lorsque ça sera tout organisé. En fin mai, je fais mon choix de cours.
Alors bon, ce ne fut pas très long, donc je vais vers le cégep de ma soeurette parce que de toute façon, la 125 passe par là. Mais bon, c'est la grêve (ben oui ga don ça!). Alors parle parle jase jase au cellulaire avec ma future coloc (parce que je lui jasais déjà en chemin) de notre futur appart duquel je vais signer le bail demain aprèm. Joie! Et puis bon, coffee boost nécessairement, je prend l'autobus, je retourne chez moi et me sens fin prête pour commencer en force mes travaux de fin de session.
Mais le hic, c'est qu'avant d'arriver, ya mon cerveau qui continue à rouler sur un tas d'autres trucs à faire et projets à avoir un beau jour, peut-être dans 15 minutes si je peux bla bla bla bla bla (conversation entre les différentes motivations de mon esprit vous voyez).
Puis bon, hop, je rentre dans mon appart. Alors : Musique Maestro! Je patente des trucs un peu par ci par là, je cherche des fonds d'écran sur ce site. Et encore, faut je me retienne pour pas aller cliquer sur les liens pis voir si yaurait pas un autre truc du même genre pour continuer mes recherches.
Mais là oh, un instant, j'avais un épisode de Bleach en attente (ou en souffrance, mais ça serait peut-être un peu trop hen). Alors bon, je finis de le regarder. Mais tout à l'heure, j'avais remarqué que ça faisait un bon petit bout de temps que j'avais pas lu ce qui se passait sur mes blogs préférés. Alors je me dit qu'au pire, je vais lire ceux que je préfère vraiment, histoire de pas devoir troooop rattraper de retard un peu plus tard au cours de je sais pas quand dans le futur. Alors lecture.
Mais, oh malheur, mon coloc actuel vient d'arriver entre l'épisode et la lecture. Alors paf! bien que j'aurais pu encore avoir un résidu de motivation pour mon travail dont la date limite est la plus imminente, c'est impossible qu'il en reste vu sa présence parasitaire, c'est commentaire des plus impertinents et innintéressants que je dois quand même entendre faute d'une morphologie anatomique plus évoluée qui permettrait de se fermer les conduits auditifs. Avec de la chance, peut-être bien qu'il repartira faire je sais pas quoi ailleurs. Mais faudrait pas trop espèrer.
Et puis ça risque d'être pile-poil au moment où Grey's Anatomy va être en onde sur ABC. Et on sait bien que quand c'est Grey's Anatomy, ya pas moyen de faire autre chose que je se river devant son téléviseur et de ne plus bouger pendant cette heure bénite des dieux. De plus, c'est le genre d'émission qui me revire les trippes à chaque fois, alors le moral risque de ne pas voler folllement haut. Comment faire mon travail avec un tel état d'esprit? C'est pas vraiment possible.
Alors bon quoi? Je me résigne? Faudrait tout de même pas. C'est pas bon pour ma santé académique. Et pourtant, j'attend cette petit voix-off dans le coin de mon ventre (celui des papillons, c'est la que la culpabilité se trouve aussi, je me demande d'ailleurs comment ils font pour cohabiter ensemble quand rien ne se passe, ça doit pas être du
Je ne connais pas bien l'issue de tout cela. Il FAUT que je fasse mes travaux. Mais ma volonté est trop peu inflexible. C'est vraiment pas évident de se battre avec soi-même et le reste de mes obligations les plus pressante. Avec tout ça, mes impôts sont toujours très loin d'être faits.
Bleh...
vendredi 23 mars 2007
Paul Extase et les cochonnes
Ça pas rapport, mais c'est Jean qui dit ça dans un truc qui a été en onde à Radio-Can ya un bout de temps (je crois que c'est Viva Kunderwald! ou qq'chose comme ça). C'est très drôle. Enfin...
