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mardi 22 janvier 2008

Quelques petits trucs sur le pouce

  • Ma mère m'a ramener une boîte de choses qui m'appartiennent (principalement des livres) et, dans cette boîte, il y avait mon journal de bord pour mon projet d'intégration de fin de DEC. Que de beaux souvenirs, vraiment. Dieu que je m'ennuie de ce temps révolu. Même si on me dit que j'ai encore de nombreuses années devant moi, je crois sincèrement que mes deux années à Maisonneuve constituent l'âge d'or de ma vie. L'influence qu'ont encore les événements, les rencontres et l'éducation que j'ai eu là est probablement ce que je chéris le plus présentement, ce qui m'aide à tempéré mes désagréments actuels.
  • J'aime bien How I Met Your Mother, que je viens presque tout juste de découvrir (je crois que c'était un peu après les fêtes). Ça vaut la peine de s'y attarder.
  • Mon clavier semble avoir quelques petits problèmes que je devrais essayer de règler avant la mi-session pour ne pas avoir l'envie de l'envoyer se fracasser contre un de mes murs. Il doit être trop plein de miette de je ne sais quoi à l'intérieur : mes touches ne répondent pas toujours du premier coup et donc ça nécessite de ma part autant une attention accru qu'une utilisation abusive du Backspace pour venir corriger les «fautes» de frappe.
  • Parlant de fracasser, mon voisin d'en bas, c'est gravement un cas d'imbécilité crasse et de non respect et de vacarme excessif et de «l'année prochaine, il n'est pas question qu'il soit encore là». Bref, après mon premier message sur la boîte vocale de mon proprio à cet effet, je persisterais jusqu'à ce que je puisse parler de vive voix à quelqu'un de concerner (financièrement) par cet épineux problème. Ou alors, pour faire plus formelle et solennel, j'écrirais une belle lettre toute propre et l'enverrait à son entreprise pour leur signifier l'important lot de marde dans laquelle il pataugera s'il ne prend pas garde.

Double impasse

Je rêvais hier soir à mes deux plus grandes obsessions actuelles, soit deux représentants de la gent masculine. Dans l'ensemble, ce fût assez désagréable, quoique il me semble que ça se terminait sur un note plutôt positive. En fait, l'un d'entre eux se retrouvait finalement à ma merci, mais, avec le recul, rien de nouveau sous le soleil pour cette histoire qui, si vraiment ça arrivait, risquerait de n'être que l'éternelle continuation de ce qui s'est déja produit auparavant, soit rien de bien concret. Mon inconscient résiste encore très mal par contre à son charme parce que je ne m'opposais même pas un peu à ce retour dans la même gamique inchangée, comme quoi j'aime bien être masochiste dans le fond. Pourtant je me suis bien promis d'imposer des restrictions claires dans le futur... Même si j'ai de la difficulté à me croire moi-même là-dessus.

De l'autre côté, ce n'était que la confirmation du doute qui s'installe réellement en moi. Déjà que c'est un peu une situation impossible aussi, je me faisais shifter par une autre qui pourtant, à mes yeux, n'est pas digne de grand intérêt. D'où une plus grande déception encore. Et j'ai l'image récurrente dans mon esprit du french passionné qu'ils se donnent, c'est limite vomitif. Pouah pouah. Ça m'apprendra à rester dans mon lit trop longtemps le matin...

Février

Ah non, pas le mois de février qui approche à grands pas... Sérieusement, pourquoi ne pourrait-on pas le sauter celui-là. D'abord, il fait froid, ce qui est déjà une bonne raison en soi. Et puis il fait noir, c'est plate, on s'ennuie, les couples font chier le reste de la planète avec leur St-Valentin, bref, rien de bon en resort de ce mois-là. Oui bon, c'est la fête de certaines personnes dans mon entourage en effet, mais c'est pas suffisant pour me réconcilier avec cette maudite période excessivement drabe de l'année. Au moins, je crois que je vais avoir un petit coussin d'argent pour m'aider à traverser tout ça avec la satisfaction éphémère de pouvoir exercer mon pouvoir d'achat sur des trucs dont je n'ai pas absolument besoin.

