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mardi 22 janvier 2008

Février

Ah non, pas le mois de février qui approche à grands pas... Sérieusement, pourquoi ne pourrait-on pas le sauter celui-là. D'abord, il fait froid, ce qui est déjà une bonne raison en soi. Et puis il fait noir, c'est plate, on s'ennuie, les couples font chier le reste de la planète avec leur St-Valentin, bref, rien de bon en resort de ce mois-là. Oui bon, c'est la fête de certaines personnes dans mon entourage en effet, mais c'est pas suffisant pour me réconcilier avec cette maudite période excessivement drabe de l'année. Au moins, je crois que je vais avoir un petit coussin d'argent pour m'aider à traverser tout ça avec la satisfaction éphémère de pouvoir exercer mon pouvoir d'achat sur des trucs dont je n'ai pas absolument besoin.

Enfin bref, aujourd'hui il neige, je comptais justement sortir pour aller boutiquer un peu, mais voilà, je suis lâche et paresseuse donc je vais plutôt rester dans mon lit à bouquiner. Et puis, j'ai décidé que je recommençais, de nouveau, à m'entraîner à la maison. La question est de savoir pendant combien de temps cette bonne résolution va tenir. Faudrait bien que je m'inscrive dans un gy un jour... Quoique, avec mon flegme légendaire (ouais, pas tant en fait), ça risque pas de me mener en quelque part de très concluant vu que juste l'idée d'avoir à me déplacer à cet effet risque de sucer toute ma motivation. Mais bon, je vais y penser.

mardi 8 janvier 2008

La rentrée

Oui, lundi est belle et bien terminé. J'ai tout de même passer une belle journée, même si j'ai couru en grande partie au début parce que je savais pas quoi me mettre sur la peau, avec la température, l'effet psychologique de la rentrée, mon cours en soirée bla bla bla. Mais bon, dans l'ensemble, c'est bien, même trop, et donc mon dilemme de choix de cours est d'autant plus difficile à résoudre, mais je me fais confiance, il y aura une solution.

Le retour à la maison a sans doute été le plus le fun de la journée, parce que le retour à la maison d'une part, et de l'autre le retour de la ribambelle de Tout sur moi, et de mes deux animateurs de late night show préférés. C'est qu'on s'attache vite vous voyez. J'avoue que ma joie est un peu plus grande en ce qui concerne Tout sur moi et elle le sera encore plus lorsque la première saison sortira en DVD pour revoir ces nombreux moments succulants, tout ça. En plus du fait que je vais pouvoir en faire la publicité dans mon entourage qui ne connait pas la série, vu mes qualités de modeste vidéothèque.

Enfin bref, confirmation de la dite date aussi. J'ai appellé une amie à la rescousse de mes angoisses de dernières minutes pour ce qui est principalement de l'accoutrement, même si c'est rarement ce qui fait ou non d'une date quelque chose de réussi (du moment qu'on ne porte pas un sac à poubelle, littéralement... et encore). Donc, vraiment, 2008 semble bien se présenter pour l'instant.

Il ne manquerait plus que je n'aie même pas besoin de faire une demande d'aide financière au gouvernement, et là, vraiment, ça serait over the top (voire même que je commence à me faire un petit fond pour rembourser ma marge de crédit par exemple).

Oh well, on verra bien. Il faudrait également que je songe à poser un acte quant à mon problème amicale qui traîne depuis la session dernière. Bleh... Quand il faut ce qu'il faut...

dimanche 6 janvier 2008

What a start

C'est la première fin de semaine de l'année, non? Réponse : Oui (je fais un shérif de Nottingham de moi-même) (je me comprend). Alors donc, en cette fin de semaine, j'ai pseudo réglé une histoire qui traînait (on s'entend que ça s'est pas tant réglé comme je le souhaitais, mais je fais la paix avec ça de mieux en mieux à présent, et puis ce que j'ai appris m'a presque complètement enlever la haine que j'avais contre la personne en question, et donc je prend tout ça avec un grain de sel à présent) ET j'ai possiblement une date bientôt, dans les jours à venir. Sans compter que bon, mes cours pour la session qui commence demain (oh my je suis tellement pas prête à recommencer) ont tous l'air follement intéressant, les profs également. Mes notes de la session dernière sont, à date, fort satisfaisante.