Je pratique activement depuis à peu près une semaine l'intellecte buissonier. C'est-à-dire que j'écoute Heroes sur mon ordi ainsi que 3 autres séries. En plus des lectures qui n'ont mais alors là aucun lien avec ce que je suis sensée faire pour l'école. C'est mal partie. Mais bon, je compte me mettre activement à faire mes travaux le plus vite possible histoire de m'en débarasser. Yen a déjà 2 que je pourrais faire live là. Si c'est pas 3 en fait... Mais bon, oui, c'est plate. Et puis j'ai 3 millions d'autres obligations en même temps vu les changements qui auront lieu cet été. Puis, les autres priorités essentiellement corporels vous voyez...
Mais je jure, à partir de lundi soir de la semaine prochaine, je reprend mon statut d'élève modèle. Déjà, mon autre statut d'employée modèle va assez bien et je compte le maintenir ainsi pour un bon bout de temps. Parce que l'argent, j'ai beau essayer, ça sort pas du rectum (malheureusement).
Je pratique activement depuis à peu près une semaine l'intellecte buissonier. C'est-à-dire que j'écoute Heroes sur mon ordi ainsi que 3 autres séries. En plus des lectures qui n'ont mais alors là aucun lien avec ce que je suis sensée faire pour l'école. C'est mal partie. Mais bon, je compte me mettre activement à faire mes travaux le plus vite possible histoire de m'en débarasser. Yen a déjà 2 que je pourrais faire live là. Si c'est pas 3 en fait... Mais bon, oui, c'est plate. Et puis j'ai 3 millions d'autres obligations en même temps vu les changements qui auront lieu cet été. Puis, les autres priorités essentiellement corporels vous voyez...
Mais je jure, à partir de lundi soir de la semaine prochaine, je reprend mon statut d'élève modèle. Déjà, mon autre statut d'employée modèle va assez bien et je compte le maintenir ainsi pour un bon bout de temps. Parce que l'argent, j'ai beau essayer, ça sort pas du rectum (malheureusement).
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mardi 20 mars 2007
Un gars, une fille
Pris dans Crimes et chatouillements d'Hélène Monette
« La chanson de Serge Lama a été écrite par une fille. Lama l'a endisquée par erreur parce que l'erreur est humaine.
Un gars qui a mal à la tête doit subir dans les plus brefs délais une série de tests de dépistage au moyen d'encéphalogrammes complets. Une fille qui a mal au coeur devrait se poser des questions sur son taux élevé de psychosomatisme chronique. Un gars qui boit, boit. Une fille qui boit, s'enfarge. Un gars malade est souffrant. Une fille malade est une fille.
Le premier jour, Dieu créa l'homme. Le deuxième jour, la fille. Le troisième jour, Dieu créa l'hôpital. Le quatrième jour, l'ambulance. Le cinquième jour, le gars conduisait l'ambulance.
Un gars qui dort récupère. Un ange passe à travers des nuées de confettis jolis. Une fille ne dort pas. Une fille a les yeux rouges et le reste du temps elle se maquille.
Une fille triste est psychopathe ou tout au moins alcoolique et paranoïaque. Un gars a du chagrin, il en a gros sur le coeur. Le ruisseau de ses larmes conduit à la mer de ses naufrages. C'est de toute beauté tellement c'est maritime, mais c'est bien triste.
Un gars consolé vaut mieux qu'un gars qui pleure. Une fille qui pleure va voir ailleurs.
Derrière chaque femme, il y a une clinique, un Jean Coutu rempli d'antibiotiques, un médecin d'âge mûr qui ne sourit plus beaucoup, une vie parsemée de champignons, d'ostéoporose, de dépressions, d'otites, coliques et oreillons. Devant chaque femme, il y a un monde rempli de mauvaises nouvelles, de maladies nouvelles et d'hommes nouveaux.
Le sixième jour, l'ambulance brûlait les feux rouges.
Un gars parle, une fille fabule. Un gars s'exprime, une fille rush. Un gars discute, une fille se tait.
Un gars prend la porte. Un fille prend froid. Un gars expose les circonstances particulières d'événements fâcheux. Une fille chiâle.
