Ai fait un rêve de fou hier soir.
J'essaie de l'analyser à la Freud, mais j'suis pas très bonne alors bon, déjà, le reste diurne, j'ai identifié, et ça explique pas pire le contexte, ce qui est bien parce que sinon, je trouve ça inquiètant.
En fait, ça a commencer bien tranquillement, comme quoi je passais le journal à chaque matin en plus d'avoir ma job à l'hôpital la fin de semaine, donc mon coloc passait le journal pour moi le samedi et le dimanche matin. La rue Ontario se confondait avec ma rue à moi, ça donnait un peu comme une ambiance de fête forraine, mais à l'automne... Donc pas tellement une fête forraine, plutôt comme une foire agricole, ou quelque chose comme ça. Yavait des gothics, qui était plus ou moins sympthiques finalement, genre semi-sdf. Un peu étrange en bref. Et puis hop, saut dans le temps, je suis recherchée pour meurtre, bien que je n'ai rien fait. Alors je fakela folie et je me pointe dans un hôpital psychiatrique. Je dis bien psychiatrique, donc avec des pillules, des gardes à gros bras, des injections, et tout le tralala. Et j'étais là avec des amis aussi je crois. Et puis on me fait une première injection, je suis complètement dans les vappes, j'hallucine des visages méchants, je capote ben raide. Je finis éventuellement par dégriser, mais alors le médecin arrive avec une infirmière qui porte un plateau de seringues. Moi je suis assises à terre, près des civières et de mes amis (mais quels amis? je sais plus...) et le médecin veut me faire une injection mais je me cache parce que les effets secondaires sont pas trop agréable. Sauf que sa seringue est un peu comme un pistolet, et donc il la pointe vers moi, et l'aiguille se fiche dans mon doigt. L'injection est donc faite sur mon doigt, et j'ai un black out. Ensuite, je suis couchée dans mon lit, et des gens sont venu me voir. Je sais pu très bien qui, sauf François, qui est déguisé en Pinocchio, mais mulâtre (??). Il me sert dans ses bras, et, j'en profite pour glisser ma main sous son chandail et lui caresser le dos. Pour le reste, c'est pas mal plus confu, j'étais en période de snoozage de mon cadran.
Mais c'est drôle, ça m'a vraiment marqué comme rêve, un peu nostalgique toute la journée, en plus que je suis allée voir La Science des Rêves hier aprèm. C'est drôle, mais malgré l'aspect un peu effrayant de l'hôpital psychiatrique, j'en garde un souvenir agréable. Peut-être simplement que ça m'apparaissait comme un lieu où on a plus besoin de se soucier de quoique ce soit. C'est un peu comme retomber en enfance finalement, et à mon bon souvenir, mon comportement à ce moment du rêve était enfantin... Mmmm en2k, c'est le genre de rêve qui reste vivement impreigné dans notre mémoire, et même dans 2 ans, je suis sûre que je vais pouvoir revoir les images précises du rêve dans ma tête.
Tout ça à cause que j'ai écouté Ghost Whisperer avant d'aller me coucher...
samedi 14 octobre 2006
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
4 commentaires:
Moi ce que je retien, c'est que dans ton rêve, malgré toute les épreuves, tu gardes la présence d'esprit pour glisser ta main sous le chandail de ton ami.....bien joué!!!!! :)
C'est que j'adore trop fabuleusement toucher cette endroit un peu en haut du bas du dos, où on ne sens pas les os de la colonne, mais plutôt le creux de la peau entre les muscles dorsaux. L'effet que ça me fait est assez indescriptible, mais je pourrais faire un lien avec une envolé d'un million d'oiseau au même moment, qui forment un nuage d'ailes, ou alors à une vallée verte où il fait juste assez froid pour que ce soit agréable avec un bon chandail, couché dans l'herbe
Ah bon...
Mais qui est François ? Il vient ici sur ton blogue ?
Et dans la vraie vie... Il te prendrait dans ses bras et toi tu le caresserais ?
Es-tu attirée par François et lui par toi ?
Ou ce n'était qu'un moment de tendresse fansasmé dans un univers chimérique, fantastique, bizarre et étrange sorti de ton imagination fertile ?
Alors tu veux te lancer dans l'écriture d'histoires fantastiques ?
J'ai pitché le nom parce que ça m'apparaissait plus simple que de le cacher. De là à savoir s'il passe encore de temps en temps sur mon blogue, j'en sais rien, et ça m'inquiète pas du tout. Décider d'écrire des trucs dans un "lieu" public, c'est déjà l'exposer au regard de tous ceux qui veulent les lire. Et pour le reste, ce n'est qu'un rêve, bien qu'il m'affecte étrangement depuis quelques jours. Et de toute façon, ça, ça ne regarde que moi.
Publier un commentaire