C'est la fin de session, je mange très mal, beaucoup de sucré, beaucoup de salé, beaucoup de gras, histoire que la joie de mon estomac compense sur mon incapacité (plutôt mon impossibilité) à m'amuser. Mais alors, en résulte les rêves les plus incongrus (quoique toujours pas mal freiner par un coup de téléphone qui est toujours pas mal donner par ma mère... ya des choses qui changent pas).
Dimanche soir, c'était sur mon examen de grammaire (que j'ai bien réussi, j'en suis fort aise) qui finalement n'en était pas tellement un, trop interractif, on devait se déplacer dans des lieux étranges pour recevoir les directives où lire les questions et y répondre, questions qui portaient bien trop souvent sur les mathématiques, matière que j'ai tranquillement oublier au fil du temps. Bref, le gros bordel.
Lundi soir, je remettais une feu de chou incroyable à mon prof de littérature et société, un genre de 15 pages mal imprimé, avec des graphiques et des images incohérentes, des fautes d'orthographe pas possibles, un style qui frôle le slang, c'était le gros bordel aussi, mais par bonté de coeur, il m'avait collé qu'un B+.
Ensuite je crois avoir eu un peu de répit, mais bon, j'pourrais pas mettre ma main au feu là dessus.
Et donc, hier soir, c'est un mix entre la job, l'éventuelle audition au Banquier avec ma mère et les Vieux Garçons. D'abord, c'était le gros bordel au Banquier, les autres gens se font rappeler à la deuxième audition, ils étaient pourtant vraiment pourris et tout et en plus, ils viennent insulter les raisons de ma mère de participer alors je me fache vraiment noir et tout, enfin bref. Puis yavait cette étrange histoire où les Vieux Garçons étaient en querelle l'un d'avec l'autre et Attrayan se confiait à ma mère (??? va savoir pourquoi) tandis que moi, en travaillant sur mon bloc à l'hôpital, je croise Qu'àcelanEtienne, qui a trouvé logis dans une chambre de patient, en train de jouer au serpent et échelle avec un fille quelconque. Le reste c'est du travail plate de moppage de plancher avec les fameux swiffer de l'hôpital et quelques problèmes réguliers de fin de semaine de travail bref. Mais bon, je crois savoir pourquoi les Vieux Garçons étaient dans mes rêves. J'ai écouté Fait ça court! hier soir et puis yavait plusieurs plans d'Attrayan en train de travailler, de rigoler et tout alors voilà : un beau petit reste diurne.
J'attend presque ce soir avec impatience pour échouer un enième travail, puis me retrouver à Los Angeles dans une contreverse célèbre couverte par Courteney Cox et son paparazzi débile.
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vendredi 14 décembre 2007
samedi 27 octobre 2007
C'est trop fort
Les Vieux Garçons vraiment, je peux dire que maitenant, je suis groupie à l'os (chose qui n'était alors réservée qu'à Jean Leloup... mais bon, a-t-il fait un vidéo de cet acabit? je ne crois pas monsieur!)
lundi 27 août 2007
That's a fact Jack!
Après le titre même de mon blog, le mot recherché sur Google qui mène le plus souvent ici est...
*Roulement de tambourins (oui parce que j'suis trop pauvre pour des tambours)*
«Sodomiser»
Hen! Ça en dit long, non?
Metion toute spéciale pour les phrases suivantes : «only for you club d'echangiste» et «maso montreal». Hop hop, les déviances, par ici, parce que c'est ici que le fun commence!
*Roulement de tambourins (oui parce que j'suis trop pauvre pour des tambours)*
«Sodomiser»
Hen! Ça en dit long, non?
Metion toute spéciale pour les phrases suivantes : «only for you club d'echangiste» et «maso montreal». Hop hop, les déviances, par ici, parce que c'est ici que le fun commence!
lundi 13 août 2007
Les grandes promesses
La grève c'est trop dure. J'suis faible ça l'air. Mais bon oh! je ne passe pas encore à autre chose, j'essaie. Sauf que les tentations sont très présentes et même que je me les crée quasiment toute seule. C'est pas bon.