Enfin bref, aujourd'hui il neige, je comptais justement sortir pour aller boutiquer un peu, mais voilà, je suis lâche et paresseuse donc je vais plutôt rester dans mon lit à bouquiner. Et puis, j'ai décidé que je recommençais, de nouveau, à m'entraîner à la maison. La question est de savoir pendant combien de temps cette bonne résolution va tenir. Faudrait bien que je m'inscrive dans un gy un jour... Quoique, avec mon flegme légendaire (ouais, pas tant en fait), ça risque pas de me mener en quelque part de très concluant vu que juste l'idée d'avoir à me déplacer à cet effet risque de sucer toute ma motivation. Mais bon, je vais y penser.

dimanche 16 décembre 2007

Tas de choses disparates #1

Petage de coche monumental après la job hier soir. Les gros blues, mais immense, titanesque même. Mon remplacement à la cuisine m'épuise vraiment beaucoup physiquement et, du même coup, moralement. Alors bon, déjà je rentre à la maison, mal partout, je devrais me botter le cul pour me mouvoir, faire quelque chose de ma peau, mais juste ça m'apparaît quasi-impossible. Je soupe tout de même devant Grey's Anatomy, et donc évidemment, même si je feelais juste assez correctement pour être un peu à terre sans plus, ça m'a jeter à terre. Et donc c'est le déluge et le drame, les deux à la fois, rien de moins. Et j'en viens à penser à cette histoire qui me fait toujours aussi chier à présent que lorsqu'elle a eu lieu. Et même, ça prend des ampleurs démesurées comparé à tout le reste. J'étais sur le point de faillir et d'envoyer un mot, mais je me suis resaisie. Je sais pas encore si c'est une bonne chose, mais j'ai pas envie de l'écrire mon mot aujourd'hui alors bon, j'vais simplement me taire encore jusqu'à la prochaine tempête intérieure. La seule chose que je retire de mon épuisement d'hier et de ses conséquences, c'est que je dois régler des trucs avec ma boss parce que ça pas d'allure. Et puis qu'il me manque beaucoup mine de rien. Ses petites manies, son rire, sa voix... tout ça me redonnait immanquablement le sourire.

Sur une note plus gaie, voici la vidéo de candidature de ma mère pour le Banquier :

Oui en effet, c'est un peu contre mes valeurs télévisuelles, mais je le fais pour ma mère voilà! Si vous voulez être très gentil, allez le regarder sur le site suivant, vous inscrire (ne serait-ce que pour mieux vous désinscrire par la suite), votez et laissez un commentaire.

Dans un autre ordre d'idée, je découvre le CD d'Alfa Rococo aujourd'hui, et je le conseille fortement. C'est très très bon. Je ne pourrais pas plus élaborer ma pensée dans le moment parce que ça serait de la procrastination et mon cerveau est plutôt sur le mode analyse de texte alors c'est pas facile de faire marche arrière instantanément et ensuite de revenir sur le dit mode pour continuer mon travail, j'aime mieux pas briser mon cerveau avec un processus aussi risqué quand ça commence à bien aller mes affaires.

Parlant d'analyse et donc de fin de session, j'suis en train de me demander si je peinture mes murs pendant mes deux semaines de congé (c'est relatif puisque je travaille 8 jours assurés sur 14, peut-être même 10 qui sait) des fêtes. Déjà qu'une de ses journées sera consacré à être à Ste-Agathe pour réveilloner avec ma famille maternelle que je n'ai pas vu réunie depuis mauditement longtemps. Encore faudrait-il que je me trouve une crèche possible pas trop loin (tiens tiens, ça sert à ça un divan-lit chez un ancien coloc dans le fond) pour ne pas briser toutes mes cellules avec les vapeurs chimiques. Ou alors je m'achète un masque, ça peut peut-être être plus simple. En tout cas, c'est un pensez-y bien...

