samedi 30 avril 2005

Alfie

Je viens de visionner. C'est bien! C'est sûr que ya des faiblesses à certains égards, mais bon, ça reste un film de divertissement pas mal tout de même.

J'aime bien le cheminement psychologique du personnage principal, et même que juste pour cet aspect précis, je recommande ce film à tous les types célibataires que je connais (ou pas) qui sont en train de se demander ce qu'il veule et qui se cherche un peu dans leurs désirs justement. Enfin bref, j'avoue que j'ai quelques noms en tête et que ma description n'est pas très éloquente ni vraiment ce que je veux exprimer en tout point, mais ça reste sensiblement la généralité qui s'en approche le plus.

Sur ce, je vous conseille tout de même de voir le film, autant pour l'aspect présenté ci-haut que pour le design de l'image, le ryhtme des plans, les différents effets visuels (plus ou moins métaphorique) et l'interaction virtuelle entre le personnage principale et le spectateur.

mercredi 27 avril 2005

Mardi le 26, ouhhhh

Alors, au départ c'était une journée bien ordinaire. Et puis moi et Bian, on était sur un beat de désabusées intenses, ça s'annonçait pas mal broiller du noir sur les bords.

Enfin bref, on allait à la pièce de théâtre de mon ancien prof de journalisme : «Enlèvement, séquestration et mise à mort d'un humoriste». Alors, moi la journée d'avant j'étais allée voir des critiques et des résumés de tout cela et puis j'étais tombée là dessus : http://www.montheatre.qc.ca/pieces/autres/enlevement.html#critique. Alors je me disais «ça va être fucké pis je comprendrai rien». Mais non finalement, c'est le critique qu'yé un amateur pis qu'y a rien compris...

Donc, je suis à l'Union Française dans le hall en attendant que les acteurs viennent nous cherchez. Ils finissent par arriver, déguisés en terroriste et se postent à certains endroits stratégiques : dans l'escalier au dessus de nous, au bout de la pièce près de la sortie principale et à côté de nous, tout près, devant une tierce porte d'accès à une sortie de secours. Tisshhh! Je le connais lui! O-H M-Y G-O-D... J'pense c'est François, le méchant pétard qui était une année au dessus de la nôtre dans notre programme pis que je fantasmais ben raide dessus là. Déjà je capote juste à l'idée que j'ai raison. Mais yé masqué alors c'est pas sûre, sauf que me semble c'est pas mal sa voix pis me semble c'est pas mal ses yeux pis son piercing dans le sourcil aussi. Fak bon, on est le premier groupe qui passe dehors pour re-rentrer par l'arrière de la salle pis on va s'assir en première rangée histoire de bien vivre la pièce et tout ça. Au fur et à mesure que les petites groupes de spectateurs arrivent, j'ai de plus en plus la conviction que c'est lui. Ah merci au ciel, j'pensais vraiment ya une couple de mois que j'aurais jamais plus la chance de le revoir pis de l'aborder par la même occasion.

Mais bon, la pièce commence, c'est vraiment très bon et je comprend tout ce qui se passe et dans quel optique c'est fait, tout ça. Ya vraiment de très bon gag aussi, on a bien ris moi et Bian et puis ça nous a fait oublier nos soucis du reste de la journée (miracle!). À un moment donné, hop le revoici, le beau François en membre de l'escouade tactique qui fait des pirouettes puis qui fini à être tout simplement un acteur parmi les autres. Malgré le fait que l'action continue à côté, j'peux pas m'empêcher de le fixer sans arrêt, c'est comme hey, j'profite de sa présence pour me faire plaisir visuellement tsé, pas folle la fille. J'ai d'ailleurs remarquer qu'yavait des très belles fesses en plus de tout le reste. La «deuxième partie» de la pièce était juste la continuité logique des choses et puis fallait se déplacer dans une sorte de pièce où était présentée une pseudo exposition sur Michel Martin (l'humoriste). Pis la encore y faisait un petit rôle d'un artiste d'une nationalité étrangère et la encore je pognais des fixes. J'ai vu aussi qu'yétait très polyvalent comme type (en plus de jouer la pièce en tant que tel, ya toute une chorégraphie d'un genre de danse moderne pas mal bien, en2k, impressionner en maudit la fille).

