samedi 18 octobre 2003
Service à la clientèle!
Bonjour, je vous encule, il vous reviens 6,21$, merci aller vous faire foutre, bonne journée!
mercredi 15 octobre 2003
Do not
Maybe I don't want to know
If you love me as I love you
If you love her as she loves you
If you care about what's going on
If you know what you're doing and going to do
Maybe I know in my dreams it's better
Than anything you have to offer
Than those days when I feel I got you
Than everything you say
Than what you really are
Just don't tell me
Don't touch to my dreams
They are what keeps me here
You don't seem to care that much anyway
Say nothing to me
I don't want to know actually
If you love me as I love you
If you love her as she loves you
If you care about what's going on
If you know what you're doing and going to do
Maybe I know in my dreams it's better
Than anything you have to offer
Than those days when I feel I got you
Than everything you say
Than what you really are
Just don't tell me
Don't touch to my dreams
They are what keeps me here
You don't seem to care that much anyway
Say nothing to me
I don't want to know actually
dimanche 28 septembre 2003
9h du mat, matin pluvieux
Hier soir, j'ai rêvé à la première neige. Un duvet calme et serein qui couvre la réalité. Une odeur de froid appaisante...
À l'amour aussi, celui qui est physique et qui se nourrit exclusivement de sexe quasi sauvage. Ça me rapelle à quel point j'ai envie de m'évader dans une continuité de ce qui est ou à déjà été. Mais il y a cette curiosité de voir si autre chose existe réelment. Oui parce que tout le monde à une perception différente de l'amour. C'est peut-être pour ça d'ailleurs que ça ne dure plus. Les gens sont massivement désillusionné et je ne peux pas affirmer que je ne fait pas partie de la masse. C'est devenu un sujet plus tabou que le sexe en fait. Les rôles se sont inverser au fil du temps. À présent, on s'amourache d'un ton sérieux et brave, avec une gravité hors du commun, pour imprègner ces tons fades à nos vie. L'amour est devenu quelque chose de définissable, avec des lignes, des angles et de grands coins pointus. Bien sur, il y a quelque chose d'agréable à être raisonnable, une sorte d'assurace d'un future paisible, sans remous. On a envie d'être rassuré, de prédir l'avenir, alors on s'enferme avec une pointure trop serrée pour ce qu'on est supposé chausser en réalité. On ne fait plus l'effort d'être seul pour pouvoir être à deux ensemble au lieu d'être à deux chacun de son côté. Pourtant, c'est possible, enfin, moi j'ai envie d'y croire. Le hic est que je suis peut-être la seule qui en à encore envie. Je ne peux qu'être déçu par le mouvement de masse vers la gravité de quelque chose qui est tout sauf grave. Je connais des gens, à la pelletté, qui sont enfermé à l'intéreieur de cet amour new-age pas amusant du tout. Qui laisse passé de merveilleuses opportunités ailleurs. La stabilité se retrouve autant dans l'une ou l'autre des options, c'est seulement que les gens ont perdu cet esprit de tentative. «Il faut y arriver dès le premier essai, sinon c'est foutu». Ce goût du risque disparu parce qu'on ne peut pas être absoluement assuré que ça va durer. Le bonheur semble être un luxe qu'on ne veut plus se procurer, appeuré par les conséquences qui pourrait en découler. Moi je dis, laissez-vous donc une chance. Le jour est jeune et le temps est là, pour votre bon plaisir. Il y a tellement de gaspillage de ressoure humaine que ça ne peut faire autrement que de me décevoir, gravement...
Dommage...
À l'amour aussi, celui qui est physique et qui se nourrit exclusivement de sexe quasi sauvage. Ça me rapelle à quel point j'ai envie de m'évader dans une continuité de ce qui est ou à déjà été. Mais il y a cette curiosité de voir si autre chose existe réelment. Oui parce que tout le monde à une perception différente de l'amour. C'est peut-être pour ça d'ailleurs que ça ne dure plus. Les gens sont massivement désillusionné et je ne peux pas affirmer que je ne fait pas partie de la masse. C'est devenu un sujet plus tabou que le sexe en fait. Les rôles se sont inverser au fil du temps. À présent, on s'amourache d'un ton sérieux et brave, avec une gravité hors du commun, pour imprègner ces tons fades à nos vie. L'amour est devenu quelque chose de définissable, avec des lignes, des angles et de grands coins pointus. Bien sur, il y a quelque chose d'agréable à être raisonnable, une sorte d'assurace d'un future paisible, sans remous. On a envie d'être rassuré, de prédir l'avenir, alors on s'enferme avec une pointure trop serrée pour ce qu'on est supposé chausser en réalité. On ne fait plus l'effort d'être seul pour pouvoir être à deux ensemble au lieu d'être à deux chacun de son côté. Pourtant, c'est possible, enfin, moi j'ai envie d'y croire. Le hic est que je suis peut-être la seule qui en à encore envie. Je ne peux qu'être déçu par le mouvement de masse vers la gravité de quelque chose qui est tout sauf grave. Je connais des gens, à la pelletté, qui sont enfermé à l'intéreieur de cet amour new-age pas amusant du tout. Qui laisse passé de merveilleuses opportunités ailleurs. La stabilité se retrouve autant dans l'une ou l'autre des options, c'est seulement que les gens ont perdu cet esprit de tentative. «Il faut y arriver dès le premier essai, sinon c'est foutu». Ce goût du risque disparu parce qu'on ne peut pas être absoluement assuré que ça va durer. Le bonheur semble être un luxe qu'on ne veut plus se procurer, appeuré par les conséquences qui pourrait en découler. Moi je dis, laissez-vous donc une chance. Le jour est jeune et le temps est là, pour votre bon plaisir. Il y a tellement de gaspillage de ressoure humaine que ça ne peut faire autrement que de me décevoir, gravement...
