Ce que je suis en train de lire. C'est bien, mais j'trouve ça encore plus dur à lire que Folle. Et puis je surligne beaucoup plus dans Putain que dans l'autre. Puis, je vois bien les effets pervers que le livre commence à avoir sur mes pensées. J'suis trop influençable. Mais j'avais déjà une bon potentiel personnel à adhérer à cette haine des hommes qui est si longuement décrit et exploré dans les quelques 200 pages. En fait, c'est pas tellement de la haine pour moi, c'est la récurence du doute. Le doute qui finit par prendre tellement de place qu'il n'y a plus que cela, même quand tout est très assuré et sécuritaire. Remarquez que sécuritaire non, c'est pas vrai, ya pas grand chose qui est vraiment à 100% sécuritaire, encore moins dans les relations interpersonnelles. J'aimerais tout de même ça apprendre à arrêter de me poser la question suivante perpétuellement à chaque fois que je rencontre qq'un :«Est-il comme tous les autres?» Et tous les autres, plus souvent qu'autrement, ce sont des salauds, des trous du'c, des vrais merdes et des indifférents. Sauf que j'ai fais une résolution personnelle dernièrement : je banis l'indifférence dans ma vie. Ou plutôt, je rends l'appareil à ceux que j'indiffère en me foutant bien de leur petite existence. Et c'est souvent plus facile qu'on peut le croire. Surtout que je déménage sous peu, ça aide toujours. Mais finalement, il n'y a déjà plus beaucoup de gens indifférents au point de me rendre malade dans mon entourage puisque la "technique" du mirroir marche trop bien. C'est bien beau de se foutre des autres, encore faut-il être capable d'accepter qu'on peut se foutre de toi. Et ça, ya pas beaucoup de gens qui prennent la peine d'y réfléhir je crois bien. En2k, pas à ma connaisance.
D'ailleurs, ya un extrait de Putain qui peut-être résume plutôt bien ce propos :«[...] de ne penser à rien d'autre qu'à la saleté des hommes à répandre leur sperme dès qu'ils ont une minute , à se vider de leur crasse comme si c'était là un exploit, et je vous mets au défi de vous retenir quelques jours pour voir si vous n'allez pas vous mettre à réfléchir, mais ça n'arrive pas, jamais, pas de nos jours [...]»
mardi 28 juin 2005
vendredi 24 juin 2005
Étrange...
J'ai la vague impression qu'il se trame qq'chose entre un de mes profs et une amie à moi. Mais bon, c'est des spéculations. Sauf que le prof en question m'a trop donner d'indice involontairement, ou j'suis trop perspicace je sais pas.
Si c'est bien ce que je crois, malgré que de mon côté, ça va assez bien je crois dans mes relations affectives, j'peux pas cacher que j'ai une certaine sorte d'attirance aussi pour la personne en question. Mais bon, j'suis attirée par beaucoup de monde, faut je lache prise plus souvent ahah.
J'ai commencé ma nouvelle job et c'est plutot pas trop compliqué, c'est bien plus relax que chez BMR. J'ai hate de déménager d'ailleurs parce que 2 hrs de transport en commun pour se rendre la bas, c'est long un peu pas mal. Au moins, j'ai encore une semaine a y aller que 2 fois par semaine. J'ai toutefois l'impression que je déménagerai pas pour la 2e semaine de juillet comme prévu, j'pas encore prète...
Puis, en attendant le retour du petit prince, je tue ma "solitude" (des guillemets ici pour atténuer la lourdeur du mot, pcq c'est pas de la solitude si intense qu'on pourrait le croire) par des souvenirs qui viennent réveiller les papillons. Ça faisait un certain temps qui dormait au gaz ceux-là d'ailleurs, ça fait du bien de savoir qu'yexiste encore.
Si c'est bien ce que je crois, malgré que de mon côté, ça va assez bien je crois dans mes relations affectives, j'peux pas cacher que j'ai une certaine sorte d'attirance aussi pour la personne en question. Mais bon, j'suis attirée par beaucoup de monde, faut je lache prise plus souvent ahah.
J'ai commencé ma nouvelle job et c'est plutot pas trop compliqué, c'est bien plus relax que chez BMR. J'ai hate de déménager d'ailleurs parce que 2 hrs de transport en commun pour se rendre la bas, c'est long un peu pas mal. Au moins, j'ai encore une semaine a y aller que 2 fois par semaine. J'ai toutefois l'impression que je déménagerai pas pour la 2e semaine de juillet comme prévu, j'pas encore prète...
Puis, en attendant le retour du petit prince, je tue ma "solitude" (des guillemets ici pour atténuer la lourdeur du mot, pcq c'est pas de la solitude si intense qu'on pourrait le croire) par des souvenirs qui viennent réveiller les papillons. Ça faisait un certain temps qui dormait au gaz ceux-là d'ailleurs, ça fait du bien de savoir qu'yexiste encore.
mercredi 22 juin 2005
Mmmmm...
