lundi 28 février 2005

Truc inutile

Je surfais et me suis dit, bon d'accord, j'ai dit je me taisais, mais c'est pas comme si je dis qq'chose en laissant un lien et un résultat. Alors voila :
Spot the Fake Smile
Et mon score personel est de 17 sur 20, oh yeah!

D'autre part, apparement que mon cerveau est plus masculin que féminin. Soit de 25% plus que d'être égal entre les 2 ou de 75% plus que les femmes en générale. M'en doutais-je? Léger.
Brain Sex
Toutefois, il est possible que le test des mots est altérer le résultat finalement pcq j'ai figé ben raide et que l'anglais est pas ma langue première...

lundi 14 février 2005

L'homme et Kundera

Donc voici une citation qui m'impressionne quand même pas mal. C'est si simple et ça explique qq'chose de si complexe à mes yeux... Enfin bref, voici donc :
«Il (Thomas) s'accablait de reproches, mais il finit par se dire que c'était au fond bien normal qu'il ne sût pas ce qu'il voulait.
L'homme ne peut jamais savoir ce qu'il faut vouloir car il n'a qu'une vie et il ne peut ni la comparer à des vies antérieures ni la rectifier dans des vie ultérieures. [...] Il n'existe aucun moyen de vérifier quelle décision est la bonne car il n'existe aucune comparaison. Tout est vécu tout de suite pour la première fois et sans préparation. Comme si un acteur entrait en scène sans avoir jamais répété.»

Je n'ai qu'un mot : Fou!

Ya aussi celui-ci que je trouve follement à-propos présentement :
«Nous croyons tous qu'il est impensable que l'amour de notre vie puisse être quelque chose de léger, quelque chose qui ne pèse rien; nous nous figurons que notre amour est ce qu'il devait être; que sans lui notre vie ne serait pas notre vie. Nous nous persuadons que Beethoven en personne, morose et la crinière terrifiante, joue son "Es muss sein!" (Il le faut!) pour notre grand amour.»

J'aime bien Kundera. Par le biais de la narration et de la psychologie de ses différents personnages, il se permet d'explorer plusiques d'angle possible sur le même sujet. C'est pourquoi il est plus facile dans son cas de distinguer le je de la narration de l'auteur lui-même. Mais bon, l'ambiguïté n'est pas toujours une mauvaise chose non plus. C'est parfois même plutôt attirant...

dimanche 13 février 2005

Tension dans l'omoplate

Signe physique que j'suis plus ou moins dans mon état. Pourtant c'est drôle, la fds avait bien commencer dans ma vision des choses. Pcq j'y comprenais rien aussi remarquer.

Je suis déçue, surtout de moi-même bien que ça serait faux de que ça vient juste de moi. J'ai la détestable habitude de me racrocher à la plus infime lueur d'espoir qui puisse exister, et ça finit toujours par me blesser. Je devrais peut-être essayer de changer à ce sujet.

Ce qui est marrant, c'est que malgré le fait qu'on me répète plus de 2 à 3 fois la même chose, je continue à croire que ça pourrait peut-être changer. C'est un comportement profondément stupide et puérile, et ça m'énerve. Le fait est qu'il faudrait que je reste rationnelle un peu plus et que je me dise :«Si j'avais envie d'en pleurer la fin de semaine passé, c'est probablement que ça va me faire le même effet encore la fin de semaine suivante.» Je sais pas comment on apelle ça, les gens qui croient que les choses peuvent changer aussi radicalement aussi rapidement... C'est un aspect de la naïveté je crois.

C'est tellement ma faute en plus...

Puis je me suis mise à réfléchir à mon propre sujet sous l'angle que les gens perçoient ceux qui ont un avenir peu glorieux. Ce type de personne qui ne peut être qu'un prix de consolation. Vous savez, ces gens que l'on rencontre et se disant :«Cette personne sera toujours le second choix, celle que l'on choisira par nécéssité ou par obligation.» C'est franchement laid comme raisonnement, mais ya un certain type de personne, particulièrement loser, qui inspire chez les autres des pensées de plus ou moins fort rejet. Ça peut prendre aussi la forme de :«Cette personne ne sera jamais capable d'être digne aux yeux de quelqu'un d'autre de mérite d'être aimer en entier.»

C'est pas tellement que je me perçoive comme ça, mais ya des moments plus que d'autre. Sauf que, autant mes lueurs d'espoirs de fillette me font passer pour une épaisse qui comprend pas dès le départ, autant mes contes de fées imaginaires me font croire que peut-être ya quelque chose de positif en quelque part qui pourrait possiblement arriver.

Présentement, je ne crois pas inspirer ni le rejet, ni l'appréciation insurmontablement intense, mais plutôt une vague indiférence plus ou moins ordinaire, voire tout à fait terre à terre. C'est pas nécessairement plus agréable.