Et donc sur ce toureli, tourela, toureli-rela, tourelou.

samedi 17 novembre 2007

Pu jamais

Crime non! C'est n'importe quoi. On me punit parce que j'ai aidé quelqu'un. En fait, c'est pas tout à fait ça, par "on" je veux dire "l'absolu" ou "l'univers". Mais c'est clair que dorénavant, cette personne, je la laisse se démerder seule. J'en ai marre d'être la béquille et d'en baver pas longtemps après.

Je sais pas si elle se rend compte à quel point ça fait mal. Peut-être pas, mais il faudrait bien qu'elle l'apprenne. C'est bien beau de rechercher à flatter son égo, mais à force, on finit par perdre les gens autour de soi. Tant de vanité dans un être si innocent, c'est presque dommage.

Dans l'ensemble, tout ça me donne aussi envie de m'eclipser tranquillement de sa vie, pour le mieux.

vendredi 9 novembre 2007

Journaux, CAA et autres solicitations de marde

Maintenant que l'UQAM est en grève (du moins, ma faculté oui), je suis plus souvent à la maison. Et je songe sérieusement à me procurer un répondeur. Parce que franchement, avoir le loisir de ne pas répondre aux appels du Journal de Montréal, d'un quelconque service inutile qui veut parler à mon ancien coloc, du CAA (je n'ai même pas d'auto!) ou d'un mauvais numéro, ça me manque vraiment. Et puis, évidemment, ils appellent toujours au moment même où j'suis occupée avec la télé ou les deux mains dans le lavabo en train de faire la vaiselle. Je commence à devenir de plus en plus méchante d'ailleurs. Le bon vieux screening process, ahhhh un jour un jour.

Sinon, la construction en face de chez nous, en plus de faire chier le peuple avec leur camion qui hurle en reculant ou un truc d'isolation qui fait le pire vacarme ever, vient sonner à ma porte à 7h30 du mat à cause qu'ya un char qui est stationné dans "leur" stationnement (la rue, qui n'appartient à personne...). D'une part, font chier. Mais en plus, le char en question appartient à l'amant ou au chum de ma voisine, qui me tappe déjà semi sur les nerfs parce qu'yamène toujours ses deux gros chiens qui ont nécessairement besoin d'aller pisser tous les matins à 6h, quand moi je dors, et que leur queue frappe systématiquement dans ma porte sans arrêt.

Beaucoup de plaisir bref. La grève finit quand déjà?

vendredi 26 octobre 2007

Devinette électrique

Qu'est-ce qui est écoeurée, assise à côté d'un téléphone, sur le point de brailler tellement c'est long et qui a déjà perdue 50 belles minutes de son temps en ce vendredi ensoleillé?

Ben oui, c'est moi. Soyez heureux vous qui n'avez aucun problème de facturation avec Hydro-Québec, parce que franchement, rejoindre un représentant, c'est impossible.
Non seulement la petit musique et les conseils judicieux de la madame quand on est en attente, c'est au moins un bon 15 à 20 minutes de niaisage à répétition, mais après ça, ça sonne pendant un bon 10 minutes ou plus, et hop, de retour en attente. Voulez-vous bien m'expliquer comment ça se fait que ça sonne pis qu'on me répond pas? Avec de belles heures d'ouverture de 8h à 18h (une chance que je suis en congé hein!), tout le monde est en heure de dîner je suppose. Le représentant qui va me pogner, ouuuuuuh que je vais être insupportable....

...

Après une heure d'attente, je me fais dire que c'est hors de leur contrôle, que dans le fond c'est probablement de ma faute, ou alors des anciens locataires (parce que sont rarement assez brillants pour réaliser que de une à deux personnes, ya une différence de consomation électrique) alors ben moi, le mode de versement égaux, fuck off hein. J'vais m'organisé pour que ça me coûte pas plus cher qu'auparavant voilà tout. Et je crois que j'aurais pas trop de problème avec ça.

