Ouais bien je me lance un peu comme ça dans l'écriture d'un bout de quelque chose parce que je tente par tous les moyens d'échapper à mon étude extrême de grammaire, qui sera probablement assez barbante en somme. Surtout que j'ai bien de la misère de me contenter de regarder dehors, vu que la pluie qui tombe, ça va, on l'a vu et revu. Je pourrais me les jouer mélodrame-prise-de-vue-romantico-larmoyanto-vitreux et m'installer sur le bord d'une fenêtre avec la Gymnopédie no2 d'Érik Satie histoire de me créer un cadre artificielle pour me pousser à faire de l'introspection superficielle et de me croire dans un Truman Show bien à moi. Enfin, s'il y a quelque chose à comprendre, c'est qu'à Ville St-Pierre, ya trop rien à faire (slogan éventuelle de la mairie avec un peu de chance).
Alors bon, je me disais que peut-être un jour, un petit chien mais, comble de malheur, je suis étudiant sans le sou et sans le temps, j'ai un coloc accro à sa pompe et allergique à tout ce qui a du poil (donc pourrait toutefois motivé encore plus mon choix pous un atroce petit chien imberbe genre Chihuahua) et comme je compte déménager en juillet, il serait préférable de ne pas s'attacher à un autre duquel je devrai peut-être me départir (quoique qu'un pauvre petit rat-chien ne fait pas de mal à personne...)
Oh et puis, avec les quelques travaux que j'ai du remettre dernièrement, je me rend toujours autant compte que le cégep me manque, et principalement pour ces oeuvres intéressantes que l'on pouvait choisir pour écrit des travaux intéressants à la dernière minute. Je pense entre autre à ce fameux projet que j'avais écrit sur Singin' in the Rain qui, ma foi, était pas mal bien fait même si j'y allais un peu de tout bord tout côté. Remarquer qu'un quelconque projet sur une quelconque oeuvre était toujours pas mal plus intéressante il me semble à ce niveau d'étude qu'à l'université. Il y avait un approche tellement plus intimiste il me semble avec les oeuvres que l'on avait à analyser dans les cours de Séminaire de lecture par exemple. Enfin bref, faudrait se faire une raison éventuellement, mais pour l'instant, c'est dans les limites de mes capacités...
Oh et puis même mes rêves ne cesse de m'indiquer ma nostalgie de mon 2 ans d'Arts et Lettres. Dernièrement, j'ai même rêver, bien que ce fut dans un contexte fort étrange et très anti-pédagogique, à un prof qui avait toujours des oeuvres fort constructives à nous présenter.
Il me semble qu'il faudrait que j'arrète de me répèter à ce sujet, même si c'est dure, mais bon, mettons cela sur le compte de cette foutu pluie qui ne cesse d'être là et de tomber inlassablement. Ce qui me fait penser à un blague très très longue sur un soldat, du papier de toilette et de la marde qui, ma foi, m'échappe totalement au delà de ces trois détails plus ou moins révélateur. Sur ce, je vais tenter, avec ma force de volonté légendaire, d'arrêter de perdre mon temps et de me mettre à l'étude. C'est dans des moments comme celui-ci que l'on perçoit des tâches tels que laver la salle de bain ou le plancher sous une perspective tout à fait différente!
mercredi 19 octobre 2005
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