dimanche 26 février 2006

Mon choix

Je vais essayer de me contrôler et donc faire bref parce que je sais qu'ya un 20% de la population que ça finis par rendre susceptible ou je sais pas quoi. Mais maudit la la! Ça va faire les niaiseries. Protestez, d'accord, pas de trouble avec ça. Mais insultez pas mon intelligence quand même...

Admettons qu'on prosède dans un univers hypothétique genre Hobbes, Rousseux et leurs amis philosophes : la cigarette arrive dans les moeurs en même temps que toutes les études sur les problèmes que ça causerait sur la santé et dans l'intégrité des entreprises de tabacs (pour comprendre, ya quelques films sur le sujet dont le très plate L'Initié). Là, la question moral ou éthique (je préfère le 2e terme) s'impose, que faisons-nous donc avec ça. Mettons on fait des lieux publics fumeurs, d'autres non-fumeurs. J'aimerais bien savoir pendant combien de temps les magasins strictement fumeurs dureraient...

Ok, je sais, comme tout bon philosophe en herbe, je me laisse influencer par la culture actuelle. Mais tsé, dans le concret, avec un 80% de non-fumeur crime... Ok, les bars, vous allez p-e perdre une clientèle de chais pas combien, mais euh, les asthmatiques? les allergiques? c'est les nouveaux consomateurs les amis!

Enfin, si ya ben une affaire que le gouvernement va faire comme du monde...

samedi 25 février 2006

En ce début de semaine de lecture...

Voilà un Mercredix (je sens pu tellement le besoin de justifier la non correspondance des journées, c'est du temps perdu et puis j'ai de compte à rendre à personne bon!) :

Mercredix II

1/ " Plaisir d'offrir, joie de recevoir " : est-ce que ce slogan signifie quelque chose pour vous ? Le mot-indice, pour cette question, est " tirette ".
À part ce que ça dit déjà, pas tellement non. Ça me fait penser à un Noël quand j'étais plus jeune où j'avais fait des cadeaux à tout le monde de la famille (mise en situation, la famille du bord de mon père, sont 6 pis j'ai des cousins/cousines). Ou ben alors, ça me fait penser aussi à une slogan de propagande éventuelle de sexe oral ou de cumshot... Je dis bien propagande parce que j'ai pas encore saisi toutes les nuances de la joie de recevoir une substance collante dans les cheveux lorsqu'il est clair que la fille s'est probablement arrangée pendant à peu près 2 hrs pcq elle savait ben que sa date aboutirait. Personellement, ça m'échappe.

2/ Avez-vous un bon souvenir lié à quoi que ce soit de pneumatique ?
La piscine à Ste-Madeleine et l'odeur de ce "pneu" gonflable lorsque le soleil avait tapper dessus tout l'avant midi. En fait, l'odeur de ce qui est pneumatique, ca me fait tripper, je sais pas pourquoi.

3/ Vous vous êtes endormi sous un arbre. A votre réveil, un lutin insiste pour vous amener devant trois dolmens. Sur l'un, ouvert, il y a un livre qui rayonne étrangement. Dans celui du centre, une épée est enfichée. Sur le dernier, enfin, il y a un bouclier flamboyant posé en équilibre. Le lutin vous demande de choisir l'un des dolmens, et ajoute " je vous préviens, la notice n'est pas fournie ". Quel dolmen choisissez-vous, et pourquoi ?
L'épée. J'ai besoin d'une bonne dose d'épique dans ma vie là présentament. Les livres, ça va, j'ai déjà donné et je donne sans cesse. Le bouclier, j'sais pas, j'pas trop pro-défensive dans la vie en général. Le bouclier n'est pas tant la paix d'ailleurs les amis, ça fonction implique déjà un besoin de se défendre, ce pourquoi il ne doit pas être tellement choisi à mon avis. Les gens que ça pourraient tenter vont plutôt aller vers la sagesse du bouquin.

4/ Est-ce que la mort d'une personnalité médiatique donnée vous affecterait plus que celle d'un membre de votre famille peu proche ?
Si c'est Jean Leloup ou Marcello Mastrioanni oui peut-être bien...
À la limite, à rajouter à cette liste Louis-Josée Houde et Jessica Alba (mais elle, est américaine... ya comme une trop grande distance à cause de ma nouvelle intolérance chronique pour ce qui est anglophone... et puis, au niveau de sa carrière présentement, c'est ouf).