Je passais d'ailleurs sur un blog (je ne fais pas de lien parce que tout de même oh!) ya pas 2 secondes et puis l'auteur me donne des bouffées de chaleur, c'est pas peu dire (et puis ça rime alors c'est pire).
Sans compter les dernières histoires qui, avec peut-être un peu d'habilité (en plus du fait que la "proie" est un homme, ce qui facilite toujours énormément les choses en général), peuvent potentiellement se reproduire (quel choix de verbe ici!)
J'ai des craintes vis-à-vis moi et ma volonté plutôt ébranlable.
Je passais d'ailleurs sur un blog (je ne fais pas de lien parce que tout de même oh!) ya pas 2 secondes et puis l'auteur me donne des bouffées de chaleur, c'est pas peu dire (et puis ça rime alors c'est pire).
Sans compter les dernières histoires qui, avec peut-être un peu d'habilité (en plus du fait que la "proie" est un homme, ce qui facilite toujours énormément les choses en général), peuvent potentiellement se reproduire (quel choix de verbe ici!)
J'ai des craintes vis-à-vis moi et ma volonté plutôt ébranlable.
mercredi 1 août 2007
PostSecret #5
Voilà sur quoi je suis tombée ce matin :
... depuis peut-être une ou deux semaine (ou une semaine et demi), j'ai l'impression de ne pas pouvoir penser à autre chose. Étrange quand même de me sentir comme ça à cause d'un type qui, pourtant, n'est pas d'une importance capitale dans ma vie. Peut-être c'est une question de perfectionnisme? Enfin, ma journée d'hier n'a pas aider non plus.
Enfin bref, sur une notre plus positive, c'est mon 1000e billets. Soyez heureux.

Enfin bref, sur une notre plus positive, c'est mon 1000e billets. Soyez heureux.
mercredi 25 juillet 2007
Chais pas vous...
... mais moi, depuis le début de l'été, j'ai toujours l'impression de croiser ce monsieur.
La dernières fois c'était ya un bon petit bout à la sortie du métro Place-des-Arts en attendant la 125 qui n'est passé qu'une fois sur deux, soit la deuxième fois.
Aujourd'hui, c'est en passant devant le café je sais pu quoi (celui devant le club vidéo le 7e) avec mon sac d'épicerie remplie de marde (au sens figuré, parce qu'yen vende pas vraiment hein...)
Alors, évidement, usant de ma déduction logique des plus louches, je crois que j'ai définitivement un stalker à moi
La dernières fois c'était ya un bon petit bout à la sortie du métro Place-des-Arts en attendant la 125 qui n'est passé qu'une fois sur deux, soit la deuxième fois.
Aujourd'hui, c'est en passant devant le café je sais pu quoi (celui devant le club vidéo le 7e) avec mon sac d'épicerie remplie de marde (au sens figuré, parce qu'yen vende pas vraiment hein...)
Alors, évidement, usant de ma déduction logique des plus louches, je crois que j'ai définitivement un stalker à moi
jeudi 12 juillet 2007
Peut-être suis-je semi saoule mais...
... je la trouve bien drôle :
«[...] ou encore, Montréal abrite une bande d’épais qui pensent que le civisme, c’est l’art de conduire une Civic.»
--Attrayan sur Les Vieux Garçons
«[...] ou encore, Montréal abrite une bande d’épais qui pensent que le civisme, c’est l’art de conduire une Civic.»
--Attrayan sur Les Vieux Garçons
vendredi 6 juillet 2007
Ahhhh un jour peut-être...
Pour comprendre, cliquer ici
J'pas tout à fait d'accord avec tout, mais dans l'ensemble, l'esprit est là.
C'est l'une de mes aspirations possibles, sauf que j'arrive pas toujours à me brancher, c'est comme la littérature et l'électricité, ya pas de lien, mais les deux ont le potentiel de m'intéresser à niveau égal.
J'pas tout à fait d'accord avec tout, mais dans l'ensemble, l'esprit est là.