Une fille qui chiâle ne devrait pas faire ça. Ce n'est pas joli. Un gars qui se plaint est un brave type au fond, COME ON.
Une fille est un gars et un gars est une fille, ça dépend des fois.
Une fille compte ses jours, un gars compte sur une fille. Un gars a des aventures, une fille trompe son chum. Le petit ami pique une colère, la fille appelle sa mère, mange du chocolat et exagère.
Un gars qui trouve une fille tordue est un homme éclairé qui use de discernement dans les choses de la vie, un apôtre de l'amour infini qui bat des mains quand on l'aime. Qui bat. Qui bat?
Un gars pense en utilisant son cerveau droit et son cerveau gauche à pleine capacité toute la journée. Une fille divague, invente, s'imagine des choses la plupart du temps. Une fille donne trop d'explications mais n'est pas bonne dans les éclaircisements. Une fille trébuche dans le noir. Une fille est folle à lier lorsqu'elle parle démesurément de ce qu'elle veut vraiment.
Un gars ne se gêne pas pour se montrer intelligent, il sait quoi dire et quand. Une fille est décontenancée. Point.
Derrière chaque grand homme, il y a une petite femme, boulotte ou anorexique, qui ne réussit pas dans la vie. Dedans chaque homme, il y a au fond, bien au fond, très profond, une femme, qui n'est ni la sienne ni l'obsédante fille aux collants noirs baisée un soir. Dedans chaque homme, il y a une femme qui n'est pas là quand on l'appelle, parce qu'il y a peu d'appelées et pas d'élues.
Un gars qui n'aime pas qu'on parle des gars est un gars. Un gars qui parle des filles est un vrai gars. Une fille qui est en forme fonctionne. Une fille qui fonctionne, c'est l'fun. Une fille le fun parle beaucoup aux gars. Un gars s'en aperçoit et n'aime pas que la fille soit partout à la fois, car Dieu s'est fait homme et Marie-Madeleine a été créée pour pleurer et laver les pieds.
Un gars compliqué est un gars qui n'a pas encore compris qu'il n'a pas à s'en faire. Une fille compliquée est une fille normalement constituée. Une fille normale est une fille plate, par définition. Mais une fille normalement constituée peut toujours s'essayer. Rien de l'y empêche...
Un gars aime une fille, une fille aime un gars, ça dépend des mois.
Dedans chaque femme, il y a des visions, des racontars, des fabulations. Des histoires. Un long cortège d'ambulances, des sorcières en cendre et de l'amour. De l'amour, pourtant. De l'amour brûlant. »
***
Ouais, et à tout cela, peut-être que je rajouterais ceci : « Un gars philosophe et réfléchit sur le sort du monde. Il se pose des questions existencielles et importantes. Une fille fantasme sur un gars et pense à ses problèmes de couple. »
lundi 12 mars 2007
Bleh...
C'est fou comme lorsqu'on A (dans le sens devoir) quelque chose à faire, on a envie de faire toute sauf ça. J'ai dû passer 20 minutes (probablement plus) à chercher sur google et amazon la marche militaire que j'avais en tête. Puis quelques temps pour trouver que militaire, c'est juste un "l". Puis là, j'écris un truc complètement insignifiant, quand faudrait plutôt que j'écrive autre chose de plus signifiant dans un fichier word sur des trucs à propos des identités sexuelles... Mais, et malgré le fait que le cours est très amusant et tout le reste, dieu que c'est plate!!!
00h38 : Comment plugger le communisme russe dans un travail qui parle de féminisme... c'est vraiment pas si dure que ça en fait!
Plus que moins de 800 mots à faire avant de pouvoir dire que j'm'en contre-caliss.
01h47 : un peu moins de 400 mots (mais il est clair que je vais déborder... maudit)
02h48 : plus que 6 mots (dans les faits, à peu près une page au mieux... plus que 2 sous aspects et la conclusion)
3h40 : terminé! correction demain matin
mardi 6 mars 2007
Bon alors, le rectum...
AVERTISSEMENT : Ce post est très long, désolé.
