Invoquer la faute d'un autre pour atténuer la sienne quand les deux événements ne sont pas liés par un rapport cause/conséquence (malgré tout, ça reste très enfantin quand on est pas capable de prendre sa part de responsabilité sur ses actes et oublis).
Je donne un exemple :
-Tu as brisé un verre hier.
-Ouais mais untel aussi ya deux jours.
Je donne le fait réel :
-Tu as oublié de barrer la porte hier soir.
-T'as soeur aussi l'autre nuit.
Ayoye. J'ose même pas répondre à un truc aussi cave. Dans le fond, tu te compares en terme de présence d'esprit à quelqu'un qui est en visite.... ça en dit long sur ton implication au quotidien.
VIVEMENT LE MOIS DE JUILLET!!!
samedi 31 mars 2007
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2 commentaires:
par contre, dans un autre sens, p-e que toi aussi t'oublies des trucs que tu te rends pas compte. J'ai des colocs comme ça qui sont bien vite à jeter des pierres, mais qui n'aiment guerre en recevoir...
la différence ici est que aux nombres de reproches pertinents qu'on se fait l'un l'autre... j'en reçois 0.5 par semaine ou moins (et m'arrange pour que ca reste ainsi) et lui 5 ou plus par semaine (et comme je m'arrange pour être irréprochable, y a généralement rien à dire pour contrer mon reproche)
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