Bref, l'année commence en beauté, même si j'ai passé une journée plutôt moyenne pendant plusieurs heures consécutives. Oh well, je me permet d'être optimiste. Moi qui croyait que 2008 allait juste être aussi pourrie que les deux dernières années, eh bien je dis :«Rock On 2008!»

mercredi 28 novembre 2007

«Donnez de l'image à bouffer pré-mâchée et pré-digérée»

Particulier comme le bonheur des personnages de mes fictions favorites me pue au nez ce soir. Voire que vraiment, ya des amitiés aussi franches, des amours aussi sincères et désintéressés, des drames aussi définis qui, de toute façon, se règlent autour d'une patisserie ou d'un tout autre symbole chaleureux.
Enfin, j'essaie de me dire que non, parce qu'autrement mon teint verdâtre ferait palîr d'envie les plus grandes jalouses de ce monde.

jeudi 22 novembre 2007

Hourra!

Je sais pas vous, mais moi, la première neige, puis le premier lit de neige qui reste assez longtemps pour que je le vois, ahhhh... Je sais pas, ça fait du bien. Autant la neige peut paraître l'annonce d'une saison de froid, de marde à pelleter, de slush qui mouille les bottes, puis les bas, puis les pieds, autant pour moi, c'est comme un nouveau départ, ou je sais pas. Une pluie d'espoir ou un truc comme ça. Enfin bref, moi ça me fait du bien voilà! Et présentement, c'est exactement de ça dont j'ai besoin. Alors yé la neige, une belle main d'applaudissement pour elle!

P.S.: Et puis, c'est le retour d'October Road sur ABC!
P.P.S.: Et puis, le Bachelor de cette année est toujours célibataire! USA here I come ahah.

samedi 17 novembre 2007

Pu jamais

Crime non! C'est n'importe quoi. On me punit parce que j'ai aidé quelqu'un. En fait, c'est pas tout à fait ça, par "on" je veux dire "l'absolu" ou "l'univers". Mais c'est clair que dorénavant, cette personne, je la laisse se démerder seule. J'en ai marre d'être la béquille et d'en baver pas longtemps après.

Je sais pas si elle se rend compte à quel point ça fait mal. Peut-être pas, mais il faudrait bien qu'elle l'apprenne. C'est bien beau de rechercher à flatter son égo, mais à force, on finit par perdre les gens autour de soi. Tant de vanité dans un être si innocent, c'est presque dommage.

Dans l'ensemble, tout ça me donne aussi envie de m'eclipser tranquillement de sa vie, pour le mieux.

vendredi 2 novembre 2007

Réflexion post-post

En fait, plus j'y pense, plus je me dis que de toute façon, je n'aurais jamais le temps de m'occuper d'un homme. Ou alors faudrait que je lache l'université. Parce que bon, pensons-y bien, il est clair que ça occuperait une partie de mon temps, partie que je réserve probablement déjà beaucoup à la tv. Admettons qu'il faudrait que je coupe sur ce temps-là, et bien je ne le ferais pas. Alors, nécessairement, je n'aurais plus le temps de faire mes lectures. Et comme le besoin de les faire se fait rarement sentir avant la dernière minute (moment où il est déjà trop tard pour les complèter de toute façon), et bien je deviendrais une élève médiocre à l'os, ce qui ne me satisferait visiblement pas (même si j'essaie de me faire croire le contraire, je suis bien trop compétitive pour me contenter de peu face à moi-même).

Donc voilà, j'ai résolu mon probème de "frenchage" et tout le reste rationnellement et avec logique. Il n'y a plus de problème! (ou presque, on s'entend, c'est bien beau la logique, mais ça ne fait que très rarement taire les instincts pulsionnelles... Pauvre de moi!)

Lendemain de fête tranquille

C'est en revenant (ou au moment même, je me souviens plus bien) de manger des ailes de poulet au St-Hubert (qui sont follement bonnes d'ailleurs) hier soir que je me suis rendue compte à quel point ça me manque un homme. Ma grève tient bon, je suis dans la passe la moins facile en fait, c'est probablement à cause de ça (et de l'alcool) que mes principes étaient un peu plus mou qu'à l'habitude. Ajoutez à cela le rush de mi-session, c'est clair que ça n'aide en rien.

Mais bon, en gros, je passerais ben une heure entière à frencher...
L'autre truc aussi c'est que la fille avec qui je passe le plus de temps au quotidien est aussi dans un état de manque incroyable vu que son chum est partie en mission pour un tit bout. Alors, évidemment, on fait juste penser à ça chacune de notre bord, ya pas tellement moyen de s'organiser pour s'occuper le cerveau autrement. Damn!

mercredi 31 octobre 2007

Au fait,...

