samedi 28 janvier 2006
Nipple gate
C'est quand même drôle comment la société ne change dont jamais. Les femmes sont encore de méchantes sorcières aux pouvoirs mystérieux auxquelles les hommes n'ont d'autres ressources que le bûcher. Bûcher qui ne sont que de l'auto-flagelation sur la place publique et par interposition. Ya un problème entre le sujet et l'objet (mon dieu que c'est moderne finalement).
C'est plate de dire que la fille est devenu vraiment grosse à cause du scandale et que l'autre n'a pas eu grand problème...
«J'veux sentir ton âme épier la mienne»
C'est bon sérieusement, surtout le dernier couplet.
En2k, ça me parle.
Je sais que je découvre tard, mais moi la radio pis Musique Pluche, le moins souvent...
vendredi 27 janvier 2006
Vendredi(s)
Ensuite, ben à force de être de mauvaise humeur, ça épuise, alors j'tombe dans un sorte de tristesse nostalgique bizarre, à regarder le paysage en proie à une crise de romantisme russe ou allemand là. Enfin bref!
Puis, cerise sur sundae, Un monde à part à 20h que j'écoute depuis cette année sous proposition de coloc. Ça me fou à terre à chaque fois, c'est trop près, sous différents angles, de ma réalité. Ça vient me toucher et tout...
Mais ma vie est p-e pas aussi trépidante ahah
jeudi 26 janvier 2006
Du vent!
Reste que mon imagination me joue des drôles de tours parfois, à remplacer un pénis par une sorte de patisserie qui ressemble à un biscuit. Je sais pas trop où je vais chercher ça lol.
Ou ben encore, mon père qui fabrique une orangeade maison pis qu'yessait de la tester illégalement sur du monde tout croche (ou tout "crush" oh-oh quelle bonne blague!).
Enfin bref, j'ai passé tout droit ce matin, mais c'était quand même assez agréable et je me suis obligé de faire ma vaiselle en contre coup alors, c'est d'autant plus bénéfique ainsi.
Avant l'oreiller
Et puis le processus immobilier débloque big time alors je vais renaître du purin éventuellement, je perd pas espoir.
Reste que j'ai bien hâte, à moins long terme, à vendredi 11h30 (ou p-e un peu plus tard, histoire de me dire qu'à cette heure là je serai chez moi) puis 20h aussi, pcq c'est le moment où je vis (par procuration) la vie du monde dans la tv, et j'aime bien ça de temps en temps... Puis la fin de semaine, même si je dois être proactive en maudit samedi. Puis la semaine d'après pour juste la nouvelle semaine qui commence, des nouveaux trucs à faire (pas oublier lundi soir, doit me rendre au cégep pour truc thématique). Enfin, je me tiens occupé, ça aide à ne pas trop me faché quand je regarde le comptoir de la cuisine ou la poussière sur les meubles, ou la salle de bain, ou l'arrodissement dans lequel je vis.
Ouin, je me plains... C'est dommage, j'voulais faire un effort là-dessus. C'est dur par les temps qui courent, mais j'vais finir par diminuer le nombre de chialerie par jour, suffirait p-e juste que je me trouve un truc vraiment bien à faire, genre créer, ou ben m'entraîner intensivement et puis regarder mon ventre dans le mirroir... (pas sure ça aiderait tant que ça mais bon, on peut tjrs essayer, qui sait?)
jeudi 19 janvier 2006
Ouhhh la la plein le cul!
Précisions : C'est pas tant l'école, ni le réveil le matin, ni les soupers à préparer, ni le transport en commun systématique à presque chaque jour. J'ai donner beaucoup d'indice, trouvez!
À présent, en attendant tout cela, j'pourrais soit commencer à fumer ou ben prendre une marche pour aller téléphoner à Bianette pour me plaindre jusqu'à plus soif.
lundi 16 janvier 2006
Daydreaming at night
Donc, je disais que, comme mon cerveau va plus vite que mon ombre ou ben alors à la vitesse de la lumière (c'est selon vos goûts personnels), je ne fais que rêver éveiller, quand il faudrait que je le fasse endormie. Déjà, autre problème.