5/ Avez-vous un avis sur les ummites, ces supposés extra-terrestres dont les lettres auraient permis à des scientifiques occidentaux de faire d'importants progrès ? (plus d'info ici)
Bah, comme le monstre du Loch Ness ou ben, à plus petite échelle, Ponik (du lac Pohénégamook), j'aime croire en des trucs improbables de type un peu surnaturel histoire de faire sourvivre les mythes. En fait, c'est pas tant une croyance qu'un amour de l'histoire derrière la créature/le phénomène.

6/ Avez-vous déjà confectionné des cartes de membre d'un club qui n'existe que dans votre tête ?
Ouais, mais c'était pas que dans ma tête, c'était un club collectif qui n'a existé que brièvement dans le bois chez mes grand-parents. En plus, yavait même une fause rivalité avec un groupe de cousins/cousines, quoiqu'un vrai abri de branche d'une envergure assez malade. De cela résulte la cicatrice sur la jointure de mon annulaire gauche (coupure au canif...)

7/ Avez-vous déjà contribué, sur la base d'informations non-vérifiées mais par trop séduisantes, à propager une fausse rumeur ? (enfin : une vraie rumeur, mais infondée)
Ahaha oui, et c'était purement loufoque et brulesque. Cela consistait à faire passé une fille, qui s'intéressait à une connaissance, pour une juive. On s'entend ici que ça avait vraiment aucun lien avec un quelconque propos antisémite, ça aurait tout aussi bien pu être bouddhiste ou hermaphrodite (quoique cette dernière qualification aurait pu être vraiment mauvaise pour ses futures conclusions éventuelles avec le type en question, mais on était pas bon menteur alors...)

8/ Combien de temps pouvez-vous supporter d'avoir les mains collantes ?
une fraction de seconde, à moins d'être face à un fruit, par exemple, que je veux manger, mais qui nécessite alors un certain temps afn d'y arriver

9/ Y a-t-il une connaissance étymologique dont vous êtes tellement fier que vous la servez dès que l'occasion se présente ?
J'ai tendance à oublier l'étymologie dès que l'occasion se présente en fait... mais j'aime bien la composition du nom Alexis. Par différentes analogie à partir de l'étymologie du nom, on pourrait même finir par en conclure que tous les Alexis de ce monde sont des personnes sont grands vocabulaires (et ainsi, de potentiels candidats pour une quelconque émission de télé-réalité).

10/ 1958… Une fois de plus projeté dans le temps, vous errez à Liverpool. Alors que vous buvez un verre, un jeune blouson noir ivre mort vous agresse verbalement, puis physiquement. Les gens essaient de l'arrêter, mais il se jette sur vous. Vous le repoussez, il se cogne la tête contre un angle et succombe au choc. La police admet la légitime défense, et vous apprend que le voyou s'appelait John Lennon. Sachant que vous êtes coincé en 1958… Que faites-vous ?
J'en profite pour me souvenir des paroles de ses plus grands hit et je les lance à mon nom en m'arrangeant pour devenir une compositrice de chanson pour Paul, Ringo et Georges. Pas pire wise la fille pareil ahah!

vendredi 24 février 2006

Délits d'Opinion

C'est de François Parenteau, le membre des Zapartistes qui s'est fait mettre à la porte de la radio de Radio-Canada.

Enfin bref, je commence ma lecture, mais à date, c'est pas mal bien. Je voulais d'ailleurs partager ici quelques citations que je trouve soit pertinantes ou amusantes. Sur ce, je m'exécute :

p.42 : Mon moi villageois
« C'est comme mes cache-oreilles. Quand je marche dehors, j'ai déjà plus chaud de les savoir dans ma poche. Mais s'ils n'y sont pas, qu'est-ce que je me les gèle, les oreilles... »