... dans une heure, c'est ma fête à moi en plus d'être celle de tous les saints (maudite gang de voleurs de gloire pareil).


À 22 ans, selon l'une des voyantes de ma mère, je suis sensée me fixer avec quelqu'un. Ça me laisse un an pour réaliser cette prédiction. Bonne chan moi (sentez le manque d'enthousiasme dans ma voix écrite)

vendredi 26 octobre 2007

Improductivité

Note à moi-même : la prochaine fois, commencer par sortir de mon pyjama.
Oui parce que vraiment, j'ai pas été d'une grande productivité aujourd'hui et même si je le voudrais bien, je ne peux pas blâmer Hydro Québec pour plus d'une heure de mon temps alors bon. Déjà que j'écris ici et non pas dans Word pour finir mon travail sur la théorie de l'énonciation. Mais je maîtrise mon sujet à l'os, c'est au moins ça.

J'avoue aussi que le fait de m'être fait livrer dernièrement le coffret de Il était une fois... l'homme n'aide pas trop trop à l'envie de rester planter devant mon ordi à niaiser sur mon traitement de texte peu amusant pour patenter des phrases de calibre universitaire (maudit calibre universitaire... ou alors c'est la pression que je m'impose à moi-même, mais d'une façon ou d'une autre, le résultat reste le même : c'est long).

Remarquez, je crois que j'ai une idée possiblement semi-géniale. Alors voilà, je pose un DVD dans mon (un jour, il faudrait donner un nom que nous pourrons tous mémoriser afin de qualifier «l'emboîture» où l'on dépose les DVD, CD ou CD-Rom... parce que vraiment, j'ai beau chercher, je trouve pas... en anglais, il dise "tray", mais la traduction Google me sort «Bac» ce qui ne fonctionne pas tellement), je minimise le lecteur en coin, je vais jouer dans les options pour qu'il reste en premier plan et je compose mon travail en second plan. Quand même! Évidemment, le succès de cette entreprise est très incertain vu que déjà, la musique m'insupporte lorsque je tente d'être intelligente sur papier... Qui vivra verra!

jeudi 18 octobre 2007

Gossip Girl

Au risque de paraître complètement (choisir un nom ou un adjectif qui exprime un état de besoin affectif qui frolle la névrose, de folie typiquement féminine ou de désespoir émotionel qui font tous très peur parce qu'on devrait pas avoir le droit de se sentir comme ça de temps en temps, noooon voyons, faut être systématiquement un modèle de bonheur et de joie incessante pour passer pour saine d'esprit aujourd'hui (serais-ce de l'amertume? peut-être qui sait, faut simplement savoir poser les bonnes questions pour avoir les bonnes réponses, déjà que poser des questions, c'est un bon pas vers un lieu où l'absence du jugement rapide entre personnes qui se «respectent» est roi)), je veux un Dan Humphrey moi aussi.

lundi 8 octobre 2007

Nouvelle résolution

Oui, c'est le début du mois d'octobre, je sais. Mais je crois que c'est pour le meilleur que je décide de danser plus souvent comme une folle dans mon appart sur le son d'une quelconque chanson, le volume dans le tapis. Remarquez, c'est pas mon voisin d'en bas qu'ya des raisons de chialer.

lundi 3 septembre 2007

Paradoxe #1

En fait, je ne sais pas jusqu'à quel point je vais vraiment faire une série de brefs écrits sur mes paradoxes, parce que c'est pas toujours si évident de mettre le doigt dessus, ni nécessairement si intéressant parce qu'ya de ces paradoxes tout à fait banals qui ne valent pas la peine d'y poser le doigt.

Mais bon, pour en venir au fait, j'observe que, dernièrement, j'ai de ses envies de luxure physique (comme c'est bien dit!), presque incontrôlable parfois (remarquez, non pas tant, mais mettons semi presque, ça serait plus ça oui). Par ailleurs, et c'est peut-être dû à mon contact avec ce couple d'ami que j'ai, ya ce genre de sentiment de solitude prenante (ce qui n'est pas encore si paradoxal toutefois), de nostalgie affective et, bien que j'ai beaucoup de difficulté à décrire tout cela comme il se devrait, une sorte de besoin viscéral d'une franche complicité.
Oui bon, à la limite, on s'entend, la luxure ne va pas nécessairement sans l'autre truc. Mais c'est que les deux besoins/envies/peu importe ne se vivent tellement pas de la même façon. Le premier est beaucoup plus intense sensoriellement d'abord et amène un type d'insouciance assumée et de frivolité provocante. Pour ce qui est de l'autre volet, c'est plutôt le contraire, bien que l'intensité est aussi présente. C'est un peu plus cérébral déjà. Il y reste une certaine frivolité, mais elle se situe plutôt dans la possible douceur de l'état d'esprit que ça peut générer.