Mais c'est sa faute aussi! Ya qu'à pas être aussi fantastique dans ma tête, c'est dur alors de pas enjoliver l'image toute simple d'un tas de contexte plus ou moins réalisable. Comme cette histoire de lingerie jamais vraiment utilisé ou ben un corps à corps admirablement unique. Ou tout simplement du bla bla intéressant, des taquineries amusantes, du bonheur enfantin. Ya les 10 pages les plus mals écrites dans mon cahier personnel sous mon lit qui parlent de ça, tout à la fois. C'est jolie sans rire, et ça me fait du bien. Ça me donne envie de changer, d'être meilleure. C'est bien, j'espère seulement que demain, après les effets de la caféine, ça reste (du moins) partiellement ainsi. Comme ça, si ce n'est qu'à demie intégrée, il ne me reste plus qu'à atteindre l'autre demie pour complèter la mutation et ça serait bien parfait comme ça.
C'est de ces moments qui donne, lorsqu'on va se lover sous les couvertures, cette sensation d'une entité immatérielle qui nous entoure de ses bras. Une sorte de chaleur sensorielle mais abstraite se répand à travers nos tissus corporels. C'est spécial quoi. J'aime bien personnellement. Même si c'est que du vent, charnellement ya un truc qui reste bien réel. Je me raccroche à cette parcelle de réalité là, même si c'est peut-être pas trop bénéfique en bout de ligne, faut bien profiter du bonheur quand il passe, même s'il est immatériel (je sais que ça l'est, mais suivez le fil, ça se comprend je crois.)
C'est aussi un peu comme un de ces moments où nos propres mains deviennent celle de quelqu'un d'autre. Comme si on peut alors se donner de la tendresse à soi-même. J'avoue que ça devient louche un peu mon affaire, mais je ne crois pas avoir l'intention de me masturber cette nuit, c'est juste pas tout à fait le genre d'énergie qui est relié à mon état et à l'ambiance qui m'entoure en fait. En2k, c'est spécial.
Même si je sais que ce n'est probablement qu'unilatéral ou ben alors que, dans les faits, ailleurs au Québec, ya un truc qui se passe dans son lit (ou qui ne se passe pas, ce qui, à la limite, serait pire dans un certain sens), je décide d'être égoïste et de ne pas m'en soucier du tout. Je profite, je savoure et je me délecte de ce que mon imagination me fait voir et sentir. Et c'est peut-être même plus agréable que si ça arrivait vraiment, qui sait...
vendredi 13 janvier 2006
Crise nymphomaniaque platonique
Enfin bref, pour ce qui est du platonique, c'est des choses banales mais qui sonne bien à mon oreille, genre un film au cinéparc ou un yogourt glacé dans une crèmerie dans un coin reculer de la Rive-Sud (pas nécessairement de préférence, tant que c'est beau) les fins de soirée d'été, quand on sent que la noirceur s'en vient tranquillement. Oui bon, peut-être qu'on peu accusé l'hiver, j'avoue j'en ai marre un peu et avec les températures qu'on a eu dernièrement, ca ravive les instincts printaniers pourquoi pas? Mais je crois bien qu'ya encore plus anguille sous roche. On s'amuse a m'ensorceler et je m'amuse à bien me laisser faire. Trop bien? C'est possible. J'ai beau crache sur les hommes qui reviennent sans arrêt vers telle ou telle autre ex, j'suis pas mieux et je l'ai bien compris depuis un méchant bout de temps finalement.
Ouais, ben comme dirait l'autre dans le Xième épisode de Dark Angel (seconde saison, que j'ai bientot fini de visionner d'ailleurs) :"Love sucks". La traduction dit plutôt «L'amour, c'est craignos». La dessus, je préfère la version original et je crois faire l'unanimité...
jeudi 12 janvier 2006
Vu à Infoman
et puis
"Charest dément"
c'était dans les journaux, ça doit être vrai non?
mardi 10 janvier 2006
Sur le divan, bien tranquille, je pense à...
Ou ben alors, c'est peut-être juste que ya un truc qui tilt présentement. Mais j'exige trop, ya rien qui m'est du. Même si c'est follement con cette formule là... On doit jamais rien à personne, c'est une question de valeur! Merde alors, le prochain gars qui m'arrive avec cette phrase la, faut que j'y sorte une banalité comme «ah oui et puis, non seulement ça mais quand il pleut, c'est mouillé!» ou ben «ah oui, pis moi quand j'ai faim, je mange»...