Pis la ben ya un petit bar sur le coin pis la pièce se font dans la réalité et tout ça. Lui yé derrière le comptoir et sert les gens, moi et Bian on commence à jaser avec mon prof (le metteur en scène). Évidement, Bian m'a clairement signifié qu'on part pas d'ici sans que je lui ai adresser la parole. Fak j'essaie, pas tellement subtilement, d'amener la conversation avec mon prof (Fredéric, pcq la j'tanné de dire mon prof batard) sur le fait que «ouin, ya un gars qu'on a reconnu j'pense, y venait pas à Maisonneuve?». Alors : «oui oui, yétait là l'année passé bla bla bla, François!» Fak y vient nous servirpis on engage un semblant de discussion sauf ya pas mal de monde qui veulent boire alors y part, y reviens tout cela. Moi j'ai ma coupe de vin et je commence à boire un peu (anyway, le vin, comment lui résister?). On jase pas mal avec Fred, pis finalement y va parler avec une couple d'autre personne alors y «nous laisse au bon soin de François.» Oh oui n'importe quand! Fak bon, lui est encore en train de servir une couple de personne, alors moi et Bian on jase un peu tout ça puis y fini par venir nous rejoindre pour vraiment engager la conversation. Taratata!!!!! Finalement, moment donné, je décide que tiens, je rentre pas chez nous moi, je vais dormir à St-Lin chez Bian, comme ça on va partir à l'heure qui nous conviendra. Pis on peut ben se permettre de rater notre seul cours de la journée, c'est pour une bonne cause! Alors parle parle jase jase, de fil en aiguille, je capote de plus en plus entre autre lol. Non mais ça l'air d'un gars avec une tête sur les épaules, y sait où y s'en va, ya de l'ambition pis de la culture. Pis on s'amuse bien vraiment, on rit beaucoup et ya aucun silence mal à l'aise. J'ai déjà 2 verres de vin dans le nez, et puis la Fred passe pour venir dire qu'il s'en va et fait mettre mon 3e verre sur son compte. Mais finalement, comme moi et Bian ont est vraiment trop intéressante, il est pas parti tu suite ben ben vite, ça pris une demie heure au moins avant qu'il parte vraiment. On a jaser d'un tas de sujets qui n'avaient pas vraiment encore été abordé avec lui à date et c'était bien l'fun, tout le monde y trouvait ça place, yavait pas de délaisser de la conversation bref. Finalement, Fred s'en va et nous fait un baise-main à moi et Bian (ouh la galanterie monsieur!). Pendant ce temps, j'ai remarqué qu'avec tout cela, François est de plus en plus à l'aise avec nous puis il commence à avoir des manières plus chaleureuse (p-e l'alcool aide aussi). Mais c'est l'fun de voir qu'on peut se toucher (j'entend ici les bras, mains, et ce qui est en haut du comptoir lol) tout en discutant. Même qu'à un certain moment donné, Bian s'est absanté pour aller au toilette puis j'ai soutenue la conversation et tout coulait parfaitement bien. C'était vraiment intéressant. Puis quand il s'absentait pour aller placer un truc dans la salle ou je sais pas quoi, je me retournais vers Bian et je disais soit «je capote!» ou encore «yé trop beau!» ahaha. D'ailleurs, dans un de ces moments là, Bian me dit «faut que tu lui laisses ton numéro avant qu'on parte!» puis elle l'écrit sur un petit papier que je plie et garde dans ma main pendant le reste de la conversation. J'ai appris entre autre qu'il restait à St-Jean-sur-Richelieu (oh my god, c'est pas si loin de chez nous ça là!) puis qu'il avait des estis de beaux yeux. Oh la la, quand y me parlait, le regard intense là, fou! Des estis de beaux yeux!