jeudi 25 octobre 2007

PostSecret #6

Cette semaine, sur PostSecret :
Je sais que mine de rien, comme c'est tous les dimanches, ça fait un bout que ça traîne sur la page, mais bon, je n'y avais pas plus porté attention que ça. Malgré tout, ça me fait penser à cette événement de l'été dernier qui me hante de temps en temps quand je suis au travail. C'est fou quand même ce que les hormones nous font faire. Mais bon, je tiens bon la grève jusqu'à ce que quelqu'un quelque part me prouve hors de tout doute que je peux recommencer à avoir un peu d'espoir ou de foi. Je me comprend.

vendredi 12 octobre 2007

Varia #2

  • Avec le recul, je ne fais pas beaucoup de varia...
  • Vidéotron et son service cablé me font chier.
  • La réglematation sur le contrôle des ondes télé par rapport au nombre de chaînes étrangères contre le nombre de chaînes canadiennes me fait chier (je paie! il me semble avoir le droit d'accèder aux chaînes que je veux, ça ne veut pas dire que je vais regarder plus souvent les chaînes étrangères que les chaînes canadiennes... pis même à ça, c'est ma télé merde!)
  • J'ai envie de pirater le cable...
  • King's Quest 9 s'en vient un jour. Mais, c'est pas une version officielle.
  • J'ai finalement réussi à faire fonctionner King's Quest 7 sur Windows XP.
  • King's Quest 1, 2 et 3 ont été refait, le 4e est en cours de «re-production» (quel jeux de mot!)
  • I'm such a geek.

lundi 17 septembre 2007

De la médiocrité de l'intervieweur de TLMEP

J'ai parlé de Nelly Arcan auparavant à propos de son entrevue avec Christiane Charette. Elle est passé à Tout le monde en parle hier. Et franchement, l'émission d'hier m'a profondément fachée et déçue. Je ne crois pas tellement réécouter TLMEP avant que Jean Leloup y retourne. Parce que sérieusement, ça commence à être le culte du n'importe quoi. Ça avait déjà commencer l'année dernière à mon sens, mais bon, c'était moins flagrant qu'hier soir. Je ne sais pas si je dois blâmer les recherchistes ou l'animateur-producteur-concepteur ou les deux, mais l'entrevue était mal construite et mal documenté. Pour interviewer Nelly Arcan, il faut avoir une certaine connaissance de la littérature afin de bien amener le sujet au spectateur, de permettre à l'une des jeunes auteures les plus prometteuse du Québec d'expliquer sa démarche. Dès que c'était amorcer, il y avait Matte ou Turcotte ou même Lepage qui passait un commentaire obtus, presque niais, qui venait désamorcer le semblant de propos intelligent. L'émission d'hier soir, avec l'invité qui a suivi, soit le pianiste Tisseyre, semblait flotter dans la superficialité à l'os. Et c'était fortement désagréable. Je n'ai pas l'impression d'avoir appris, d'avoir compris quelque chose... Je n'ai pas non plus l'impression de vraiment avoir envie d'en parler le lendemain avec qui que ce soit parce que je trouve que c'était n'importe quoi. La seule chose que j'ai envie de dire est que c'était n'importe quoi. Je ne vois pas tellement en quoi ça rentre dans la mission de TLMEP de donner l'impression à son auditoire qu'il le prend pour un groupe d'imbécile. À mon sens, c'est le genre de position qui cultive l'imbécilité des masses, et je ne peux pas cautionner ça.

Pendant l'entrevue du pianiste, j'ai préféré écouter un vieil épisode de Friends au lieu de continuer à être déçu par un produit qui avait un semblant de qualité auparavant selon moi.

mercredi 12 septembre 2007

Grand drame #1

C'est en écoutant une pub de l'émission Carte blanche (je crois) sur Artv que j'ai réalisé à quel point c'est un drame complet et atroce que Maxime Denommé soit en couple et qu'il ait en plus des (ou un, je sais plus) enfants. Et le reste de la gent féminine elle, hen?!

lundi 10 septembre 2007

Montréal et les guêpes

Merci à mes voisins et à leur installation de fleurs mal odorante, je crois que c'est en partie pour cela que je me retrouver (et j'en suis presque à 99% certaine) avec un nid de guêpe à l'intérieur même de mon air climatisé. Là, je fais quoi?
Pas que ça cause problème là maintenant tout de suite. Mais un bon moment donné, faut je l'enlève de ma fenêtre. J'ai pas trop l'intention de me faire pourchasser par le nid en entier à ce moment là. D'ailleurs, l'été prochain, ne vont-elle pas se réessayer? Et à ce moment là, je fais quoi encore?