C'est aussi une question de perception, mais ça, ça changera jamais, chacun à son idée et ses attentes. La seule affaire c'est que ya pas souvent moyen de tout concilier entre 2 personnes, et même presque jamais j'dirais. C'est juste plate que, même si les exigences sont faibles, ya même pas moyen de les sustenter.
Ouin ouin, en2k, faut je finisse ma correction là, ça va faire le divertissement...
dimanche 8 janvier 2006
Ze Movie
Ya quelques répliques intéressantes quand même dans le film. Entre autre celle-là :«Pourquoi les hommes beaux, sympas et intelligents plaisent aux femmes?» J'aime bien.
Je sais pas, je m'en rend compte de plus en plus.
Bref, c'est bien beau tout ça, mais demain c'est l'école, les bouquin et Lecture du roman tout ça. Bah, on verra bien, j'ai encore le temps et puis les lettres, ça ouvre un tas de truc il me semble. Et puis, il est probable que je finisse par aimer le contexte universitaire et tout ça, même si pour l'instant, c'est plutot chiant, avec les histoires d'argents et la non-pédagogie hurlante, adorable quoi!
That's all folks!
Oh et un autre truc, les hommes sont vraiment fuckés à mon avis... Et je suis de plus en plus perdu dans toutes ces histoires, mais bon, on verra bien, parce que mine de rien, j'suis une éternelle optimiste (bien que dans le corps d'une cynique) alors
samedi 7 janvier 2006
Mercredix Return
Alors voilà :
Mercredix I
1/ Vous rappelez-vous le buffet-bar de vos parents ? Quelles images son évocation fait-elle naître ?
Mes parents n'avaient pas de buffet-bar, mais ma gardienne si. Les images que ça fait naître incluent, entre autres, un tapis vert-rose-noir-blanc qui sent le chien, des murs en bois (mais genre pas bois déco, bois bois, vrai feuille de bois, pcq pas planche mais feuille, un tableau sur le calorifère, un tapis de petit voiture, le jeux sur la géographie du Québec, Jocelyn, le plancher en bois aussi il me semble, des bas.
2/ Après les théories " stégosaure mutant croisé avec un lion " et " comte dégénéré maquillé en maori ", vérité doit être faite : quelle est votre théorie sur la bête du Gévaudan ?
Du peu de ce que j'en sais, je dirais que c'était un meurtrier sous une peau de loup ou ben alors, une hallucination collective, un peu comme le truc des sorcières de Salem, ça prend qq'un qui est possèder du malin alors hop!
3/ Avez-vous un goût particulier pour une ou plusieurs sous-marques alimentaires ? Exemple : préférer le Leader Quick au Nesquik.
Tropicana et Coca Cola, pcq c'était les premiers dans ma tête, et puis Pepsi a un goût plus caféiné ou plus gaz carbonique, pis ca m'énerve. Nesquick oui, mais c'est pcq yé meilleur que les autres surtout, sinon euh... Pour le pain, ça dépend de si j'ai accès à mon pain de granole, mais dernièrement non alors le truc au nom italien la, je sais pu trop, le pop corn c'est tjrs le même aussi, puis la souper aussi. Soupe au Tomate c Aylmer je crois bien, pcq bon, campbell est bizarre me semble. Puis Habitant je crois bien pour la soupe avec des morceaux de légume dedans... Les pâtes c'est la boite bleu avec la petite madame dans un champ.
4/ Eprouveriez-vous une forme de plaisir à faire partie de ce qui, de l'avis général, est une élite ?
Mmmmouiiiii :P C'est un peu comme un club secret tout ça, mais en même temps, ça amène des mauvais côté. Sauf que j'y pense jamais et à la limite, ca m'indifère alors tout ce concept d'élite...
5/ Prendre un café ou autre chose au distributeur nécessite d'introduire une pièce : le paiement est donc apparent. Pourtant, prendre un bain ou boire un verre d'eau au robinet implique aussi une dépense précise (différée, certes, mais inéluctable). Eprouveriez-vous un malaise si le montant de votre dépense s'affichait en temps réel à côté de votre baignoire, lavabo, prise de courant, etc ? Et échangeriez-vous le principe des factures contre un paiement par pièces " en direct " ?