Quoique, je dois avouer, dans l'ensemble, ça me rend amer autant l'un que l'autre. Les deux pôles restent dans une insatisfaction constante depuis au moins un bon mois pour l'un et un méchant méchant bout pour l'autre. Alors, j'écoute Damien Rice se plaindre à ma place.

lundi 13 août 2007

Les grandes promesses

La grève c'est trop dure. J'suis faible ça l'air. Mais bon oh! je ne passe pas encore à autre chose, j'essaie. Sauf que les tentations sont très présentes et même que je me les crée quasiment toute seule. C'est pas bon.
Je passais d'ailleurs sur un blog (je ne fais pas de lien parce que tout de même oh!) ya pas 2 secondes et puis l'auteur me donne des bouffées de chaleur, c'est pas peu dire (et puis ça rime alors c'est pire).
Sans compter les dernières histoires qui, avec peut-être un peu d'habilité (en plus du fait que la "proie" est un homme, ce qui facilite toujours énormément les choses en général), peuvent potentiellement se reproduire (quel choix de verbe ici!)
J'ai des craintes vis-à-vis moi et ma volonté plutôt ébranlable.

mercredi 1 août 2007

PostSecret #5

Voilà sur quoi je suis tombée ce matin :
... depuis peut-être une ou deux semaine (ou une semaine et demi), j'ai l'impression de ne pas pouvoir penser à autre chose. Étrange quand même de me sentir comme ça à cause d'un type qui, pourtant, n'est pas d'une importance capitale dans ma vie. Peut-être c'est une question de perfectionnisme? Enfin, ma journée d'hier n'a pas aider non plus.

Enfin bref, sur une notre plus positive, c'est mon 1000e billets. Soyez heureux.

jeudi 26 juillet 2007

Ce que vous ne savez pas #1

Je pleure encore pendant La Petit Sirène de Walt Disney

mardi 10 juillet 2007

Pirate Master

Nouvelle série de téléréalité sur CTV et CBS. C'est bien bon. Mais je suis fachée avec la dernière élimination même si bon, le type en question s'exprimait un peu trop comme une personne qui est semi au dessus de ses affaires...

Par contre, c'est quoi l'idée de changer les horaires des émissions sans même prévenir les fidèles auditeurs? SYTYCD la semaine dernier, cette semaine Pirate Master change de case horaire...
La télévision anglophone est parfois plutôt intéressante, mais vraiment frustrante à ce sujet

P.S.: Eh oui, je suis maintenant déménagée et fière, reconnaissante et agréablement appaisée de l'être et de rester avec moi même et Audrey (Hepburn) (oui parce que voyez-vous, je me suis finalement procurée ce fameux cadre-toile que je zyeutais depuis près d'un an chez IKEA et qui fait, à lui seul, le décor de toute une pièce).

P.P.S.: Si vous avez la chance, mesdames et "mesgays", de passer souper au Moe's sur Sherbrooke dans Maisonneuve, portez attention au serveur au cheveux blond avec la ultra belle gueule de la mort qui tue Jésus. J'aime pas les blonds d'habitude, mais oh boy oh boy, lui, c'est quelque chose!