Des fois, je regrette les moustiques de la banlieue. Oui ça pique les moustiques, mais je préfère de loin une de leur piqûre à celle des guêpes qui brûle pendant cent ans. Et les moustiques ne font pas de nid dans des endroits caves comme un air climatisé ou un toit ou un dessous de galerie.

Mettons que je les enfume, y se passe quoi avec mon air clim? C'est pas un peu nocif pour moi ça? Maudite fleur, maudites poubelles sur le trottoir, maudit bacs à recyclage sans courvercle, je vous conchie toutes, guêpes de malheur!

lundi 3 septembre 2007

Paradoxe #1

En fait, je ne sais pas jusqu'à quel point je vais vraiment faire une série de brefs écrits sur mes paradoxes, parce que c'est pas toujours si évident de mettre le doigt dessus, ni nécessairement si intéressant parce qu'ya de ces paradoxes tout à fait banals qui ne valent pas la peine d'y poser le doigt.

Mais bon, pour en venir au fait, j'observe que, dernièrement, j'ai de ses envies de luxure physique (comme c'est bien dit!), presque incontrôlable parfois (remarquez, non pas tant, mais mettons semi presque, ça serait plus ça oui). Par ailleurs, et c'est peut-être dû à mon contact avec ce couple d'ami que j'ai, ya ce genre de sentiment de solitude prenante (ce qui n'est pas encore si paradoxal toutefois), de nostalgie affective et, bien que j'ai beaucoup de difficulté à décrire tout cela comme il se devrait, une sorte de besoin viscéral d'une franche complicité.
Oui bon, à la limite, on s'entend, la luxure ne va pas nécessairement sans l'autre truc. Mais c'est que les deux besoins/envies/peu importe ne se vivent tellement pas de la même façon. Le premier est beaucoup plus intense sensoriellement d'abord et amène un type d'insouciance assumée et de frivolité provocante. Pour ce qui est de l'autre volet, c'est plutôt le contraire, bien que l'intensité est aussi présente. C'est un peu plus cérébral déjà. Il y reste une certaine frivolité, mais elle se situe plutôt dans la possible douceur de l'état d'esprit que ça peut générer.

Quoique, je dois avouer, dans l'ensemble, ça me rend amer autant l'un que l'autre. Les deux pôles restent dans une insatisfaction constante depuis au moins un bon mois pour l'un et un méchant méchant bout pour l'autre. Alors, j'écoute Damien Rice se plaindre à ma place.

samedi 25 août 2007

Les DVD et la langue française

Je sais pas vous, mais moi, ça me fait un peu suer parfois de voir un de mes films préférés ou un films qui a marqué mon enfance en DVD mais ne contenant pas la bande son en français bien qu'elle existe. Personellement, j'ai décidé d'écrire aux compagnies de production de ces films afin de me plaindre. Voir le coffret anniversaire de Labyrinth qui ne contient toujours pas la bande son française me tue vraiment. Pas que j'ai quelque chose contre la version originale, un film américain en DVD qui ne contient que des traductions me fend le cul tout autant. Mais j'aime mieux avoir le choix. Sans compter que pour certains films, j'ai grandi avec la traduction, même si elle n'était pas particulière bonne, je l'a connais par coeur et ya certains moments qui me manquent. Je ne dis pas de passer une loi à cet effet comme le propose Dumont (parce que je ne peux pas être d'accord avec lui point final), mais je ne comprend pas qu'une compagnie qui produit des films ne daigne pas inclure le français dans ses DVD de zone 1. Sinon, on devrait pouvoir avoir accès à des lecteurs qui ne sont pas zonés (légalement je veux dire) ou alors, il devrait vendre de DVD incluant le maximum de traduction un peu plus cher. Moi, en tout cas, je serais prête à payer plus cher dans certains cas.