J'éprouverais un malaise probablement oui, mais de la l'importance d'un paiement par pièces il me semble, ou du moins, un compteur qui convertie en argent l'utilisation que l'on fait de l'eau ou de l'électricité par exemple. Ça en conscientiserait probablement et yen a aussi qui modifierait leur mode de vie pour le mieux.
6/ Quel est l'objet que vous possédez depuis le plus longtemps ? Pourquoi l'avoir conservé ?
Un livre probablement, mais de la à savoir si je le conserve volontairement. Ou bien alors ya une sorte de mini chaîne stéréo qui marche presque pu, du moins pour les CD (donc où en est l'utilité). Pourquoi, je sais pas, la radio parfois, c'est pratique... C'est un peu gros pour écouter la radio, mais bon, elle a une certainement esthétique qui me rapelle des trucs qui se sont passés avec des gars quand j'étais plus jeune.
7/ Quand vous croisez un policier, éprouvez-vous un sentiment de culpabilité fulgurant ? Et si ce n'est pas le cas, qu'éprouvez-vous tout court ?
Pas de la culpabilité non, mais je me demande tjrs systématiquement pkoi donc ils sont là. Et parfois, ça finit par me faire peur à force de penser à toutes les éventualités possibles. Mais ça c'est surtout dans le métro... Sur la route, c'est limite de l'indifférence.
8/ Pensez-vous qu'une société où personne ne croirait en un ou plusieurs dieux aurait une chance de tenir, voire, serait préférable aux nôtres ?
J'crois que le taux de suicide pourrait être pas mal plus grand et que probablement qu'il y aurait encore plus de gens totalement blasé. D'un autre côté, il serait possible aussi que la société athée vivent dans le même genre de bonheur que les fous dans le film Le Roi de Coeur de Philippe de Broca.
9/ Au départ, m'a appris Antanagor, Fantasia de Disney devait sortir régulièrement, agrémenté de nouvelles séquences (les plus anciennes disparaissant au fur et à mesure). Quelle séquence sortie de votre esprit dément auriez-vous voulu voir ?
Une séquence de porno entre les personnages importants des longs métrages animés de Disney, un gros gangbang quoi! Ça serait bien non?
10/ Avez-vous déjà vécu la fin d'une peur comme une vraie et triste déception ? (ex : "Tiens ? Un loup, c'est juste un chien en plus joli, pas un truc de cinq mètres de long avec cent-trois dents ?")
Mmmm je ne crois pas vraiment avoir fini d'avoir peur de quoique ce soit. Sauf p-e de dormir dans un endroit où je suis seul, genre un appart quand le coloc est pas la, ou la maison quand ya personne dedans. Mais en général, je crois bien que la maison peut encore me faire peur, pcq c grand et ya plein d'endroit pas éclairer, et c'est pas au 4e étage... Mais dans l'appart, c'était le fun, pcq la peur c'est angoissant, et j'aime pas ça être angoissé. En fait, j'ai l'impression que plus je vieillis, plus j'ai peur d'un tas d'affaire... Les trains, les avions, le silence, la douche, les autobus, les intersections, les douleurs corporels momentanés, bla bla bla bla...
vendredi 6 janvier 2006
Le déluge
En même temps, je veux pas m'arrêter d'écrire là là maintenant, parce que ça occupe mon esprit, du moins partiellement, et donc j'ai moins ce mal de tête d'émotivité, un peu comme si j'allais exploser. Le problème est que j'aurais plus rien à dire bientôt déjà et que j'ai une envie de pisser incroyable.
Le pire, c'est qu'aujourd'hui, j'ai eu la chance de reparler avec une ancienne flamme, qui a pas durée très longtemps finalement, mais j'avais cru comprendre qu'il s'ennuyait de moi, par une amie fidèle... C'est de l'ennui très ennuyant ou alors il a trop d'orgueil parce que il semblait plus avoir des pseudo-reproches cachés sous des faux sourires à m'offrir. Même si, en qq'part, c'est mon interprétation, quand c'est à travers un clavier et un écran, c'est jamais tout à fait ça non plus. Mais mettons que ça aide pas, si toutes les anciennes histoires me perçoivent vaguement ainsi, ça va mal à shop...
Même quand je m'arrète trop longtemps pour penser à ce que je vais écrire, ça repart et ça bloque toute productivité pendant 5 minutes, puis je tente un truc, un autre petit 5 minute... et encore un. C'est épuisant avoir mal non?