Finalement, nous aussi on fini par être fatiguées (journée dans le corps, lever plutôt de bonne heure, tout cela) et puis on décide que c'est le temps d'y aller. Alors là, François nous touche chacune un bras puis dit : «ça serait le fun qu'on se revoit vraiment». Bian décide de se retirer un peu de son «étreinte» puis moi je fais comme «ben alors tiens!» et je lui donne le papier en question. On s'en va sur ce lol. Moi j'étais saoule pas mal pis j'ai perdue des bouts de conversation dans ma mémoire, mais Bian m'a dit qu'il aurait dit «ok, j'vais te rapeller!» Ouuuuh! Pendant tout le trajet j'étais vraiment comme une petite gamine tout le temps en train de dire «j'en reviens pas!» ou encore «yé vraiment beaaaau!».

Fak, en définitive, une méchante belle soirée. Présentement, ya une tâche au tableau, soit la réaction d'une tierce personne face à ça que je trouve... euh... fucké ben raide, contradictoire, stupide, cave, voire immature? Mais bon, c'est pas non plus comme si j'm'attendais à des prunes. Ya aussi nécessairement l'attente qui peut finir par se transformer en doute au fil du temps, mais ça j'essaie de pas trop y penser. Anyway, oui je suis complètement charmée, mais c'est pas non plus comme si ma vie est figée d'ici à ce qu'il rapelle. Sauf que, ça serait vraiment trop fou si il le faisait, peut-être que ça me réconcilierait avec le genre masculin qui sait?

JE C-A-P-O-T-E

J'en reviens pas encore! Je capote vraiment ben raide!!!

(plus de détails sous peu)

samedi 23 avril 2005

Nostalgie :)

J'suis allée passer un méchant bout de temps sur MégAnimation.net et je suis tombée sur un tas de vieilles émissions qui m'ont rapeller un tas de bons souvenirs. J'ai finalement trouvé l'émission dont je parlais souvent avec les autres et que personne se souvenait : Fraggle Rock. C'était vraiment fou!
Ya aussi Le petit écho de la forêt, Alice au pays des merveilles, Caliméros, Clémentine, Les Ewoks, Dans les alpes avec Anette, Les Crocs Malins, Le magicine d'Oz, Sous le signe des mousquetaires, Comte Mordicus, Don Quichotte, Le livre de la jungle, Rahan, Tao-tao (la chanson est vraiment belle me semble), Sherlock Holmes, tous les "il était une fois...", Doug, David le Gnome, Signé Cat's Eyes etc etc...
En2k, c'est sûre qui manque une couple d'affaire, surtout des animations québécoises entre autre, mais bon, c'est déjà mieux que rien sincérement. Je vous conseille le site en2k!

Ahh la semaine prochaine!

Lundi : grève des profs alors je vais me lanser à fond la caisse dans mon projet d'intégration. J'aimerais pouvoir faire la base et le bonhomme au complet, ou au moins le "squelette" en broche à poule et le papier maché par dessus. En2k, j'verrai bien, mais faut vraiment je clanche ben raide.

Mardi : C'est un lundi alors c'est pas pire, j'pense ça va être relaxe même si j'ai un bon 8hrs de cours. Ensuite, je souper avec Bian pis on va voir la pièce de théâtre de mon ancien prof de journalisme «Enlèvement, séquestration et mise à mort d'un humoriste». J'ai bien hâte de voir ça.

Mercredi : Un beau petit 2hrs de cours de 8h à 10h, retour chez nous, va voir mon infirmier spécialisé pour mon pied, pour l'aider plus bien que je commence à voir qu'il guérit et j'suis bien contente. Job le soir.

Jeudi : Congé, job le soir pis après Bian descend chez nous pour sortir au Fuzzy. Ouaaais :) À viens dormir chez nous, on va se faire du fun en maudit.

Vendredi : Cours B.S mais très plate à 1h pm en état de lendemain de brosse, ça va être drôle peut-être qui sait?