Voilà, il était temps. Parce que j'avais promis, et puis c'est important d'en informer le plus possible, malgré mes doigts qui ne font que commencer à dégeler et mon indez droit qui est anormalement irrité à cause de ma fin de semaine à l'entretien (je frotte peut-être trop fort en employé modèle que je suis).
Alors, j'ai eu ce cours mardi dernier, donc il y a une semaine, sur quelques théories élaborées dans «Le rectum est-il une tombe?» de Leo Bersani, juste après avoir vu ça le soir précédent. Ça m'a expliquer bien des choses sur ma réaction vis-à-vis le film.
Bien qu'il n'est pas question que de ça et que je sais que Bersani chiale pas mal après la communauté gay pour différentes raisons qui, à la limite, mériterait réflection dans l'optique des études sur la différence sexuelle, je veux plutôt parler ici du rapport qui existe entre les discours tenus sur les gays et le féminin. Pour faire un bref topo, il faut d'abord comprendre qu'à travers l'histoire, la femme a trop souvent été perçue comme un corps sans âme, un être malade qui peut contaminés ses proches, une hystérique et parfois même un monstre. Ça serait bien long d'énumérer les récurrences de tout ça, mais bon, pensons seulement à Aristote ou Freud qui ont grandement marqués la pensée occidentale. On critique donc, de façon plus ou moins détourné, le féminin et la «contamination» qui le caractérise.
Cela dit, les discours tenus sur les gays sidéens dans les années 80 était le même que celui sur les prostituées au 19e siècle. Le vagin était alors symbole de peste ou de mort. Par la suite, l'objet du concept symbolique s'est seulement déplacé vers la communauté gay à cause du sida, donc vers le rectum. Alors, l'homosexualité a «attrapé» les caractéristiques par lequel on désignait le féminin dans le passé (remarquez, ça se fait encore, inconsciament ou non, parce que les mentalités n'évoluent pas aussi vite qu'on pourrait le croire.)
Bersani met de l'avant que la société a toujours eu une volonté d'éradiquer l'homosexualité, un désir de meurtre envers eux. Le sida a seulement libérer, voire même légitimé ce désir. Et puis, dans société, il faut inclure la communauté gay elle-même, qui a en elle aussi cette volonté parce qu'elle fait partie du sociale. Alors, tout cela a fini par actualisé la perception commune de l'homosexualité comme une maladie ou une orientation suicidaire.
En somme, celui que l'on déteste, c'est le pénétré. Et on le déteste parce qu'il prend volontairement une position de femme. Selon Bersani, ce que l'on méprise dans la sexualité, c'est le rôle passif. Et n'allez pas penser que la fellation ou alors la position d'Andromaque y changent quoi que ce soit. Passif dans le sens pénétré.
Voilà où on doit en venir avec tout ça : c'est que la soumission fait partie d'une réflection à faire sur la sexualité. Il faut finir par reconnaître que le refus chronique de la perte de pouvoir (parce qu'il est belle et bien question de pouvoir, c'est connu) est conditionné par l'imaginaire sociale très très phallocentré et donc, finir aussi par reconnaître la valeurs de l'abandon du pouvoir. Cela permet alors de déduire que le masochisme est un aspect important dans la sexualité, et même qu'il doit être visité pour réussir à comprendre (ce que j'ai toujours dit!) La haine des gays seraient donc une misogynie déplacée. Et c'est pourquoi le rectum serait effectivement une tombe. Une tombe pour le moi, une tombe du culte du monde de la maîtrise du pouvoir.
Bref, la sexualité est systématiquement perçu comme une prise de pouvoir, mais il faudrait tenter de réaliser que la perte de pouvoir est aussi au centre du sexuel. Les femmes doivent passer outre leur réflexe de se percevoir comme des victimes après coup (je ne tente toutefois pas de légitimer le viol ici) et comprendre qu'il y a une valeur dans la position à laquelle elles sont contraintes biologiquement.
Et puis, au pire, c'est pas pour rien qu'on a fini par inventé le strap-on!
Ahahah...
