En fait, je ne sais pas jusqu'à quel point je vais vraiment faire une série de brefs écrits sur mes paradoxes, parce que c'est pas toujours si évident de mettre le doigt dessus, ni nécessairement si intéressant parce qu'ya de ces paradoxes tout à fait banals qui ne valent pas la peine d'y poser le doigt.
Mais bon, pour en venir au fait, j'observe que, dernièrement, j'ai de ses envies de luxure physique (comme c'est bien dit!), presque incontrôlable parfois (remarquez, non pas tant, mais mettons semi presque, ça serait plus ça oui). Par ailleurs, et c'est peut-être dû à mon contact avec ce couple d'ami que j'ai, ya ce genre de sentiment de solitude prenante (ce qui n'est pas encore si paradoxal toutefois), de nostalgie affective et, bien que j'ai beaucoup de difficulté à décrire tout cela comme il se devrait, une sorte de besoin viscéral d'une franche complicité.
Oui bon, à la limite, on s'entend, la luxure ne va pas nécessairement sans l'autre truc. Mais c'est que les deux besoins/envies/peu importe ne se vivent tellement pas de la même façon. Le premier est beaucoup plus intense sensoriellement d'abord et amène un type d'insouciance assumée et de frivolité provocante. Pour ce qui est de l'autre volet, c'est plutôt le contraire, bien que l'intensité est aussi présente. C'est un peu plus cérébral déjà. Il y reste une certaine frivolité, mais elle se situe plutôt dans la possible douceur de l'état d'esprit que ça peut générer.
Quoique, je dois avouer, dans l'ensemble, ça me rend amer autant l'un que l'autre. Les deux pôles restent dans une insatisfaction constante depuis au moins un bon mois pour l'un et un méchant méchant bout pour l'autre. Alors, j'écoute Damien Rice se plaindre à ma place.
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3 commentaires:
"L'envie de luxure", c'est pas juste l'été qui fait ça a tout le monde ?
ahaha c'est possible, mais j'en doute.
je trouve que mettre la faute sur la lune, les saisons ou la température, c'est trop facile.
on a tous nos épisodes malgré tout. par exemple, je ne crois pas avoir été dans cet état tout l'été.
J'adore les paradoxes
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