Dommage...
vendredi 26 septembre 2003
jeudi 18 septembre 2003
Me, myself and I
«Your first name of Elisabeth has given you a friendly, likeable nature, and you could excel in artistic, dramatic, and musical expression. With this name, you desire the finer things in life, but you do not always have the resolve and vitality to put forth the effort necessary to fulfil your desires. Your emotional feelings are easily aroused and you will always be involved in other people's problems as a result of your overly sympathetic nature. You have many disappointments because of extending a helping hand to others in need, and then not receiving any acknowledgement or reciprocation for your generosity. After each experience, you have to guard against feelings of despondency and self-pity. You have high goals and ideals, but must incorporate more practicality, system, and concentration in order to materialize them.»
source : Kabalarian Philosophy
ELISABETH
--------------------------------------------------------------------------------
From the Swahili root meaning "Headache"
--------------------------------------------------------------------------------
Expression
Elisabeth knows more about nothing than anybody.
Personality
Elisabeth is not exceptionally stable.
Natural
Elisabeth likes animals-- perhaps too much.
Emotional
Elisabeth is cold and calculating.
Character
Elisabeth uses violence as a means of self-expression.
Physical
Elisabeth doesn't bathe regularly.
Mental
Elisabeth is a lousy drunk.
Motivation
Elisabeth has an oedipal complex.
source : What's in a Name?
source : Kabalarian Philosophy
ELISABETH
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From the Swahili root meaning "Headache"
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Expression
Elisabeth knows more about nothing than anybody.
Personality
Elisabeth is not exceptionally stable.
Natural
Elisabeth likes animals-- perhaps too much.
Emotional
Elisabeth is cold and calculating.
Character
Elisabeth uses violence as a means of self-expression.
Physical
Elisabeth doesn't bathe regularly.
Mental
Elisabeth is a lousy drunk.
Motivation
Elisabeth has an oedipal complex.
source : What's in a Name?
vendredi 25 juillet 2003
mercredi 23 juillet 2003
Citation de la semaine
Argument contre les section non fumeur dans les resto/bars (par la je veux dire que c pour appuyer le fait que la fumée secondaire, yen faut pas) :
Si ce débat serait à propos de si on devrait accorder le droit d'uriner dans un coin des piscines publiques, il n'y aurait pas de débat.
That's so fucking true.
Si ce débat serait à propos de si on devrait accorder le droit d'uriner dans un coin des piscines publiques, il n'y aurait pas de débat.
That's so fucking true.
mardi 8 juillet 2003
mercredi 25 juin 2003
vendredi 20 juin 2003
Pensée de la semaine
«When someone pisses you off, it takes 43 muscles to frown, but it only takes 8 muscles to reach out and bitch-slap the fucker!»
Traduction :
«Quand quelqu'un vous fait chier, froncer les sourcils suscitent l'utilisation de 43 muscles faciaux, mais ça prends seulement 8 muscles pour y crisser une claque au mongol!»
Entendu et impatiente de l'appliquer!
Traduction :
«Quand quelqu'un vous fait chier, froncer les sourcils suscitent l'utilisation de 43 muscles faciaux, mais ça prends seulement 8 muscles pour y crisser une claque au mongol!»
Entendu et impatiente de l'appliquer!
mercredi 28 mai 2003
Ancrage, msg de départ
Elizabeth, nous savons que les gens sont important pour toi et tu as su nous le démontrer au cours de l'année. Tu me sembles une fille libre d'esprit et très consciente des réalités de ce monde. Ta connaissance des différentes causes sociales actuelles est impressionnante. Ce sont de belles qualités qui te serviront plus tard. Mais attention, il est très difficile de garder cette liberté, beaucoup de gens essayeront de l'encadrer dans une quelconque philosophie, ainsi, je te souhaite de toujours pouvoir garder cette belle indépendance qui te caractérise. Merci pour ton implication dans le comité Ancrage.--Isabelle Savaria
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