p.45-46 : La force de l'ignorance
« Il y en a pour qui le français ne s'est jamais mieux porté au Québec. Il est peut-être utile de se rappeler que c'était le discours des opposants de la Loi 101 avant même qu'elle n'entre en vigueur. »
« Bref, c'est bien plus naturel de se faire d'abord une idée et de chercher ensuite les statistiques qui l'appuient. »
« Mais je constate une chose. Arrêtons de faire semblant que le savoir, c'est le pouvoir. Dans le débat linguistique au Québec, c'est l'ignorance qui est en force. Les bilingues sont toujours forcés de parler la langue de l'unilingue. C'est ça qui sous-tend le combat de ceux qui s'opposent à un enseignement important de la langue anglaise dès le primaire. »
« Pratt & Whitney au Québec niaise toujours pour son certificat de francisation. Pourtant, en Pologne, la même compagnie opère une usine où tout se passe en polonais. La connaissance de l'anglais par les employés francophones du Québec les oblige donc à travailler dans cette langue, alors que l'ignorance des Polonais leur permet de travailler dans leur langue. »
« Combien de francophones ai-je vus parler dans un piètre anglais aux Chinois du dépanneur? Et on voudrait qu'ils apprennent le français? Sans les COFI, en plus? Et ne me faites surtout pas croire que l'aspect "langue de travail" n'a pas d'importance dans la survie du français. Le défi des qUébecois francophones est double : c'est de savoir parler anglais mais aussi, quand il le faut, de savoir se retenir de le parler. »

p.49 à 51 : La mouche et le bazooka
« Et quand j'ai vu la colonne de zoufs en kaki qui remontant une rue de Limoilou au trot, je me suis rappelé ces paroles de Richard Desjardins :"Y a tellement de police ici-dedans, ça va prendre des bandits ben vite..." »
« On a aussi appris que les policiers avaient tiré sur une centaine de manifestants avec des balles de caoutchouc. Une centaine! Contre des milliers de beus. Ça les démangeait vraiment de les essayer, leurs nouveaux jouets... »
« Et ils en ont mis partout. PARTOUT. Même les pavés pleuraient. Quelle lacheté : pour ne pas avoir à porter l'odieux de quelques coups de matraque qui auraient terni leur image, ils ont gazé tout le monde. »
« Peu importe le niveau intellectuel des manifestants qui étaient alors dans les rues à cette heure tardive, ce parfum insupportable du gaz irritant me brancha d'un seul coup sur la même indignation que j'ai si souvent vue exprimée aux nouvelles en Palestine, en Afrique du Sud, à Oka. »
« On a beaucoup vu les manifestants au Sommet dénigrés dans les médias. Mais les pires clowns, dans toute cette histoire, étaient clairement à l'intérieur du périmètre. Voilà ce qui me fait croire que la ZLEA est tout sauf un projet démocratique. J'aimerais bien un jour être en mesure de nuancer ces propos. Mais il faut toujours se fier à sa première répression... »

D'ailleurs, au sujet de ce Sommet, je vous invite fortement à consulter les vidéos, textes et photos qui figurent sur le site suivant : Photo-Reportage - Sommet des Amériques (Brunmarde.com)
Mise à jour : Les textes sur le site sont encore là, mais les photos et la vidéo ne fonctionne plus. Je peux au moins dire que lorsque j'avais visionné la vidéo, lu les textes et vu les photos, j'étais en criss!

mercredi 22 février 2006

Yann Perreau

Vu à la dernière page du Elle Québec de Mars 2006

Yann Perreau :
« Quand un dude me dit qu'il baiserait tout ce qui bouge, j'arrête de bouger. Quand une chick me dit qu'elle baiserait tout ce qui bouge, je danse le pogo et je pars sur la go en ne réclamant pas 200$. »

J'aime bien ahah

lundi 20 février 2006

5 choses qui me font royalement chier aujourd'hui

5. Le film du Manège Enchanté qui a pas l'air d'avoir rapport avec l'émission que j'écoutais étant jeune... Tounicotti Tournicotton!

4. Avoir faim

3. Il me reste presque pu de sauce à spaghetti, je viens de l'acheter ya 5 hrs

2. Nettoyer éventuellement le fromage collé sur la porte du four

et... (roulement de tambour!)...

1. Le plat de spaghetti que j'ai échappé dans le four après avoir fait grattiné le délicieux fromage... Mes mésaventures culinaires ne prendront donc jamais faim!

mercredi 15 février 2006

L'Europe

En fait, le titre est une sorte d'inside. J'attend la fin d'un voyage avec assez d'impatience en fait... Il reste près de 2 ans et demie encore. Et, même après ça, ya aucune certitude d'un retour réel.

C'est un peu fou en effet, mais j'suis quelqu'un qui nourrit trop d'espoir au quotidien alors... ou d'illusion, ça dépend de l'angle sous lequel on voit les choses. C'est juste pas facile à chaque fin de soirée, quand la poussière retombe et qu'on prend le temps de le prendre. C'est drôle parce que autant cet état me donne envie de glander toute ma vie qu'il me fait l'effet d'une bombe d'énergie avec laquelle j'accomplie tout ce qui est demandé et même plus. Je deviens la femme modèle, superwoman des temps modernes ou je sais pas quoi.