C'est l'une de mes aspirations possibles, sauf que j'arrive pas toujours à me brancher, c'est comme la littérature et l'électricité, ya pas de lien, mais les deux ont le potentiel de m'intéresser à niveau égal.
jeudi 28 juin 2007
Parce que j'ai aussi des défauts
Comme je suis trop bête pour me souvenir par moi-même des choses que je dois faire vis-à-vis le web et ses nombreux sites, j'avais complètement oublié de vérifier de temps en temps si Procrastinator était à nouveau en marche. Mais bon, en même temps, j'ai pris un break de lecture bloguesque en avril, en pleine fin de session, pour ne recommencer que dernièrement, en continuant toutefois de jeter un oeil à Post Secret et aux Vieux Garçons que j'aime trop. J'ai du pain sur la planche, heureusement, l'hopital n'a pas appellé ce matin.
Dans un autre ordre d'idée : un petit bravo à moi pour avoir rempli ma première boîte ce matin.
Dans un autre ordre d'idée : un petit bravo à moi pour avoir rempli ma première boîte ce matin.
lundi 11 juin 2007
Ne laissons pas filer ma motivation
Je sais que je suis pas très active dernièrement. Mais bon, c'est que je le suis plus dans les autres aspects de ma vie. Et même, je lis plus grands blogs non plus. Je jette des coups d'oeils par-ci par-là pour voir si je ne manque rien. J'ai tout de même pu constater que les Vieux Garçons ont eu de la compagnie devant leur téléviseur cablo-distribué. C'est déjà ça. Comme je comprend d'ailleurs.
Bon, bref, «là n'est pas la question n'est pas là!» Je crois avoir enfin découvert mon point de vue affectif vis-à-vis mon dilemme masculin. En somme, rien de nouveau sous le soleil. Je peux pas envisager de me satisfaire de peu, j'ai pas cette capacité à jouer mon propre rôle dans le quotidien et de travestir mes pensées, mes sentiments ou même mes sensations. Ça me rend froide et invivable, autant dans mon rapport avec l'autre qu'avec moi-même, ce qui est un peu trop à supporter. Donc, ça sent la fin imminente. Parce que bon, j'suis pas plus conne qu'une autre, c'est l'été, ya rien qui presse et puis j'ai de la compagnie à des heures semi-indécentes si j'en ai envie, ce qui ne se refuse pas aussi facilement qu'on le croit. Pendant ce temps toutefois, je me questionne à savoir si un jour, je vais finir par me sortir de cette situation d'impasse caractéristique de mon sélectivisme affectivo-amoureux. Pour l'instant, c'est vraiment pas la fin du monde. Mais ça pourrait commencer à m'inquièter éventuellement. Il est même probable qu'avec la fatigue qui s'imice dans tous les pores de mon quotidien, à cause du travail principalement, j'en vienne à ne plus pouvoir supporter cela non plus d'ici la fin de l'été. Du moins, si la fin de cette été ressemble à la précédente, j'ai de quoi m'inquièter. Mais je crois pouvoir être assez avenante pour envisager de prendre le temps de respirer avant que ça se reproduise. Je respire d'ailleurs énormément depuis le début du mois de mai et m'en porte très bien merci.
Ainsi, je crois avoir un pas pire plan pour tous éventuels problèmes rencontrés et donc parée pour l'été, peu importe la tounure qu'il prendra.
Bon, bref, «là n'est pas la question n'est pas là!» Je crois avoir enfin découvert mon point de vue affectif vis-à-vis mon dilemme masculin. En somme, rien de nouveau sous le soleil. Je peux pas envisager de me satisfaire de peu, j'ai pas cette capacité à jouer mon propre rôle dans le quotidien et de travestir mes pensées, mes sentiments ou même mes sensations. Ça me rend froide et invivable, autant dans mon rapport avec l'autre qu'avec moi-même, ce qui est un peu trop à supporter. Donc, ça sent la fin imminente. Parce que bon, j'suis pas plus conne qu'une autre, c'est l'été, ya rien qui presse et puis j'ai de la compagnie à des heures semi-indécentes si j'en ai envie, ce qui ne se refuse pas aussi facilement qu'on le croit. Pendant ce temps toutefois, je me questionne à savoir si un jour, je vais finir par me sortir de cette situation d'impasse caractéristique de mon sélectivisme affectivo-amoureux. Pour l'instant, c'est vraiment pas la fin du monde. Mais ça pourrait commencer à m'inquièter éventuellement. Il est même probable qu'avec la fatigue qui s'imice dans tous les pores de mon quotidien, à cause du travail principalement, j'en vienne à ne plus pouvoir supporter cela non plus d'ici la fin de l'été. Du moins, si la fin de cette été ressemble à la précédente, j'ai de quoi m'inquièter. Mais je crois pouvoir être assez avenante pour envisager de prendre le temps de respirer avant que ça se reproduise. Je respire d'ailleurs énormément depuis le début du mois de mai et m'en porte très bien merci.