J'aurais envie de passer un coup de fil, en fait j'en ai eu l'envie depuis la fin novembre. Et d'ailleurs, en me rappellant à quel point ya du temps qu'ya passé entre la dernière fois que je l'ai vu et l'absence d'appel de ma part qui dure jusqu'à présent encore, c'est épouvantable. Je suis tellement stupide... Mais si je le faisais, j'passerais probablement plus pour une folle qu'autre chose, déjà que j'en ai l'air juste par écrit. Je sais vraiment pu quoi faire...
C'est rendu qu'après m'être masturber (c'est moins pire que l'autre fois, je me suis calmée, mais ça m'est arrivée réçament), donc après l'orgasme, j'ai comme les larmes qui coulent toute seule. Ça vient empoissoner la totalité de mes activités.
Ok j'sais pu quoi dire et puis je me re-re-re-re-re-répète alors fuck off...
jeudi 5 janvier 2006
S'exprimer, c'est important!
Euh, enfin bref, je disais donc n'importe quoi pour en venir à dire que j'ai comme eu envie de me mettre à écrire un peu. Mais pas écrire pour le faire, dans un journal plus ou moins utile, ou ben alors ici, à me répèter sans cesse. Je commence un chapitre d'un truc qui pourrait avoir de l'envergure. J'ai un concept, une idée. L'histoire, c'est de savoir si je vais pas laisser tomber, ce qui est fort possible et plausible aussi. Mais bon, pour l'instant, c'est salutaire, et ça m'occupe. J'avais comme une envie de vomir tout à l'heure vu le nombre et la diversité des choses que j'ai ingurgité dans la soirée... P-e pas qu'à cause de ça non plus, on vomit parfois pour un tas d'autre raison, pas tous relier à la santé physique, ni à la bouffe. D'ailleurs, s'il fallait qu'on me donne un mur pour que je puisse en faire mon truc de déchirement-texte-collage-peinture-sculpture-je-sai-pas-quoi, et bien j'inclurais une personne qui vomit des milliers de petites images. P-e pas juste ça, mais essentiellement ça oui.
Tout ça pour dire que j'écris, ça va p-e donner qq'chose, p-e pas. Ça fait plaisir à certain, en leur donnant raison probablement d'une part, de l'autre, bien que ça m'étonne un peu tout de même, il est aussi possible que j'intéresse un lectorat plus ou moins défini, qui se consitue en partie de gens que je connais donc c'est pourquoi je tiens pas à prendre ça trop au sérieux. Et puis de toute façon, ça me prendrait un pseudonyme pour publier (dans le sens de "rendre public" svp) parce qu'on reconnait trop facilement mon "bouc émissaire". C'est d'ailleurs pourquoi je le fais pour moi, c'est peut-être bien mon dernier recours pour tenter de me donner un petit boost de réelle existence agréable? Mais, mine de rien, bouc émissaire est un terme un peu fort. C'est sûr que je m'en prend à une entité en particulier, mais c'est un peu comme ce que disait Guy A. Lepage sur les imitations ou je sais pu quoi. Bref, ça cache aussi un autre genre de sentiment. J'crois même que je suis plutôt du genre à peindre un bouc émissaire si charmant et aimable et cute et dont toute que ça paraît pu tellement en bout de ligne que c'était le méchant du début. Faudrait bien que j'arrète mes tendances masochistes de magnifier et de défendre la personne qui me blesse, c'est malsain.
Là dessus, à moins d'une intense envie de communiquer à plus grande échelle (ce qui peut fort bien arriver), j'ai l'intention de slaquer la verbomotrisité pour un certain moment ici là là, là -----> .
Je veux avancer une méchante bonne couple de truc avant que l'école reprenne alors faudrait que je me prenne au sérieux en disant ça.
Sur ce, bonne chance dans vos continuités respectives
Moi et la cigarette
À un point tel que j'ai l'impression d'avoir été une grande fumeuse dans mon jeune âge quand j'ai pris un bon 3 à 5 pufs maximum dans toute ma vie.
Ça donne une idée de l'état mental dans lequel je baigne depuis quelques jours. Ça puis l'envie incessante d'aller me brûler la peau du visage dans la neige jusqu'à ne plus rien resentir du tout. Ça marche comme ça dans ma tête, l'autodestruction est très très forte dans mes fantasmes métaphoriques ou pas lorsqu'on me largue un bombe atomique émotionelle en pleine poire...
mercredi 4 janvier 2006
Selon certaines sources...