Reste que d'ici ces quelques années, j'ai un défaut indélébile qui me colle à la peau : je suis en Amérique...

Où est Munch lorsqu'on a besoin de lui?

C'est pas la St-Valentin qui fait cela, mais me semble que je tuerais tellement juste pour être touchée/collée/caressée...
Vous savez, le genre de caresse du bout des doigts dans le dos ou sur les bras, qui suit un chemin incertain en décrivant toute sorte de formes pas tout à fait géométriques? Ben c'est de celle-là que je parle. Autant elles sont légères dans le geste, autant elles sont lourdes de sens. Pcq l'insignifiance, ça ne prend pas son temps. Ou si ça le fait, c'est pour signifier l'insignifiance et du coup s'annuler elle-même. Enfin, je me comprend à ce sujet et c'est pas tant nécessaire que ça le soit de façon universelle.
En fait, j'ai envie de me réfugier dans la tendresse crasse qui ne connait plus le temps à cause des barrières que j'impose à ma parole, du vide que j'y intègre assiduement pour ne pas me trahir moi-même, pour ne pas révèler ma faiblesse perpétuelle, mon acharnement maladif à la limite de l'effrayant. C'est peut-être pour ça que j'ai ce cri sourd qui est bloqué dans ma gorge à chaque instant de calme.

J'ai écrit un truc sur une histoire de ronce et de jardin, c'est peut-être pas fantastique, mais je le retranscrirai sous peu, histoire de garder trace de l'ébauche si je le peaufine plus tard.

mardi 14 février 2006

Quel désarroi!

Pour faire bref, j'appelle mon salon de coiffure pour une rendez-vous et même une tenture tiens, je le mérite bien!
Fak je jase avec la réceptioniste pis elle me demande finalement avec laquelle des coiffeuses je veux prendre rendez-vous. Je demande pour celle avec qui je fais affaire d'habitude pis elle travaille pu là!
Mon coeur palpite et je verse une larme virtuelle en songeant à ce que j'ai bien pu faire au sort pour mériter une si cruelle atrocité, mais je prend rendez-vous pareil.
Et puis là, ça m'angoisse d'une part pour la coupe pcq c'est toujours un peu différent d'une part avec la même coiffeuse, mais il en reste un certain style propre à la fille en question. Mais là oh, une instant, si tu changes de coiffeuse, c'est pas la même histoire du tout!
Pis en plus, je me lance déjà dans la teinture ouh la... Déjà angoissant, mais j'vais m'arranger pour me faire conseiller au pire, je connais une fille encore la bas, l'amie d'une amie, alors léger déstress, mais tout d emême, quel choc!

Ma vie est pleine de rebondissement je sais

samedi 11 février 2006

Bénédicte Décary

C'est une actrice québécoise. Sérieusement, je l'ai vu dans quelques trucs par-ci par-là , plus particulièrement cette année dans le rôle de Jade dans Un monde à part à Radio-Canada, et c'est une actrice excellente. Le dernier épisode de la dite série d'ailleurs m'a vraiment retourner à l'envers à cause d'une scène qu'elle a joué, c'était spécial, un peu comme si on extériorisait mon ressentiment. Ça fait du bien pis ça me vire de travers aussi. Je le réécoute de temps en temps et ça m'impression toujours autant, la justesse et l'intensité des émotions dans son jeu. Chapeau!

En2k, ça m'encourage à aller voir les prochaines productions dans lesquelles elle jouera. Surveillez-la, j'ai l'impression qu'elle va faire de grandes choses d'ici peu de temps.

mercredi 8 février 2006

St-Valentin

Si qq'un pense à moi lors de ce 14 février, je veux un dildo en cadeau.
Les fleurs et le chocolat, c'est ordinaire.
Et puis la lingerie, ça va, j'en ai déjà pas mal.
Alors voilà, pensez-y, c'est un beau geste tout de même :P

Au pire, on ira magasiner ça avec ma valentine...

vendredi 3 février 2006

Le Coeur dans la Tête

J'ai des vices cachés...
J'ai des vices cachés...
J'ai des vices cachés et des pièces détachées

--Ariane Moffat