jeudi 5 juillet 2007

Ste-Justine ou les feux de l'amour

Ça sonne un peu dramatique, ça l'est pas tant que ça. C'est semi saopesque comme thème quand même, c'est une histoire de gars encore oui. Non mais là, on se comprend, pas que j'vais travailler juste pour flirter... ya l'argent également (mais non, mais non, j'exagère). C'est juste que ça adonne comme ça. Et puis bon, je me plains pas, c'est toujours plus agréable d'aller travailler quand on sait qu'il faudrait garder son esprit aux aguets afin de jouer le jeu, avoir une répartie intéressante, tout ça. C'est déjà beaucoup plus stimulant que de simplement faire les tâches qui nous sont demandées.
Mais bon, alors oh problème, le type en question a changer d'horaire pour l'été. Il ne coïncide plus du tout avec le mien, à moins d'un peu de chance, et encore. Je sais pas trop comment arriver à m'organiser pour faire avancer les choses tout en restant juste ce qu'il faut subtile pour pas avoir l'air "desperate, needy, pathetic" (ce qui n'est pas le cas, c'est de la simple attirance avec intérêt supplémentaire parce que le type en question n'est pas qu'un simple type gentil ou avec un semblant de conversation, ya aussi une vulgarité agréable (concept trop compliqué à expliquer), des opinions et d'autres trucs qui le rendent somme toute fort intéressant). Parce que, de nos jours, on saute vite aux conclusions. Je le sais, je le fais moi-même.
En attendant, ya cette envie de le tasser dans un mur qui me prend souvent, mais bon, je sais bien me contrôler en général alors ya pas de problème avec ça, quoique...

dimanche 17 juin 2007

Zou!

Je passe en coup de vent avant d'aller rejoindre mon lit (et mes rêves lubriques) (ou alors la confection très peu palpable (ne pas laisser de preuve!) de début de poésie pré-nocturne plutôt boboche) pour attirer votre attention (si c'est encore possible) vers ma nouvelle chanson fétiche qui sort tout droit de la deuxième saison de So You Think You Can Dance. C'est très bon (Hide and Seek d'Imogen Heap, c'est écrit dans la bande à droite), autant la mélodie que les paroles.
Ça me fait beaucoup penser à cette personne qui, à chaque fois qu'elle m'honore d'un de ses passages, me fait me sentir tel un enfant qui est sur le point de finir de déballer le cadeau de Noël qu'il a vu traîner sous le sapin pendant si longtemps que l'attente en devenait peu à peu insoutenable.

C'est quand même spécial de ressentir encore ce genre d'émotion malgré le fait que je n'ai plus 5 ans et que, en prenant en considération que je fais une analogie entre la personne et un cadeau emballé, je l'ai pourtant déballé à plusieurs reprises déjà. Ça ne change rien en fait, puisque chaque fois à cette qualité unique qui me donner des yeux encore vierges et des sensations qui semblent tout à fait nouvelles.

lundi 11 juin 2007

Ne laissons pas filer ma motivation

Je sais que je suis pas très active dernièrement. Mais bon, c'est que je le suis plus dans les autres aspects de ma vie. Et même, je lis plus grands blogs non plus. Je jette des coups d'oeils par-ci par-là pour voir si je ne manque rien. J'ai tout de même pu constater que les Vieux Garçons ont eu de la compagnie devant leur téléviseur cablo-distribué. C'est déjà ça. Comme je comprend d'ailleurs.

Bon, bref, «là n'est pas la question n'est pas là!» Je crois avoir enfin découvert mon point de vue affectif vis-à-vis mon dilemme masculin. En somme, rien de nouveau sous le soleil. Je peux pas envisager de me satisfaire de peu, j'ai pas cette capacité à jouer mon propre rôle dans le quotidien et de travestir mes pensées, mes sentiments ou même mes sensations. Ça me rend froide et invivable, autant dans mon rapport avec l'autre qu'avec moi-même, ce qui est un peu trop à supporter. Donc, ça sent la fin imminente. Parce que bon, j'suis pas plus conne qu'une autre, c'est l'été, ya rien qui presse et puis j'ai de la compagnie à des heures semi-indécentes si j'en ai envie, ce qui ne se refuse pas aussi facilement qu'on le croit. Pendant ce temps toutefois, je me questionne à savoir si un jour, je vais finir par me sortir de cette situation d'impasse caractéristique de mon sélectivisme affectivo-amoureux. Pour l'instant, c'est vraiment pas la fin du monde. Mais ça pourrait commencer à m'inquièter éventuellement. Il est même probable qu'avec la fatigue qui s'imice dans tous les pores de mon quotidien, à cause du travail principalement, j'en vienne à ne plus pouvoir supporter cela non plus d'ici la fin de l'été. Du moins, si la fin de cette été ressemble à la précédente, j'ai de quoi m'inquièter. Mais je crois pouvoir être assez avenante pour envisager de prendre le temps de respirer avant que ça se reproduise. Je respire d'ailleurs énormément depuis le début du mois de mai et m'en porte très bien merci.

Ainsi, je crois avoir un pas pire plan pour tous éventuels problèmes rencontrés et donc parée pour l'été, peu importe la tounure qu'il prendra.