Ahhhh, ça va être pas mal smatt comme semaine quand même. Je t'aime Bian!!!

mercredi 20 avril 2005

Respire

Ouh ça fait du bien c'est pas possible. J'sais pas, j'pense qu'en qq'part je me sentais comme obligée de qq'chose, ou hypnotiser, c'est tof à dire. Mais me semble que j'émerge d'un coma ou que j'ai finalement réussie à me sortir d'une tombe creusée trop tôt. Des fois aussi je veux trop, faudrait peut-être que je comprenne que quand j'ai la face qui pend tout le temps, c'est peut-être parce que mes efforts sont motivés juste par ma propre fierté que par la volonté de me faire du bien en général. Présentement, j'ai envie de prendre ce qui arrivera dans ma vie avec une attitude ben ben ben smooth. J'me sens un peu comme si j'étais faites de plumes de canard, ça coule sur mon dos sans jamais vraiment m'atteindre. C'est parfait, j'suis heureuse :) Ça fait du bien vraiment. Me semble j'serais capable de faire le vide cérébral live la, pis c'est vraiment qq'chose j'ai de la difficulté à faire. Mon prof de relaxation serait fière de moi lol!

lundi 18 avril 2005

Ras le bol

Ras le bol d'essayer de comprendre pour deux.
Ras le bol de me buter à une attitude défensive sur tout et rien.
Ras le bol de la peur présumer de mille et une choses.
Ras le bol de voir l'autre être sur les «breaks».
Ras le bol de me freiner moi-même par la même occasion.
Ras le bol de la situation qui s'enlisse dans des méandres toujours plus compliqués.
Ras le bol d'y repenser.
Ras le bol de m'en faire.
Ras le bol de ne pas pouvoir juste en profiter un peu.
Ras le bol de vouloir en conserver quelque chose.
Ras le bol d'être pleine de bonnes intentions.
Ras le bol qu'on me les reconnaisse pas.
Ras le bol des efforts mal investis.
Ras le bol de me dire que ça pourrait être mieux.
Ras le bol de penser que ça l'a déjà été.
Ras le bol de mon côté cérébral.
Ras le bol qu'on me le reproche parfois.
Ras le bol que certains s'y sentent mal à l'aise ou menacer.
Ras le bol de ne pas pouvoir garder le sourire très longtemps face à ce sujet.
Ras le bol de me rider avant l'âge pour ça.
Ras le bol de faire face à la non-réciprocité de pas mal tout en général.
Ras le bol de ne pas être importante outre mesure face au reste.
Ras le bol d'attendre un avenir meilleur qui ne vient pas.
Ras le bol d'entendre dire que c'est plus mais moins.
Ras le bol de me faire reprocher de ne pas me retrouver la dedans.
Ras le bol d'être perçu comme un «vidoir».
Ras le bol qu'on n'assume pas ses perceptions.
Ras le bol des apparences.
Ras le bol d'un virage de 180° qui émane de nulle part.
Ras le bol d'être aveuglé par des différences qui n'en sont pas.
Ras le bol de ne rien pouvoir partager.
Ras le bol de ne pas pouvoir se connaître mieux.
Ras le bol de me taire.
Ras le bol d'être obsédée par une réussite impossible.
Ras le bol d'être la seule qui est intéressée à réussir.
Ras le bol d'avoir peur de jouer sur le banc.
Ras le bol d'anticiper tout ça.
Ras le bol d'écouter les belles paroles en l'air.
Ras le bol de repenser à celles-ci et d'envier la saveur qu'elles avaient.
Ras le bol d'être confrontée à des contradictions par millier.
Ras le bol de m'entêter à tenter de plaire.
Ras le bol de m'entendre en parler.
Ras le bol de lui, de moi et de moi avec lui.
Ras le bol d'en avoir ras le bol.

dimanche 17 avril 2005

Enfantillage

J'pense que j'en ai eu assez pour un méchant bout de temps. Alors, je 1) fais un repli tactique (plus ou moins tactique), et 2) me concentre sur des gens qui ont assez de maturité pour me parler franchement, me dire la vérité et avoir les couilles d'assumer ses actes et paroles.
C'est aussi simple que ça. Ça va me facilité les choses ET m'empêcher de faire des rides avant l'âge. Voila!