D'autre part, il paraîtrait que la fidélité est un trait important de ma personalité (euh... hum ouin), que je recherche un partenaire au caractère indépendant, que mes ennemis sont rusés (va falloir que je fasse attention de pas me faire tuer en dormant...), que j'interprète le sexe comme qq'chose d'apaisant et, finalement, que ma vie est mouvementée (ah, tiens, les deux derniers, j'pas mal d'accord.)
Pour le reste, c'est plutôt personnelle vu que ça implique des noms. Selon le test, j'ai déjà trouvé mon âme soeur, ce qui est assez drôle, surtout si on pense que ya surment un méchant tas de gens de 13~14 ans qui font ce test là et que moi-même, je crois l'avoir déjà fait dans le passé. Et puis, le concept est tellement variable selon chaque perception. Faudrait d'abord savoir si j'y crois. J'aimais bien le truc qu'il avait dit à ce sujet dans Sex and the City, même si ça m'échappe... Quoique l'épisode doit surment avoir le mot Soul Mate dedans, saison mmmm 3 ou 4, probablement plus la 4e vu que Big semble ne plus être avec Natacha à ce moment là, qu'il était en voyage, mais qu'il a pas déménagé à Napa encore... Oui oui oui, pis après dans la série, ya le Jazzman là. Ben voilà. Mais comme je dis, je m'en souviens pas.
C'est quand même étrange parfois, comment certains événements nécessiteraient une anéstésie. Parfois, j'trouve vraiment ça étrange à quel point il faut se remettre rapidement dans le train train quotidien... Ya un truc entre le corps et l'esprit. L'un va au ralentit et l'autre doit continuer à amener l'esprit à tels ou tels autres endroits. L'un vit en société, l'autre est mésadapté social. Surtout dernièrement, dans le transport en commun beaucoup, avec moi-même. Le nombre de pensées différentes qui s'y rencontre en plus. C'est bien paradoxal tout ça, et ça me frappe encore plus vu que je me sens à des milliers de mètres de mon propre esprit à moi. Ya un trou noir en qq'part qui aspire systématiquement toutes mes pensées et réactions. Parce qu'à la limite, toutes pensées, bah, ça arrive, mais réactions, ça finit par être perturbant.
Ouin, j'vais tenté de changer de sujet éventuellement, ça fini par être lourd ça aussi mine de rien. C'est dur, mais ça peut tjrs aider aussi, alors hop!
Autre chanson du moment
Enfin bref, voilà donc :
Mes Aïeux - Continuer Pareil
Vrai que la vie est complexe
Entre le cœur et le cortex
Entre l'amour et pis le sexe
Entre les tabous, les complexes
Entre les futures et les ex
Combien de plasters de kleenex ?
Vrai que la vie peut être vache
Entre les dettes et le cash
Le calumet et la hache
On se fait des bleus, on se fait des taches
Avec des laisses et des cravaches
C'est vrai qu'on en arrache
Mais y'a les fleurs, y'a les abeilles
La mer et le soleil
On continue pareil
Y’a Jacinthe et y'a Mireille
Les guitares, les bonnes bouteilles
On continue pareil
Envoye !
Vrai qu'parfois la vie est poche
Entre les straights et les tout croches
Entre les cutes et pis les moches
On se donne des caresses, des taloches
Mais y'a toujours quelque chose qui cloche
C'est toujours au plus fort la poche
Vrai que la vie n'est pas facile
Ni révoltés, ni dociles
Ni brillants, ni trop imbéciles
On se sent vains et inutiles
En équilibre sur un fil
On va-tu finir à l'asile ?
Mais y'a les fleurs, y'a les abeilles
La rivière et le soleil
On continue pareil
Madame Chose, monsieur Gobeil
Les amis, les bonnes bouteilles
On continue pareil
Envoye !