Ainsi, je crois avoir un pas pire plan pour tous éventuels problèmes rencontrés et donc parée pour l'été, peu importe la tounure qu'il prendra.
samedi 19 mai 2007
Réajustement post-écrit
Ici j'aurais dû éditer la photo et changer le sous-titre pour Man the TONGUE!
Ahah, miam...
Ahah, miam...
vendredi 13 avril 2007
En me promenant, clavier à la main...
... j'ai remarqué que sur le Net... euuuh... je sais pas. En fait, c'est qu'après avoir eu un blog pendant, quoi, quelques années, on se rend compte que, même en étant pas le plus fin stratège de la subtilité de la langue française, l'ironie, le sarcasme ou l'absurde n'est pas toujours compris de tous. Ouais bon, je peux avouer que parfois, ya l'ambiguïté. Et puis le ton...
Mais bon tout de même, faudrait pas croire qu'on ne dit que la vérité, qu'on ne s'amuse pas un peu ou qu'on fait pas exprès d'être nul à en pleurer. C'est à cause des Vieux Garçons. En passant par là, je vois qu'ils se lancent dans les capsules vidéos. Chouette! Mais allez surtout pas trop du côté des commentaires. C'est parfois à ce demander pourquoi au juste il y a ce système sur chaque blog. C'est tellement décevant de voir que les gens n'y comprennent rien finalement. Coup donc, n'est-on pas un moindrement clair? Me semble que c'est fort évident que ça pas d'allure leur histoire. Les deux types sont des gars très articulés, alors comment s'expliquer que ce ne soit pas le cas dans la vidéo? Une blague peut-être. C'est par une déduction fort simple que j'arrive à faire le lien, et même, je n'ai pas besoin de m'y arrêter pour avoir la certitude que je me trompe pas. Et justement, pour certain, je serais en train de flatter mon cerveau dans le sens du poil présentement parce que je me la pète d'avoir compris, mais c'est plutôt que la peu de perspicacité ambiante me déçoit. Parce que je suis pas toute seule à avoir compris, mais on est pas si nombreux que ça à ce que je peux voir. Étrange, étrange, très étrange. J'arrive jamais à dévaluer assez la race humaine pour ne pas être follement surprise lorsque de telle situation se produisse.
Mais bon tout de même, faudrait pas croire qu'on ne dit que la vérité, qu'on ne s'amuse pas un peu ou qu'on fait pas exprès d'être nul à en pleurer. C'est à cause des Vieux Garçons. En passant par là, je vois qu'ils se lancent dans les capsules vidéos. Chouette! Mais allez surtout pas trop du côté des commentaires. C'est parfois à ce demander pourquoi au juste il y a ce système sur chaque blog. C'est tellement décevant de voir que les gens n'y comprennent rien finalement. Coup donc, n'est-on pas un moindrement clair? Me semble que c'est fort évident que ça pas d'allure leur histoire. Les deux types sont des gars très articulés, alors comment s'expliquer que ce ne soit pas le cas dans la vidéo? Une blague peut-être. C'est par une déduction fort simple que j'arrive à faire le lien, et même, je n'ai pas besoin de m'y arrêter pour avoir la certitude que je me trompe pas. Et justement, pour certain, je serais en train de flatter mon cerveau dans le sens du poil présentement parce que je me la pète d'avoir compris, mais c'est plutôt que la peu de perspicacité ambiante me déçoit. Parce que je suis pas toute seule à avoir compris, mais on est pas si nombreux que ça à ce que je peux voir. Étrange, étrange, très étrange. J'arrive jamais à dévaluer assez la race humaine pour ne pas être follement surprise lorsque de telle situation se produisse.
mardi 3 avril 2007
Résumer ma pensée en 4 propositions simples
Ici
Je rajouterais seulement au commentaire qui suit la citation que ça s'étend même à travers toute la province...