Folle

Je suis en train de lire ce roman (Nelly Arcan) et j'aime bien. C'est pas mal dark, d'accord, mais ça m'aide pour mon projet d'intégration.

Puis en même temps, je pense que je commence à composer une sorte de théorie sur le rapport des sexes et tout le tralala. C'est pas encore bien passionnant, mais j'vais arriver à qq'chose de bien je crois. Ça s'inspire un peu de celle du narrateur dans le livre cité ci-dessus, mais c'est pas tout à fait pareil, malgré que je suis totalement d'accord avec cette théorie là aussi. La mienne vient poussé un peu plus peut-être, je sais pas.

Puis juste Folle, et le concept de la folie qui y est décrit, j'ai peur de m'y reconnaître. Pas face à l'aspect de la jalousie vraiment, mais je crois que ca se développe dans mon cas la jalousie au pire. Alors peut-être un jour je serais identique à la folie de Folle. En attendant, je me suis moi-même enlever le droit de protester dernièrement face à certains plans et certaines personnes autour de moi. J'aime bien, parce que souvent ça permet de juste laisser passer des trucs qui prendraient de l'ampleur pour rien. Mais ça c'est plus dans les propos tenus, les discussions et les différents sujets qui n'ont déjà, à prime abord, plus ou moins d'impact sur mon présent émotionel à long terme. Pour les événements, c'est plus "touché". Parce que parfois (souvent), j'ai beau essayer très fort de laisser passer, le processus est déjà trop enclencher profondément pour y échapper. Et comme je ne dois rien dire, ça enclenche en plus un sentiment intense 1) que je me vois dans ma folie et que ça m'énerve, et 2) que je suis seule la dedans à me faire de la bile et que je ne peux pas décharger mon/ma trouble/désespoir/haine/colère/tristesse/déception aux gens à qui ça serait, pas important tout à fait, plutôt salutaire? Je sais plus, j'avais le mot idéal mais il s'est échappé (merde!).

J'aimerais tellement ça pouvoir dire que je m'en fais vraiment pas et tout, parce que j'ai encore l'impression que je suis la perdante dans l'histoire, et à la force, perdre ça use le moral (pis pas rien que ça j'pense). Pis j'aimerais ça aussi que malgré que je m'en fais, ça passe pas pour ce que se n'est pas, soit un petage de coche pseudo-affectif. Parce que il me semble que ça, c'est réglé pour moi. Ce qui l'est moins, c'est que de passer en 3, 4, 5 ou 6 plans, ça me blesse encore malgré tout. J'ai beaucoup de misère avec le "mettage de côté" peu importe le motif. J'ai aussi beaucoup de misère que le pouvoir du sexe arrive pas à surpasser certaines choses qui m'apparaissent beaucoup plus faible en terme d'importance, de puissance et de nécessité même. Je le prend un peu personnel très probablement à cause du pouvoir que je confère à ça, j'en doute pas. Mais il me semble bien que j'suis pas seule à voir ça comme ça. Et même, de nos jours, le sexe a un méchant pouvoir (pensons seulement à n'importe qu'elle sphère qui entrerait dans un définition plus ou moins près du mot "business"). Fak, comment penser que c'est pas MOI et uniquement moi le problème. C'est dure.

J'aimerais beaucoup retrouver la moi qui avait vraiment pas de complexe et qui était vraiment très sûre d'elle. Yavait pas grand chose pour ébranler ma propre valeur à mes yeux à ce moment là. Je me manque pour cette raison là principalement.

lundi 11 avril 2005

Ya rien de pire...

... que les bourgeois de mon coin dans l'autobus, qui parlent d'enjeux politiques. Vraiment rien de pire! Avant de dire que les autres ne connaissent pas les aspects et les conséquences du dit enjeux, tu te demandes premièrement si tu es vraiment bien informé toi-même. C'est vraiment insupportable. Ne faite pas ça siouplait!!!

Dans un café ça va, chez vous ça va, dans un bar ça va, dans un lieu public aussi, mais pas dans un autobus, j'suis obligée de vous endurer ciboire!!!

vendredi 8 avril 2005

How cute!!!