Voilà, il était temps. Parce que j'avais promis, et puis c'est important d'en informer le plus possible, malgré mes doigts qui ne font que commencer à dégeler et mon indez droit qui est anormalement irrité à cause de ma fin de semaine à l'entretien (je frotte peut-être trop fort en employé modèle que je suis).
Alors, j'ai eu ce cours mardi dernier, donc il y a une semaine, sur quelques théories élaborées dans «Le rectum est-il une tombe?» de Leo Bersani, juste après avoir vu ça le soir précédent. Ça m'a expliquer bien des choses sur ma réaction vis-à-vis le film.
Bien qu'il n'est pas question que de ça et que je sais que Bersani chiale pas mal après la communauté gay pour différentes raisons qui, à la limite, mériterait réflection dans l'optique des études sur la différence sexuelle, je veux plutôt parler ici du rapport qui existe entre les discours tenus sur les gays et le féminin. Pour faire un bref topo, il faut d'abord comprendre qu'à travers l'histoire, la femme a trop souvent été perçue comme un corps sans âme, un être malade qui peut contaminés ses proches, une hystérique et parfois même un monstre. Ça serait bien long d'énumérer les récurrences de tout ça, mais bon, pensons seulement à Aristote ou Freud qui ont grandement marqués la pensée occidentale. On critique donc, de façon plus ou moins détourné, le féminin et la «contamination» qui le caractérise.
Cela dit, les discours tenus sur les gays sidéens dans les années 80 était le même que celui sur les prostituées au 19e siècle. Le vagin était alors symbole de peste ou de mort. Par la suite, l'objet du concept symbolique s'est seulement déplacé vers la communauté gay à cause du sida, donc vers le rectum. Alors, l'homosexualité a «attrapé» les caractéristiques par lequel on désignait le féminin dans le passé (remarquez, ça se fait encore, inconsciament ou non, parce que les mentalités n'évoluent pas aussi vite qu'on pourrait le croire.)
Bersani met de l'avant que la société a toujours eu une volonté d'éradiquer l'homosexualité, un désir de meurtre envers eux. Le sida a seulement libérer, voire même légitimé ce désir. Et puis, dans société, il faut inclure la communauté gay elle-même, qui a en elle aussi cette volonté parce qu'elle fait partie du sociale. Alors, tout cela a fini par actualisé la perception commune de l'homosexualité comme une maladie ou une orientation suicidaire.
En somme, celui que l'on déteste, c'est le pénétré. Et on le déteste parce qu'il prend volontairement une position de femme. Selon Bersani, ce que l'on méprise dans la sexualité, c'est le rôle passif. Et n'allez pas penser que la fellation ou alors la position d'Andromaque y changent quoi que ce soit. Passif dans le sens pénétré.
Voilà où on doit en venir avec tout ça : c'est que la soumission fait partie d'une réflection à faire sur la sexualité. Il faut finir par reconnaître que le refus chronique de la perte de pouvoir (parce qu'il est belle et bien question de pouvoir, c'est connu) est conditionné par l'imaginaire sociale très très phallocentré et donc, finir aussi par reconnaître la valeurs de l'abandon du pouvoir. Cela permet alors de déduire que le masochisme est un aspect important dans la sexualité, et même qu'il doit être visité pour réussir à comprendre (ce que j'ai toujours dit!) La haine des gays seraient donc une misogynie déplacée. Et c'est pourquoi le rectum serait effectivement une tombe. Une tombe pour le moi, une tombe du culte du monde de la maîtrise du pouvoir.
Bref, la sexualité est systématiquement perçu comme une prise de pouvoir, mais il faudrait tenter de réaliser que la perte de pouvoir est aussi au centre du sexuel. Les femmes doivent passer outre leur réflexe de se percevoir comme des victimes après coup (je ne tente toutefois pas de légitimer le viol ici) et comprendre qu'il y a une valeur dans la position à laquelle elles sont contraintes biologiquement.
Et puis, au pire, c'est pas pour rien qu'on a fini par inventé le strap-on!
Ahahah...
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