Pendant ma 2e pause de la journée qui fut, ma foi, bien charger de clients (heureusement pas trop chiant) (mais oh combien nombreux), j'ai (oui oui, moi) réussie (youpi) à (... c'était juste pour le fun celle-là) retrouver (dans le tas d'image plus ou moins belles qui parsème ma mémoire) le visage du méchant pétard (oui oui, celui-là) dont je parle depuis peu (mais oh combien productivement) (c'est peut-être abstrait dit comme ça - productivement - mais l'essentiel, c'est qu'on se comprenne moi et quelques autres initiés). J'aime bien ma phrase en passant!
Mais alors oui c'est cela, surgit de nowhere land comme ça, je me suis souvenu, pas du visage d'il y a un an mais bien de celui d'il y a euuuh... quelques semaines (bien que peut-être c'est mieux de compter en jour, je sais pas). Puis, ça fait du bien. Juste ça, ça me fait du bien... voila! Ça me prend quand même un minimum d'effort et de concentration pour la ressaisir mais j'y arrive. De toute façon, qu'est-ce que le cerveau ne ferait pas pour avoir un petit instant de bonheur? Faudrait étudier la question mais selon un bon paquet d'études, c'est le plaisir qui mène le monde alors...
N'en reste pas moins que c'est long, mais dans le fond, j'vais survivre. J'suis tellement passé maître dans l'art d'attendre (j'ai pas encore décidé si c'était une bonne chose, l'avenir le dira...) que c'est pas ça qui va m'arrèter selon moi. Puis, pour prendre ça du bon côté, j'vais savourer la fébrilité le plus possible, un peu comme les cadeaux de Noël (je ne crois pas nécessaire d'expliquer plus longuement ma comparaison : d'une part, ça serait d'un ennui, de l'autre, tout le monde a compris de toute façon!)
J'y repense, c'est p-e à cause que mon inconscient, par une volonté inconnue, a fait resurgir mes souvenirs d'un coin reculer (oui bon, pas si reculer) de ma mémoire hier soir. Parce que j'ai la vague impression d'avoir rêvé de lui tout récemment. Hummm, les possibilités sont quasi infini avec ma capacité ultra développé de faire des rêves de mongoles ou de déséquilibrée avancée... Peu importe, le pourquoi de la chose ne m'importe que très peu finalement.
samedi 14 mai 2005
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