Je rajouterais seulement au commentaire qui suit la citation que ça s'étend même à travers toute la province...
mercredi 14 mars 2007
vendredi 9 février 2007
Vu sur rappaz.net
«Tyrans
08 février 2007
À travers l'Histoire, le monde a eu la douleur de connaître plusieurs tyrans : Adolf Hitler, Pol Pot, Saddam Hussein, et le gars qui a inventé le participe passé.»
En ce jeudi soir (où vendredi matin, c'est comme vous voulez), je la trouve bien drôle entre deux pensées érotiques motivées par l'alcool post-ciné-clubesque.
08 février 2007
À travers l'Histoire, le monde a eu la douleur de connaître plusieurs tyrans : Adolf Hitler, Pol Pot, Saddam Hussein, et le gars qui a inventé le participe passé.»
En ce jeudi soir (où vendredi matin, c'est comme vous voulez), je la trouve bien drôle entre deux pensées érotiques motivées par l'alcool post-ciné-clubesque.
dimanche 4 février 2007
Cette semaine, sur la blogosphère
Qu'àcelanEtienne dit ceci
Fel-X dit cela
J'ai bien aimé.
D'abord, le truc du dentiste était très drôle. Et puis bon, ça me fait penser à mon aversion pour la pratique bucaux-dentale. Non pas que c'est mal l'hygiène dentaire, mais j'aime juste pas me faire faire la morale par les spécialo-spécialistes, que ce soit en chiropratie, en médecine général, en toute. C'est que, en tant que cliente, je veux qu'on me donne un service, non un sermon. Un bureau médicale d'une quelconque pratique que ce soit N'EST PAS un église. Qu'on se le tienne pour dit.
Puis, le truc affectivo-romantique. Non pas parce que c'est cute, que je suis une femme, que mon utérus fait un bon tout à coup. Simplement de pouvoir constater que ce genre de boulversement, perte de contrôle, décontenance peut aussi être vécu par des hommes normaux. Parce que parfois, on dirait qu'il faut à tout prix croire le contraire, ou faire croire le contraire. C'est tout le concept du machisme à saveur moderne. C'est plus si animalo-primal que ce l'était (parfois oui, mais généralement plus pour faire réagir, c'est moins sérieux comme démarche), alors ça c'est converti en une attitude dégagé de tout, comme quoi rien ne peut vraiment atteindre le type, parce que de toute façon, quoi que soit la question, il s'en fout. C'est la "cool attitude". À ce stade-là les gars, il est temps d'en revenir, les belles années du secondaire sont terminés, va falloir penser à entrer dans la cour des grands. Enfin bref, j'extrapole...
...
Ça n'a aucun lien, mais j'ai l'étrange sensation d'être croche. Dans le sens littéral du terme, c'est à dire que mon horizon de vision n'est pas parallèle au plancher (en présupposant que le planche est à niveau). Je vais aller laver tout ça, ça passera.
Fel-X dit cela
J'ai bien aimé.
D'abord, le truc du dentiste était très drôle. Et puis bon, ça me fait penser à mon aversion pour la pratique bucaux-dentale. Non pas que c'est mal l'hygiène dentaire, mais j'aime juste pas me faire faire la morale par les spécialo-spécialistes, que ce soit en chiropratie, en médecine général, en toute. C'est que, en tant que cliente, je veux qu'on me donne un service, non un sermon. Un bureau médicale d'une quelconque pratique que ce soit N'EST PAS un église. Qu'on se le tienne pour dit.
Puis, le truc affectivo-romantique. Non pas parce que c'est cute, que je suis une femme, que mon utérus fait un bon tout à coup. Simplement de pouvoir constater que ce genre de boulversement, perte de contrôle, décontenance peut aussi être vécu par des hommes normaux. Parce que parfois, on dirait qu'il faut à tout prix croire le contraire, ou faire croire le contraire. C'est tout le concept du machisme à saveur moderne. C'est plus si animalo-primal que ce l'était (parfois oui, mais généralement plus pour faire réagir, c'est moins sérieux comme démarche), alors ça c'est converti en une attitude dégagé de tout, comme quoi rien ne peut vraiment atteindre le type, parce que de toute façon, quoi que soit la question, il s'en fout. C'est la "cool attitude". À ce stade-là les gars, il est temps d'en revenir, les belles années du secondaire sont terminés, va falloir penser à entrer dans la cour des grands. Enfin bref, j'extrapole...