Ce qui est le plus drôle dans tout ça, c'est qu'après, les grosses compagnies de cinéma américaines viennent pleurer à cause du piratage...

mardi 21 août 2007

Mon voisin d'en bas

Vous savez, quand on se promène à Montréal le soir, genre dans les 9h ou 10h, et qu'ya ces gens en train de déménagé en plein milieu du mois, on se dit souvent : « Tiens, ils ont 3 ou 4 loyers en retard et ils déguerpissent avant que ça se complique... » On oublie souvent, et même si le jugement n'est probablement pas toujours exact, d'avoir une petite pensée pour les voisins de l'appartement où ces gens vont aller emménager un peu plus tard dans les maritimes. Faudrait pourtant! Parce que à 2h du mat, quand tout le bloc tremble parce que les meubles se cognent dans la porte d'entrée, qu'ils sont posés avec une délicatesse rappelant un cul de big mama dans le transport en commun ou que le nouveau locataire ou sous-locataire décide qu'il est temps de clouer ce truc qu'il faut absoluement clouer maintenant et pas demain, la première chose qu'un voisin a envie de faire, c'est de descendre avec un panier de fruit et un sourire de maniaque.

mardi 7 août 2007

Première impression

C'est fou ce que je me rend compte dernièrement comment on me prend tout de travers. Je dis cela dans le sens premier, pas sous un sens qui voudrait potentiellement dire que les hommes que je connais sont ont peu de talent.
Je souffre (le mot est peut-être fort) de mon appartenance au sexe féminin peut-être bien. On calque facilement les réactions des hystériques, dépendantes, jalouses ou je ne sais quel type de femme désagréable sur ma personne quand c'est pourtant tout le contraire. C'est facile à dire, je l'avoue, mais souvent il suffit de juste aller vérifier son jugement premier un tantinet pour comprendre qu'on se trompe complètement.
Ça me tue d'avoir à me prouver à vide, parce que on est tous un peu borner dans ce qu'on croit à propos des autres (moi aussi à certains moments, mais je travaille là-dessus). C'est pas si dur de s'avouer à soi-même qu'on a pu avoir tort, ya que soi comme témoin, ya pas de gêne ou de honte à avoir. Encore faut-il le vouloir.
J'ai l'impression que je vais un peu dans tous les sens avec ce que je dis, mais bon, simplement, je sens qu'on me prend pour ce que je ne suis pas. Maudite catégorisation à marde. Le fait est que, moi-même, j'essaie systématiquement de repousser le seuil de mes tolérances face aux autres et de voir que d'autres se limitent à peine au seuil me déçoit.

C'est plate à dire et je sens que je le suis dernièrement, mais j'commence à être follement désabusée d'un tas de truc et ça me fait peur. J'aimais bien ma petit naïveté et ma confiance envers la bonne foi des gens qui m'entourent. C'était pas seulement confortable mais tellement moins compliqué.

mercredi 1 août 2007

What a crappy summer

Bleh, me semble que ça serait juste tellement plus simple de barricader toutes les sorties possibles de mon appartement, arracher les prises de téléphone, fermer mon cellulaire (d'ailleurs, faudrait sérieusement que je pense à le changer dans les jours à suivre) et ainsi arrêter d'avoir des attentes, aussi basses soient-elles, vis-à-vis les gens qui sont dans mon cercle social. On finit toujours par se faire baiser (pas dans le sens agréable du terme).

Ça serait probablement très très plate, je commencerais à développer des syndromes de tous genres, j'écouterais Passion, Days of Our Lives et All My Childreen en plus d'avoir le teint de peau le plus livide au monde, les cheveux trainant au sol et les ongles trop longs. Mais, au moins, je ne serais jamais déçue (ou presque).

mercredi 25 juillet 2007

Les derniers développements

Avec les infos que j'ai eu en fin de journée, mettons que je ne m'attend à pas grands autres développements en fait. J'ai l'impression qu'il faudrait que je travaille encore comme une folle pour si peu de chose, et, tant qu'à ça, j'arrive pas tellement à voir où j'en retirerais des bénéfices. Pas que j'suis amère, plutôt épuisée.