J'commence à m'indifférer à moi-même

Ma mère

Mon dieu que ferais-je sans elle. P-e j'essayerais de me faire adopter par Frédéric, mon ex prof de journalisme... J'crois que c'est les deux seuls personnes qui sont assez éclairé pour me donner des réponses juste et brilliante, voire même cohérente.
À la question plus ou moins mystique de "pourquoi tel acte ou tel proposition?" ma mère sais toujours quand moi je sais jamais. Un jour, je veux être comme elle. Mais juste pour cet aspect pcq c pas comme si je trouve fabuleux tout dans sa personnalité. Ma mère sais beaucoup beaucoup de chose sur le comportement humain, probablement à cause des études quM'elle a fait et de son expérience personnel en tant que prof et en tant que femme.
Je ne dirais pas de kel action précise il est question ici, quelques minutes après que ça se soit produit tout à fait gratuitement pour aucune raison apparente. Mais son explication est parfaitement logique et sensé, et a même réussi a en trouver une maudite bonne raison bien solide. Wow, impressionée!

mardi 8 février 2005

Retour sur Kundera

Avant d'aller me coucher, j'avais envie de laisser 2 extraits de L'insoutenable légèreté de l'être qui se ccomplètent ma foi assez bien.

J'vous fais un tout petit résumé en bref pour vous aidez à vous situer un peu :
Thomas tombe amoureux de Tereza, lui qui s'était promis de ne plus jamais être en amour. Il avait de nombreuses maîtresses avant de rencontrer la jeune femme, mais il ne dormait avec aucune d'entre elle. Il conserva toutefois certaines de ses aventures malgré ça vie de couple avec Tereza. Celle-ci le découvre bien assez vite et à de la misère à composer avec cela, bien qu'elle s'efforce à le faire.

Donc voici les extraits :
«Thomas se disait : coucher avec une femme et dormir avec elle, voilà deux passions non seulement différentes mais presque contradictoires. L'amour ne se manifeste pas par le désir de faire l'amour (ce désir s'applique à une innombrable multitude de femmes) mais pas le désir du sommeil partagé) ce désir-là ne concerne qu'une seule femme).»
»Elle était venue vivre avec lui pour que son corps devienne unique et irremplaçable. Et voici qu'il avait tracé, lui aussi (ex:Tereza a des troubles psyhcologique lier à l'attitude de sa mère à son égard et à l'importance de la pudeur dans sa vie d'enfant/adolescente), un signe d'égalité entre elle et les autres : il les embrassait toutes de la même manière, les prodiguait les mêmes caresses, ne faisait aucune, aucune, mais aucune différence entre le corps de Tereza et les autres corps.»

Je trouve que les deux personnages ont raison mais tort tout à la fois. Autant oui c'est vrai que tel perceptions s'applique, mais c'est une impression, et donc elle ne peut qu'être influencer par l'interlocuteur, le personnage qui pense, sa vision des choses et sa culture. La réalité est probablement tout autre pour celui ou celle dont il est question. Enfin bref, ya jamais rien de totalement réciproque en fin de compte.

L'intelligence humaine

Ma mère connaît un gars, que j'apprécie bien aussi, on a de bonne conversation et tout. Aujourd'hui, en retrant du cégep, elle veut lui envoyer un mail pour je ne sais quel motif et se souvient pas de son adresse. Alors elle apelle et lui ne semble pas aller bien du tout. Alors il lui explique : Son fils est mort.

Le pire dans tous ça, c'est que c'est le gouvernement qui lui a annoncé. Pourquoi? Parce que la femme avec qui il a eu son fils (qui était autiste et qui vivait dans un centre pour handicapé mentaux je crois bien) est vraiment pas bright tu suite. Elle le savait déjà elle, mais elle n'a aucunement pris la peine de téléphoner pour lui dire. Ben non hey! C'est vrai que c'Est JUSTE le père... VOIRE QUE ÇA SE FAIT ÇA!!!

Calis qu'ya du monde crétin sur la terre pareil. Leçon à en tirer : Faites pas des enfants avec n'importe qui, surtout pas des osti de névrosées.

Le grand «come back»

Chabicouin est de retour tout le monde!
Site officiel

Pour avoir un accès rapide à des extraits de Chabisouin au marais, en collaboration avec MSN/Sympatico : Chabicouin au marais

lundi 7 février 2005

De Tabbuchi à Kundera

Bon et bien j'en ai fini avec ce Pereira à la marde. C'est pas tellement que c'est mauvais, c'est que c'est fuckin long... Quand tu te rends au 3 derniers chapitres et que là tu te rend compte que les 20 précédents servaient somme toute à pas grand chose, ish, c'est décevant. Toutefois, l'action des derniers chapitres est bien intéressante.

Mais Kundera, oh la la, c'est jouissif. J'ai pas vraiment de note à prendre dans mon livre bien que mon cours s'apelle Séminaire de lecture sauf que je me promène avec mon surligneur tellement ya des phrases et des paragraphes qui valent 100$. C'est fou comment on dirait que d'un claquement de doigt, l'auteur arrive à expliquer un concept aussi incompréhensible que pourquoi l'homme ne sait pas ce qu'il veut...
Ouf, extrait à venir sous peu sérieusement, vous vous délecterez alors

mercredi 2 février 2005

Pas sûre!

Suis-je paranïque ou trop naïve?
Serais-je en train de me faire niaiser ENCORE une fois?
Tant de questions auxquelles je ne peux tenter de répondre pour l'instant...