...
Ça n'a aucun lien, mais j'ai l'étrange sensation d'être croche. Dans le sens littéral du terme, c'est à dire que mon horizon de vision n'est pas parallèle au plancher (en présupposant que le planche est à niveau). Je vais aller laver tout ça, ça passera.
jeudi 1 février 2007
Un peu d'amour en ce jeudi soir

J'aime beaucoup l'image, beaucoup. Et donc comme promis, pour rester dans le ton, voici un extrait qui est particulièrement bon dans le recueil de poésie de Jacques Brault que je dois lire pour mon cours du lundi PM. Ça vient du poème «De nulle part» :
[...]
Reviens je t'attends je te guette à l'orée de la démence
Au premier bruit à la première lueur
Je crierai je le sais poussant un corps d'engoulevent
vers toi dans mon cri
Je t'aime oui oui ce sont les mots toujours les mêmes mots ceux du petit matin mouillé d'ennui ceux de la chair qui dodeline et s'enfante au sursis
Les mots de la petite mort dans l'hébétude les mots où l'on couche où l'on dort et ceux qui restent quand tous les autres sont partis
Ceux par qui j'espère encore et toujours ceux par qui je me lève et je marche à la porte où cogne la clarté
[...]
Ah le jeudi soir hein!
Non mais simplement, c'est que depuis quelques jours, j'ai cette image, cette envie latente... vous savez, lorsqu'on veut tellement rien manqué de la jouissance de l'autre qu'on se fouette pour garder les yeux ouvert le plus longtemps possible. Je sais pas, c'est spécial. Et ce que j'ai vu alors me trotte dans la tête. Le mouvement de tête, l'expression, tout ça. C'est précieux et rare comme image, peut-être que je devrais l'économiser. J'ai peur d'oublier les détails à force de me souvenir, parce que le souvenir et l'imagination sont trop près l'un de l'autre pour que l'un ne parasite pas l'autre un peu... beaucoup... voire trop.
dimanche 21 janvier 2007
Nouvelle emballage
Pas tant que ça, juste changer mon profil blogger alors voilà, vous pouvez jetter un coup d'oeil, je vous en donne la permission. Parce que quand même, j'aime bien donner des permissions...
samedi 13 janvier 2007
Ménage
Ne fait que passé pour dire que je viens de changer un peu ma liste de blogs favoris. J'essaie de faire une cure de La ville s'endormait, parce que ça me tente. Je sais pas, j'avais besoin de me débarasser de cette habitude au fond de moi je crois. Histoire d'être à côté de la vague peut-être, qui sait... Éventuellement, j'en aurais peut-être d'autre à rajouter, on verra bien.
jeudi 21 décembre 2006
Vous croyez...?
Même moi, mes 4 ans de blogisation me térrifient. En fait, faudrait je repasse à travers tout ça pour classifier mes trucs dans des catégories gna gna gna : No fucking way!
Je ferrai ça à temps perdu. Comme maintenant, pendant que j'ai un travail de 10 à 15 pages qui m'attend sur ma barre d'état en me faisant des grands signes pour attirer mon attention qui se ballade ailleurs, comme sur des sites dédiés à Ludwig (tsé là... yé connu... son nom de famille, c'est Van Beethoven) ou à Camille (lui aussi connu, mais un peu moins... son nom de famille, c'est St-Saëns).
Je ferrai ça à temps perdu. Comme maintenant, pendant que j'ai un travail de 10 à 15 pages qui m'attend sur ma barre d'état en me faisant des grands signes pour attirer mon attention qui se ballade ailleurs, comme sur des sites dédiés à Ludwig (tsé là... yé connu... son nom de famille, c'est Van Beethoven) ou à Camille (lui aussi connu, mais un peu moins... son nom de famille, c'est St-Saëns).
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