Vrai que souvent la vie est laitte
Trop de mensonges, de cachettes
Les vieux patterns se répètent
On rembobine la cassette
On accumule les défaites
On voudrait jeter la serviette
La vie est drôlement faite… maluron lurette
Mais faut la chanter… maluron lurée
La vie est imparfaite… maluron lurette
Mais faut la danser… maluron lurée
La vie est ainsi faite… maluron lurette
Il faut continuer… maluron lurée
Si la vie est mal faite… maluron lurette
Il faut la changer… maluron lurée
mardi 3 janvier 2006
Citations de la semaine
Venant de Gimore Gilrs, saison 5, c'est Michel, le réceptionniste de l'hôtel Dragonfly Inn, et c'est très drôle, surtout vu le caractère du personnage et l'accent français prononcé du gars.
Hand me a wall
Je vois encore du rouge vin, du noir, des lambeaux, des trucs sinistres ou déprimant. Dépendament du moment où je m'effererais dessus en fait, pcq ça passe de la rage à une déception plus calme alors je sais pas, p-e ça pourrait être un choc entre les deux, un amalgame de différents trucs d'un sentiment à l'autre.
Du texte encore, j'ai quelques idées, des citations de chansons encore, p-e pas de Jean par contre, ça ferait probablement un peu trop répétitif. Des armes aussi tiens. Des images en noir et blancs de dagues ensanglantées et de fusils 9mm.
Mais pas un truc plat, quelque chose avec du relief, qui ressort un peu du mur, d'où mes matérieux déchiquetés.
J'ai peut-être mal choisi ma profession en même temps... Ahaha
Quoique j'ai pas envie de devenir une sorte d'artiste des temps modernes qui fait rien de moderne finalement et qui doit systématiquement ruiné sa vie socio-affecto-émotive pour pouvoir soutirer un truc intéressant à son inconscient. Parce que, les rêves, c'est bien d'accord, mais à un moment, ça devient très redondant et à la limite facile comme source d'idée. Je sais pas, ça fait pas sérieux il me semble. Ça fait un peu étudiant en manque de concept, non?
Remarquez que même s'il faut que je me tue à l'ouvrage, je vais les faire mes études jusqu'au bout (du moins, le «bout» que je me suis visée) et ce même si les cégeps disparaissent à jamais et que je ne puisse faire autrement que de prolonger les études, tenter ma chance dans une école secondaire (ce qui est hors de question, totalement hors de question) ou bien alors devenir une artiste mal payé, mais peut-être pas incomprise. Probablement juste snobé par la critique ou ces fameuses personnes qui étudie ou ont étudié en art qu'on aime tant, qui connaisse tout et non pas dans le sens du savoir académique, je veux dire du savoir-vécu à la j'ai-tout-vu,-je-suis-blasé,-ya-rien-de-surprenant malgré leur incapacité vicéral de faire mieux, voire de faire quelque chose de concret...
Je me tais la dessus, il est tard et mon cerveau à besoin de repos à force de penser à tout c'est truc que les autres font avec d'autres gens. La fabulation, c'est tout sauf salutaire pour la santé mental je crois...
lundi 2 janvier 2006
Minuit le soir prise 2
Ça me rapelle mes propres tensions affectives de ma dernière session de cégep. Les deux personnes que ça concernaient sont loin pas mal à présent. C'est malheureux de deux façons différentes.
C'est con, j'suis vraiment dans un méchant trip nostalgeo-affectif. Ça m'obsède. À un point où je pense vraiment juste à ça. Faut je passe un ou 2 appels je crois, ça pourrait peut-être m'aider, tout comme nuire encore plus. Je sais pas, faut voir... ou attendre, c'est parfois une bonne idée aussi. Sauf lorsque ça fait 5 ans qu'on se morfond sur les mêmes chimères, j'vais essayer de pas me rendre là, ça serait pas drôle, en plus d'être pathétique et niaiseux. La session reprend sous peu, j'vais me me mettre à fond dans mes études.
dimanche 1 janvier 2006
Majeur de chez majeur
Ouais, même si je me parle à moi-même sur des trucs que je n'ai pu vraiment répandre tellement pour pouvoir allèger ma (mettre émotion non défini lorsqu'elle sera découverte en bout de ligne) obssessive qui dure depuis mmmm, on est encore le 1er, moins hier moins l'autre hier d'avant, 2 à 3 jours non?
Bianette reste assez peu rejoignable, même si on se voit sous peu, du moins il semblerait, mais c'est dans trop longtemps et mon esprit me joue des tours stupides de décalage de pensée et d'autre truc à la con (ou à la marde, c'est une bon parfum aussi (dans le sens de saveur, c'est un tantinet plus raffiné il me semble)).