Ya un petit garçon d'à peu près 7 ans que ma mère connait qui a toute compris lui.

Tout d'abord, il a demander ma mère en mariage, elle et un petit lot d'autre femme qu'il cotoie. Mais ça ce n'ai que peu de chose.

Lorsque vous lui demandez quel est le métier qu'il veut exercer quand il serait grand, il répond qu'il veut "embrasser toutes les femmes".

Ya vraiment tout compris lol. C'est vraiment mignon :)

mardi 5 avril 2005

Sex and the City 6

C'est vraiment la meilleure saison et ce même si j'ai pas fini de la visionner au complet. Je comprend Sarah Jessica Parker d'avoir voulu que la série ne se termine jamais, ça s'en venait vraiment parfait. Et donc je recommande la série, mais plus précis.ment la 6e saisons à tout le monde. Au pire, ça pourrait peut-être ouvrir certains horizons à certains types de personnes. Je sais pas je dis ça comme ça.

Les 2 coffrets de la 6e saisons sont vraiment comme un drogue aux quantités extrêmement limitées. C'est comme la dernière tablette de chocolat au monde. Tu la manges morceaux par morceaux, mais pas tout à la fois parce que après les derniers morceaux, c'est fini! Enfin bref...

Ceux qui n'ont pas encore découvert la série, ça urge!

lundi 4 avril 2005

L'autre bout du monde

J'ai un ami en Nouvelle-Zélande présentement, et j'aurais vraiment envie de toute crisser la et d'aller le rejoindre. On s'entend super bien en plus pis ça jamais été mélée entre nous deux, on veut exactement la même chose pis c'est parfait comme ça. J'suis tannée de mes petits problèmes minables dans le coin, des quiproquo inutiles, des embrouilles basées sur des préjugées et des thèses émises à l'aveuglette.

Ou encore je vais rester dans un appart miteux qui coute les yeux de la tête à New York en me trouvant une job de vendeuse de bagel.

Ou en France, ou en Espagne -à Barcelone :)-, ou peut-être en Amérique du Sud en qq'part là, resortir mes quelques mots d'espagnol.

J'aurais besoin d'un trip de "mind-blowing sex" pour me remettre en vie après mon coma de 3 mois et des poussières, j'sens que sinon ca va dégénèrer. J'suis rendue trop vulnérable au propos de la cause de mon coma, pis j'aime pas ça. J'me suis exposée pis ce ne fut pas une très bonne idée, on m'a rentrer dedans. J'sais que j'ai peut-être poussée des fois, et j'en prend le blame. Sauf qu'en même temps, l'orgueil, c'est pas tout dans la vie. Moi j'affirme rien en faisant des rapprochements avec mon passé, pis on le prend personnel. Et quand moi je prend des trucs insignifiants personnels, on vient se justifier big time sans commentaire possible. Ya trop d'injustice dans ma situation actuelle, c'est pas sain, j'm'auto-détruit en bonne Scorpion que je suis (un peu d'astrologie ne fait jamais bien de mal lol).

J'ai le don de me préoccuper des gens qui se foutent de moi. Faut vraiment je change ça!

samedi 2 avril 2005

Xylophone

Et mêmes les petits carillons là, vous voyez? Mais pas le genre de musique que l'on jouait au primaire là, un truc qui s'écoute, avec une mélodie très calme, un peu vaporeuse, avec un petit peu de violoncelle. Ça, la nuit, avec une fine pluie et les reflets incertains des réverbères sur l'asphalte humide.
C'est exactement comme ça que je me sens présentement.

Parfois on peut vraiment rien y faire, ya des gens qui nous touchent sans même qu'on le veule vraiment, sans même avoir eu l'intention de leur donner cette place là dans notre esprit. On dirait que ça se passe dans les brumes imaginaires d'un monde inconnu, et ça m'énerve de n'avoir aucun pouvoir sur l'atmosphère de cet univers là.

vendredi 1 avril 2005

Madame Cérébrale

Faut vraiment j'arrète de vivre dans ma tête, c'est pas bon pour mon dynamisme entre autre.