Juste mmmm....
ou encore
"my lips [are] still swollen" dit Carry en portant la main à sa bouche
ou encore
"my lips [are] still swollen" dit Carry en portant la main à sa bouche
dimanche 5 juin 2005
vendredi 3 juin 2005
Des miettes
Alors, je rentre à la maison, il est minuit passé, et je retarde l'accès à ma boîte email pour ne pas être trop déçue à nouveau dans la même soirée. C'était peine perdue finalement, deux gros junkmail m'assome à coup de "speedup your PC!" et "get XXX video!" en faisant valoir la gratuité (oui bon on y repassera...) de la chose.
Cibole, c'est trop demander que de donner la moindre parcelle de signe de vie? Selon moi, c'est pas le meilleur choix de jeu de me décevoir en ce moment, j'suis trop à fleur de peau à cause de différents facteurs qui, réunis, forment un mélange très peu propice à la sérénité.
Enfin, ce ne fut pas une soirée tout à fait désagréable, j'ai bien rigolé bien que chaque rire ou moment intéressant était empreint d'un fond de vide.
J'ai pas pu me retenir jusqu'à la fin, et je sais pas si je dois regretter mon impuissance ici. Si ya bien quelque chose d' (j'ai vraiment de la difficulté à trouver le bon terme ici, mais bon, j'en met un qui peu faire l'affaire alors) éprouvant, c'est de pleurer en public. Je déteste ça. Les gens qui en sont témoins viennent te voir par la suite pour te demander si ça va ou ce que tu as, pis c'est le genre de question qui me replonge illico dans mes larmes. Le trésaillement dans la voix, ça m'énerve. Tout ça, c'est probablement parce que je déteste soit afficher mes faiblesses aussi ouvertement ou encore de voir le regard plus ou moins (généralement moins) sincère des gens qui font a semblant de vraiment être interpelés par mon état. Par contre, ya toujours une ou deux personnes qui font preuve d'attention agréable ou de bonté simple et je les remercie pour cela, ça fait du bien vraiment. C'est d'ailleurs pas toujours le geste venant de ceux de qui tu t'y attends qui réconforte. Enfin bref, j'ai pas non plus envie de me complaire dans mon trip plate d'enfant à qui on avait promis une sucrerie et qui l'a jamais eu finalement. C'est pas ce qu'ya de plus intéressant je crois (bien que ça ne soit pas nécessairement mon but ultime, intéresser).
La-dessus, le doute grandit et commence à faire son nid. J'aimerais bien le foutre à la porte, mais je ressens tout autant le désir de l'enlacer de tout mes forces. Advienne que pourra...
Cibole, c'est trop demander que de donner la moindre parcelle de signe de vie? Selon moi, c'est pas le meilleur choix de jeu de me décevoir en ce moment, j'suis trop à fleur de peau à cause de différents facteurs qui, réunis, forment un mélange très peu propice à la sérénité.
Enfin, ce ne fut pas une soirée tout à fait désagréable, j'ai bien rigolé bien que chaque rire ou moment intéressant était empreint d'un fond de vide.
J'ai pas pu me retenir jusqu'à la fin, et je sais pas si je dois regretter mon impuissance ici. Si ya bien quelque chose d' (j'ai vraiment de la difficulté à trouver le bon terme ici, mais bon, j'en met un qui peu faire l'affaire alors) éprouvant, c'est de pleurer en public. Je déteste ça. Les gens qui en sont témoins viennent te voir par la suite pour te demander si ça va ou ce que tu as, pis c'est le genre de question qui me replonge illico dans mes larmes. Le trésaillement dans la voix, ça m'énerve. Tout ça, c'est probablement parce que je déteste soit afficher mes faiblesses aussi ouvertement ou encore de voir le regard plus ou moins (généralement moins) sincère des gens qui font a semblant de vraiment être interpelés par mon état. Par contre, ya toujours une ou deux personnes qui font preuve d'attention agréable ou de bonté simple et je les remercie pour cela, ça fait du bien vraiment. C'est d'ailleurs pas toujours le geste venant de ceux de qui tu t'y attends qui réconforte. Enfin bref, j'ai pas non plus envie de me complaire dans mon trip plate d'enfant à qui on avait promis une sucrerie et qui l'a jamais eu finalement. C'est pas ce qu'ya de plus intéressant je crois (bien que ça ne soit pas nécessairement mon but ultime, intéresser).
La-dessus, le doute grandit et commence à faire son nid. J'aimerais bien le foutre à la porte, mais je ressens tout autant le désir de l'enlacer de tout mes forces. Advienne que pourra...
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