J'ai toujours pas compris tout à fait pourquoi, par égoïsme et envie de flatterie ou de fla fla argumentatif complaisant et à la limite de la mièvrerie répétitive, les hommes te plus ou moins disent qu'il s'en balance de ta pauvre existence tout en disant qu'il t'aime bien. D'accord, ya le bien qui allège le verbe, mais quand même, le bien n'est pas avant alors il allège après avoir larguer une bombe qui vient tuer les survivants après l'atomique qui était en rapport avec le largage plus ou moins volontaire. C'est comme envoyer des caisses d'onguent après le passage de tous ces explosifs. Ça sert juste à faire croire que la personne est pas si mauvaise finalement. Et ça marche. Parce que malgré ce que je dis, j'arrive pas à en vouloir à qui que ce soit outre mesure, sauf peut-être à Dieu (dans l'absolu, j'aurais pu dire le destin, la génétique ou le Big Bang) qui m'a pas fait assez intéressante ou charmante ou bien dans le bon timing, si ce n'est que ça, mais comme je suis d'humeur pessimiste et qu'il me semble que ça serait trop naïf de croire que ce n'est que ça (à la limite de la prétention aussi, j'essaie de contourner ce défaut qui me colle à la peau parfois). C'est une question de forme (les onguents), mais ça fait son effet parce, depuis, j'ai toute la misère a ne pas m'imager un tas de truc qui ne m'intéresse pas et...
Je sais pas, j'ai l'impression surtout d'être majeurement ridicule. Oufff... Bah, ça se répète quoi! C'est comme c't'histoire avec le grand ténébreux aux muscles d'acier... Comment est-ce possible de passer par dessus une phrase comme «quand je couchais avec mon ex, je pensais souvent à toi»? C'est pas textuel, mais ça marque l'esprit. Comment on fait après pour reprendre le cours de la vie comme elle devrait se reprendre sans être totalement obsédé par ça?
Bref, l'histoire de ma vie, les complications, les clarifications qui m'impliquent pas en fait parce qu'elles serts qu'à venir me perturber plus.
C'est le genre de truc qui te donne quand même le coup de pied dans le cul qui manque pour tenter de devenir vraiment plus génial. Le problème est de savoir comment, mais je vais m'appliquer à le trouver. C'est ma résolution 2006 : Changer... pour le mieux... Faut savoir ce qu'est le mieux par contre, car parfois le mieux et le pire et vice versa. Je m'embrouille. J'vais aller fantasmer sur une vie à problèmes dramatiques mais qui s'arrange par magie à travers une série télévisée. Le truc pour ne pas tomber dans le pathétisme et l'absence de vie réelle, c'est de focusser sur l'existence du sexe dans la réalité. Pcq à la télé, c'est un truc assez abstrait si on écoute pas une série comme Bleu Nuit.... Non?
Chanson du moment
Plus particulièrement la version d'Ariane Moffatt... Je sais pas, mais dans le moment actuel, ça me touche et ça m'apaise en même temps. Un peu comme si ça me rend le sort plus acceptable, je sais pas... Alors voilà :
Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
que le ciel azuré vire au mauve
penser ou passer à autre chose
vaudrait mieux
Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
se dire qu'il y a over the rainbow
toujours plus haut le soleil above
radieux
Croire aux cieux croire aux dieux
même quand tout nous semble odieux
que notre cœur est mis à sang et à feu
Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
comme une petite souris dans un coin d'alcôve
apercevoir le bout de sa queue rose
ses yeux fiévreux
Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
se dire qu'il y a over the rainbow
toujours plus haut le soleil above
radieux
Croire aux cieux croire aux dieux
même quand tout nous semble odieux
que notre cœur est mis à sang et à feu, à feu
Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
avoir parfois envie de crier sauve
qui peut savoir jusqu'au fond des choses
est malheureux
Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
se dire qu'il y a over the rainbow
toujours plus haut le soleil above
radieux
Croire aux cieux croire aux dieux
même quand tout nous semble odieux
que notre cœur est mis à sang et à feu, à feu
Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
dis-moi que tu m'aimes encore si tu l'oses
j'aimerais que tu te trouves autre chose
de mieux
Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve
se dire qu'il y a over the rainbow
toujours plus haut le soleil above
radieux