Enfin, à mon sens, je ne demande pas la lune, et même à peine un grain de poussière de lune. La répétition du genre de situation un peu plate comme celle-ci commence à me peser grave. À force de laisser respirer les autres, on dirait que je me fais systématiquement étouffer.

Des fois je me demande si je devrais pas retrouver la foi et dévouer ma vie à Dieu (c'est vraiment grave...)

dimanche 22 juillet 2007

Pendaison de crémaillère

C'était tranquille mais agréable. Et puis, c'est pas non plus comme si j'ai organisé ce party avec beaucoup de soin. Mon but premier était tout autre alors...
D'ailleurs, à ce propos, si ya bien un désavantage au fait d'être célibataire, c'est d'avoir une nuit en très bonne compagnie puis de regarder son lit vide le soir suivant. Je tourne pas mal en rond sur moi-même en ce moment et c'est chiant.

mardi 26 juin 2007

Dernier mille sur la rue de Rouville

Ça ne s'améliore pas, mais alors pas du tout. C'est agressant, désagréable, irritant, ça pique presque, ça se répend. Je ne parle pas ici d'un quelconque ITS (oui parce que c'est bien infection et non plus maladie), mais plutôt de la colocation. Pas n'importe laquelle évidemment car il existe (bien que très rarement) des histoires de colocation sous le signe du bonheur commun, dans un partage continuel d'amour fraternel et dans un respect sain et serein. Mais bon, ce n'est (oh malheur) tellement pas mon cas.

Me reste plus que 2 petites semaines de rien à endurer l'individualisme du semi enfant roi avec lequel je reste et ça me semble le plus terrible des montagneux obstacles à surmonter. Déjà, hier soir, moi et ma fatigue de la fin de semaine de 3 jours à me traîner à l'hôpital pour entretenir mon bloc (et donc laver une dizaine de chambre de patient), on (moi et ma fatigue, ça fait deux) se couche vers les 18h30~18h45 pour ne plus se réveiller s'il le faut (parce que du coup, ça m'évite d'avoir à faire 2 appels qui me donnaient pas envie de les faire). Le sommeil va de bon train si ce n'est du retour du dit coloc. Pourquoi respecter la personne avec qui on habite quand on peut simplement ne pas le faire? Je me le demande bien. Alors donc, comme les portes de chambre restent ouvertes pour l'été à cause de la chaleur accablante qu'il y fait sinon (exception faite des moments duo-esque où il est mieux d'endurer une température plus élevée pour ne pas indisposer les yeux chastes et purs d'autruis), la règle non dite non écrite serait de faire attention à l'allumage de lumière lorsque l'autre dort. Mais il semblerait que cette règle s'applique qu'à moi parce que ma lumière doit être plus forte ou je sais pas. Alors, le dit coloc fait attention moyennement jusqu'à ce qu'il se rende dans sa chambre, ouvre sa lumière, me réveille du même coup, et quitte le 2e étage pour aller ouvrir la tv afin d'écouter les Simpsons. Son interrupteur doit peser 200 kilos ou je sais pas pour que ce soit un effort si intense de le relever afin d'éteindre (oui parce que il marche à l'envers). Eh ben! vous direz vous avec toute la compassion du monde à mon égard. Merci merci.

Je sais pertinement que ça semble être un événement purement anodin. Dans mon cas, je crois que ça l'ait aussi, malgré l'effet toujours très désagréable de se faire réveiller quand ce n'est pas nécessaire. Le fait est plutôt que j'en ai soupé des événements répétitivement anodins tel celui-ci et que chacun d'entre eux devient un de trop. En attendant de quitter les lieux, je me repasse en boucle une séquence d'un court métrage de mon cru dont le titre s'approche vaguement de ceci :«Punching Elise ou le colocataire en morceaux».